PARIS :
BNF : BIBLIOTHEQUE NATIONALE DE FRANCE : Quai François Mauriac, 75706 Paris. Tél : 01.53.79.59.59. Mardi/Samedi : 10h/19h. Dimanche : 13h/19h (fermeture des caisses à 18h) Fermé le lundi et les jours fériés : 31 décembre et 1er janvier / dimanche de Pâques /1er et 8 mai / jeudi de l'Ascension / dimanche de Pentecôte / 14 juillet / 15 août / 1er et 11 novembre / 24 et 25 décembre. Fermeture annuelle des sites parisiens (François-Mitterrand, Richelieu et Louvois, Bibliothèque de l'Arsenal et Bibliothèque-musée de l'Opéra) : du 1er au 10 septembre 2017 inclus.
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PARIS :
CENTRE HOSPITALIER SAINTE-ANNE : 1 rue Cabanis, 75014 Paris. Mercredi/Dimanche : 14h/19h.
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PARIS :
CENTRE POMPIDOU : 4 rue Aubry le Boucher, 75004 Paris. Tél : 01.44.78.12.33
Accès : 111, rue Saint-Martin, 75004 Paris Code : 37 A 94 Escaliers C, sur la gauche dans la cour,
Horaires : Tous les jours, sauf le mardi et le 1er mai. Musée et Expositions : 11h/21h (fermeture des caisses à 20h).
Les expositions de la galerie 1 et 2 bénéficient d'ouvertures en nocturne le jeudi jusqu'à 23h
Atelier Brancusi : 14h à 18h, du mercredi au lundi
Bpi : du lundi au vendredi (sauf mardis) de 12h à 22h, week-end de 11h à 22h
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PARIS :
CITE INTERNATIONALE DES ARTS : Lily Robert / 18 rue de l'Hôtel de ville, 75004 Paris. Tél : 01.43.70.03.01.Mercredi/Samedi sauf fériés : 14h/19h.
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PARIS :
FONDATION DUBUFFET : 137 rue de Sèvres, 75006 Parie. Tél : 01.47.34.12.63. Horaires : Du lundi au vendredi (sauf fériés, août) 14h-18h ; fermeture en août.
Fermetures : Lieu fermé le samedi, le dimanche, le 1 janvier, le 1 mai, le 8 mai, le 14 juillet, le 15 août, le 1 novembre, le 11 novembre, le 24 décembre, le 25 décembre, le 31 décembre.

**** DUBUFFET MONUMENTAL
"L’exposition accompagne la publication du dernier fascicule du Catalogue des travaux de Jean Dubuffet jusqu’alors inédit : Sculptures monumentales, Tour aux figures et autres. Ce trente-neuvième volume répertorie toutes les sculptures monumentales réalisées d’après les maquettes originales de Jean Dubuffet, de la première en 1969 aux plus récents agrandissements. À travers un parcours chrono-thématique réunissant une quinzaine de maquettes et autres archives documentant ces réalisations, l’exposition revient sur les différents temps forts d’une facette de l’artiste, celle d’un « Dubuffet architecte » dont l’aspect édifiant des travaux a été mis en lumière à de multiples reprises par Daniel Abadie, auquel il est rendu hommage ici.
Édifices : une exposition programmatique
La formule « Dubuffet architecte » apparaît dans un article de Daniel Abadie publié à l’occasion de l’exposition Jean Dubuffet : Édifices, projets et maquettes d’architecture au Musée des Arts décoratifs en 1968. Cette exposition programmatique dans laquelle Jean Dubuffet met en scène des « architectures imaginaires qui ne sont pas de vraies architectures mais plutôt des images constituées en un habitat » introduit la présente exposition.
En plein cycle de L’Hourloupe, tournant radical opéré en 1962, l’artiste découvre un nouveau matériau, le polystyrène expansé qu’il sculpte au fil chaud avec autant de 'liberté et d’immédiateté qu’avec un crayon courant sur le papier', abandonnant l’espace du tableau pour la sculpture puis l’architecture.
Les maquettes présentées dans l’exposition Édifices sont conçues sans destination précise, Dubuffet n’envisageant pas véritablement leur construction. Les évoquer en faisant appel à son imagination lui suffit amplement. Mais pour activer l’imagination des visiteurs la démonstration se fait par le truchement de photomontages, des 'photographies truquées' comme il les appelle, intégrant ses simulacres d’architectures dans un tissu urbain bien réel. Dubuffet aura cependant la possibilité de confronter ses pures projections mentales au processus plus réel de la construction.
Parmi les maquettes exposées, la Tour aux figures envisagée à 24 mètres de haut sera la seule à être édifiée vingt ans plus tard malgré de vives controverses.
Groupe de quatre arbres : la première commande
Impressionné par l’exposition Édifices, Gordon Bunshaft, architecte du siège de la Chase Manhattan Bank près de Wall Street, New York, fait savoir à Dubuffet en décembre 1968 qu’il désire proposer à David Rockefeller, Président de la banque, l’une de ses sculptures monumentales pour l’esplanade située devant le building. Dubuffet suggère tout de suite, mais sans succès, sa Tour aux figures qu’il rêve de voir construite. Il conçoit rapidement d’autres projets (Monument à la bête debout, Monument au fantôme, Kiosque l’Évidé, Cosmorama IV), tous composés de plusieurs pièces assemblées et permettant une circulation transversale au moyen de portes découpées. Le choix final du comité de la Chase se porte sur le Groupe de quatre arbres, construit à 12 mètres de hauteur dans les nouveaux ateliers de l’artiste à Périgny-sur-Yerres, avant d’être remonté in situ à New York et inauguré le 24 octobre 1972.(NDM)
Exposition du 12 février au 11 juillet 2025
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PARIS :
FONDATION LOUIS VITTON : 8 avenue du Mahatma Gandhi, Bois de Boulogne, 75116 Paris. Tél : 01.40.69.96.00. Lundi/Samedi sauf fériés : 10h/18h.
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PARIS :
GALERIES NATIONALES DU GRAND PALAIS :1 Avenue du Général Eisenhower, 75008 Paris. Tél : 01 44 13 17 30.
Mercredi/Samedi : 10h/22h, llundi et dimanche : 10h/20h. Fermeture le mardi et le 25 décembre.
Vacances de la Toussaint du 19 octobre au 2 novembre : tous les jours (sauf le mardi) de 10h à 22h. vacances de Noël du 21 décembre au 4 janvier : tous les jours (sauf mardi) de 9h à 22h.
Renseignements : Tél : +33 (0)1 44 13 17 17 (serveur vocal)
Des visites guidées de l’exposition (90 minutes) et des ateliers pour enfants (2h en tout avec une visite spéciale) sont aussi organisés.
Métro : Franklin-Roosevelt ou Champs-Elysées-Clemenceau
Bus : lignes 28, 32, 42, 72, 73, 80, 83, 93
Stations Vélib' n° 8029 et 8001
Galerie Sud Est entrée porte H
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PARIS :
GRAND PALAIS : 3 avenue du Général Eisenhower, 75008 Paris. Tél : 01.44.13.17.17. Mercredi/Samedi : 10h/22h. Dimanche et Lundi :10h/20h.
GRAND PALAIS EPHEMERE
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PARIS :
HALLE SAINT-PIERRE : 2, rue Ronsard - 75018 Paris. Tél. : 33 (0) 1 42 58 72 89.
Attention nouveaux horaires à partir de septembre 2011 : le lundi ouvert de 13h à 18h.
jusqu’à cette date : ouvert tous les jours du lundi au dimanche de 10h à 18h. Fermeture billetterie à 17h30
Expositions temporaires : 7,50€, tarif réduit 6€.
En août : ouverture de 12h à 18h, fermé le weekend.
Fermetures annuelles : 25 décembre, 1er janvier. 1er mai, 14 juillet et 15 août.

Koochaki, Mahmood Khan, Haaj Mohammad Harati, Salim Karami, Abolfazl Amin Bidokhti, Ali Azizi, Mohammadali Dehghanizadeh, Mohammad Banissi, Farnood Esbati, Kazem Ezi, Kiyavash Danesh, Jamshid Aminfar, Mohsen Asgarian, Sarvenaz Farsian, Abbas Mohammadi Arvajeh, Alireza Maleki, Nazanin Tayebeh, Zabihollah Mohammadi, Reyhaneh Kazamzadeh. : L’ART BRUT D’IRAN
Seront présentés les travaux de 24 artistes iraniens. Pour certains, l’enracinement dans une culture trois fois millénaire est recomposé, transformé ou détourné en constructions imaginaires. D’autres, exclusivement concentrés sur leur vision intérieure, construisent des cosmogonies autoréférentielles énigmatiques, univers infinis contenus dans leurs propres lois internes.
Fonctionnant comme une harmonie dissonante de singularités, les créateurs réunis le temps de l’exposition nous invitent à croire à la puissance régénératrice de la fiction créatrice.
L'exposition met en lumière la diversité de l'art brut iranien à travers les œuvres de 24 artistes, révélant un dialogue fascinant entre traditions culturelles millénaires et expressions artistiques contemporaines. Pour certains, l’enracinement dans une culture trois fois millénaire est recomposé, transformé ou détourné en constructions imaginaires. D’autres, exclusivement concentrés sur leur vision intérieure, construisent des cosmogonies autoréférentielles énigmatiques, univers infinis contenus dans leurs propres lois internes.
Dans un pays comme l’Iran où la culture est façonnée par l’héritage religieux du zoroastrisme et du soufisme, par sa littérature, par ses traditions artisanales et décoratives du tissage, de la miniature et de la calligraphie, la règle de l’art brut n’est pas contrariée. Les 24 artistes présentés dans l’exposition en font la démonstration. » (NDM)
Vernissage le mardi 11 février à 18h.
Exposition du 12 février au 31 juillet 2025.

**** CARNETS LIBRES : Exposition collective
**** Parmi les exposants : PASCAL HECKER
VOIR AUSSI :
Vernissage le dimanche 23 mars de 15h à 18h.
Exposition du 19 mars au 19 mai 2025
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PARIS :
INSTITUT DU MONDE ARABE : 1, rue des Fossés Saint-Bernard, 75005 Paris. Tél : 01.40.51.38.38. Mardi/vendredi : 10h-18h. Samedi/Dimanche : 10h/19h. L'IMA est annuellement fermé le 1er mai.
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PARIS :
INSTITUT GIACOMETTI : 5 rue Victor Schoelcher, 75014 Paris. Tél : 01.87.89.76.75.Mardi/Dimanche : 10h/18h. Fermé le 1er novembre, le 25 décembre 2019 et le 1er janvier 2020.
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PARIS :
INSTITUT METAPSYCHIQUE INTERNATIONAL : 11 rue Louise Weiss, 75013 Paris.
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PARIS :
MAISON DE VICTOR HUGO : 6 place des Vosges, 75004 Paris. Tél : : 01 42 72 10 16. Mardi/Dimanche, et certains jours fériés (14 juillet et le 15 août) : 10h/18h. • 17h40 : dernière entrée. Fermé tous les lundis, ainsi que le 1er janvier, le 1er mai et le 25 décembre.
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PARIS :
MUSEE D'ART ET D'HISTOIRE DE L'HOPITAL SAINTE-ANNE(MAHHSA) : 1 rue Cabanis, 75014 Paris. Tél :01.45.65.85.41. Mercredi/Dimanche : 14h/19h.
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PARIS :
MUSEE D'ART ET D'HISTOIRE DU JUDAÏSME : LE MAHJ : 71, rue du Temple - 75003 Paris
Le musée est ouvert du mardi au vendredi : 11 h/18 h et le samedi et dimanche : 10 h/18 h. Nocturne des expositions le mercredi jusqu’à 21 h et le samedi, dimanche et jours fériés jusqu’à 19 h.

**** PAULA PADANI : « La danse migrante : Hambourg, Tel-Aviv, Paris
« Autour de l'exposition « Paula Padani. La danse migrante : Hambourg, Tel-Aviv, Paris »
L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers 120 photographies, affiches et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne.
Née à Hambourg et formée à la danse moderne, Paula Padani puise dans son art le moteur d’une existence pourtant marquée dès l’enfance par le décès de ses parents, puis par l’exil.
Dernière étudiante juive de l’école Wigman de Dresde, l’un des foyers de la modernité chorégraphique en Europe, elle rejoint clandestinement la Palestine mandataire en 1936 via la Suisse, l’Italie et la Grèce. La découverte des paysages et cultures du Proche-Orient stimule en elle une féconde veine créative.
Elle ouvre une école de danse à Tel-Aviv et crée un répertoire de solos d’une grande expressivité inspiré par les musiques de Béla Bartók, Marc Lavry ou Alexander Uriyah Boskovich. Avec d’autres danseuses exilées, elle prend part au développement de la scène théâtrale moderne en terre d’Israël.
En 1946, après dix années d’une vie intense au sein de la bohème « palestinienne », elle fait le choix de la diaspora avec son mari, le peintre, dessinateur et décorateur de théâtre Michael Gottlieb, dit Aram. Élisant Paris, le couple occupe successivement plusieurs ateliers successifs et poursuit sa quête artistique. Aram se consacre entièrement à la peinture et noue des amitiés avec nombre d’artistes de l’École de Paris, tandis que Paula continue en Europe et à New York une carrière scénique acclamée par un vaste public.
Entre 1947 et 1948, à l’invitation de l’American Jewish Joint Distribution Committee, elle part en tournée dans les camps de personnes déplacées de la zone d’occupation américaine en Allemagne, pour soutenir les rescapés juifs.
À partir des années 1950, elle se consacre à un enseignement centré sur l’improvisation et l’épanouissement de la créativité individuelle, dans le droit fil des avant-gardes de la république de Weimar.
Paula Padani décède à Paris en 2001, peu de temps après la mort de son mari.
L'exposition redonne vie à cette artiste engagée grâce aux documents présentés, issus de la donation de Gabrielle Gottlieb de Gail, fille du peintre Aram et de Paula Padani. » (NDM)
Vernissage le 13 novembre à 17h.

**** ZORAN MUSIC : « Nous ne sommes pas les derniers »
À l’occasion du 80e anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz-Birkenau
« Le musée d'art et d'histoire du Judaïsme présente une œuvre de Zoran Music, artiste déporté à Dachau en 1944, où il réalise, au péril de sa vie, de nombreux dessins. Plus de 25 ans après, il crée le cycle Nous ne sommes pas les derniers, où il représente la tragédie des camps de concentration à travers des peintures monochromes, symbolisant l'horreur et le silence du système concentrationnaire. La peinture présentée dans la chambre du duc, parmi les plus belles de cette série, incarne avec une rare puissance l'intensité de la souffrance des survivants. » (NDM)
Vernissage mercredi 29 janvier à 15h30
Exposition jusqu’au 15 juin 2025.

**** ALFRED DREYFUS : « Vérité et justice »
Alphonse Bertillon, Portait d’Alfred Dreyfus pris après sa dégradation (colorisation contemporaine), 5 janvier 1895.
"Autour de l'exposition « Alfred Dreyfus. Vérité et justice »
Près de vingt ans après sa première exposition consacrée à Alfred Dreyfus, le mahJ revient sur « l’Affaire » pour rappeler les grandes étapes de ce moment crucial de l’histoire de France, dont une des nombreuses conséquences fut la loi de séparation des Églises et de l’État. L'exposition révèle le combat acharné de Dreyfus pour faire éclater la vérité, corrigeant l'image d'un homme spectateur de la machination qui le conduisit à passer plus de quatre années à l'île du Diable et encore sept à lutter pour sa réhabilitation.
Rassemblant près de 250 documents d’archives, photographies, extraits de films et une soixantaine d’œuvres d’art – de Jacques-Émile Blanche, Gustave Caillebotte, Eugène Carrière, Émile Gallé, Maximilien Luce, Camille Pissarro, Félix Vallotton ou Édouard Vuillard –, l’exposition raconte l’Affaire « avec » Dreyfus, en le replaçant au centre du propos. Cette approche nouvelle corrige l’image d’un Dreyfus effacé. Elle révèle un inlassable combattant de la vérité, auteur de multiples écrits, dont de nombreux inédits récemment sortis de l'oubli.
Alfred Dreyfus naît en 1859 dans une famille alsacienne marquée par la défaite de 1871 et l’annexion de l’Alsace-Moselle. Fervent patriote, polytechnicien, il mène une brillante carrière militaire qui sera brisée en 1894 : injustement accusé de haute trahison au profit de l’Allemagne, il est condamné par un conseil de guerre, dégradé et déporté en Guyane.
L’exposition démonte la machination ourdie par l’état-major et illustre le virulent antisémitisme qui s’exprime en cette fin de XIXe siècle. Grâce aux nombreuses œuvres présentées, elle replace l’Affaire dans la « Belle Époque », dont elle éclaire des aspects moins connus : la diversité des réactions juives, la « naissance » des intellectuels et la riposte à l’antisémitisme. L'affaire Dreyfus avait également révélé le rôle de l'Église catholique dans la manipulation de l'opinion publique et des institutions, renforçant ainsi les arguments en faveur de la séparation de l'Église et de l'État en 1905. Quant à Alfred Dreyfus, gracié en 1899, il est réhabilité en 1906, mais ne sera pas réintégré au grade auquel il aurait légitimement pu prétendre.
Cent-trente ans après son déclenchement, l’exposition permet d’appréhender l’actualité persistante de l’Affaire, dans un contexte de regain de l’antisémitisme, alors que l’innocence d’Alfred Dreyfus fait encore l’objet de polémiques complotistes.
Cette exposition, qui a reçu le soutien exceptionnel du musée d’Orsay, s’appuie sur le riche fonds Dreyfus du mahJ, sur des prêts d’institutions – Archives nationales, Bibliothèque nationale de France, musées de l’Armée, du Barreau de Paris, Carnavalet, de l’École de Nancy, Maison Zola-Musée Dreyfus à Medan – ainsi que de collections particulières.
Commissariat : Isabelle Cahn, conservatrice générale honoraire des peintures au musée d’Orsay et Philippe Oriol, directeur scientifique de la Maison Emile Zola-Musée Dreyfus". (NDM)
Vernissage mercredi 12 mars à 15h.
Exposition du 13 mars au 31 août 2025.
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PARIS :
MUSEE DU LOUVRE :
36 Rue du Louvre, 75001 Paris. Tél : 01 40 20 58 24 Métro Palais-Royal.
TLJ. : 9h/18h, sauf mardi et fériés suivants : 1er janvier, 1er mai
et 25 décembre. La fermeture des salles commence à 17h30.
Nocturnes jusqu'à 22h mercredi et vendredi (fermeture des salles à partir de
21h30).
Gratuit le premier dimanche de chaque mois (hors exposition du hall Napoléon).
L'accès par la Pyramide et par la Galerie du Carrousel est ouvert de 9h à 22h, sauf le mardi.
Le passage Richelieu est ouvert de 9h à 18h, sauf le mardi.

**** Aux origines de la peinture italienne
L’exposition, conçue autour de deux œuvres récemment restaurées la Maestà et La Dérision du Christ, rebat les cartes et renouvelle le regard sur l’histoire d’un commencement, celui de la peinture occidentale moderne. Pour en savoir plus, suivez les conférences autour de l’exposition.

**** Le musée du Louvre et AWARE s’associent pour mettre en lumière des artistes femmes
"Des notices biographiques pour valoriser les artistes femmes dans les collections
Afin de renforcer et diffuser les connaissances sur les artistes femmes, le musée du Louvre et l’association AWARE (Archives of Women Artists, Research and Exhibitions), ont signé en septembre 2024 une convention de partenariat scientifique et culturel. De cette collaboration sont nés des notices biographiques et des articles thématiques, publiés sur le site internet de l’association et relayées sur les réseaux sociaux d’AWARE et du musée du Louvre, visant à mettre en lumière les contributions artistiques de ces créatrices.
Sofonisba Anguissola et Lavinia Fontana, peintres du XVIe siècle, Elisabetta Sirani peintre du XVIIe siècle, Julie Charpentier, sculptrice, Marie-Victoire Jaquotot, peintre sur porcelaine, Marie-Suzanne Giroust pastelliste et Adelaïde Labille-Guiard, miniaturiste, pastelliste et peintre du XVIIIe siècle, Marie-Louise Lefèvre-Deumier, sculptrice et Marie-Jeanne-Rosalie Desarnaud-Charpentier, fabricante de cristaux gravés et montés du XIXe siècle : ces artistes longtemps oubliées de l’histoire de l’art ont rejoint l’index des artistes femmes conçu par l’association AWARE, grâce au travail de recherche mené par le personnel scientifique des départements des Arts graphiques, des Sculptures, des Objets d’art du Louvre. D’autres notices seront publiées progressivement en collaboration avec les autres départements, à commencer par celui des Peintures en 2025. En complément de l’approche biographique, trois articles seront publiés cette année : le premier apportera un éclairage sur le rôle des veuves d’artistes dans le monde corporatiste aux XVIIIe et XIXe siècles, tandis que les deux autres exploreront la place des femmes peintres dans le genre du paysage.
Ce projet a vu le jour grâce au soutien de M. Majid Boustany et se poursuit grâce au soutien de Bloomberg Philanthropies, mécènes de l’association AWARE. (NDM)

**** L’EXPERIENCE DE LA NATURE : Les arts à Prague à la cour de Rodolphe II
« Grand protecteur des arts et des sciences, l’empereur Rodolphe II (1552-1612) était l’un des souverains européens dont l’enthousiasme pour l’étude de la nature était le plus vif. L’exposition montre la convergence des regards scientifiques et artistiques sur la nature et le renouvellement de la création artistique à Prague. » (NDM)
Exposition du mercredi 19 mars au lundi 30 juin 2025.
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PARIS :
MUSEE DU LUXEMBOURG : 19 rue de Vaugirard, 75006 Paris. Vendredi/Lundi : 9h/22h. Mardi/Jeudi : 10h/20h
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PARIS :
MUSEE DU QUAI BRANLY : 37 QUAI quai Jacques Chirac, 75007 PARIS. TEL : 01.56.61.70.00. TLJ. SAUF LUNDIS, 25 DECEMBRE ET 1ER MAI. Mardi au dimanche, de 9h15 à 19h30, sauf jeudi de 9h15 à 22h15 : 10h30/192/00
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PARIS :
MUSEE PICASSO : Hôtel Salé, 5 rue de Thorigny, 75003 Paris. Tél : 01.85.56.00.36. TLJ. Sauf lundi. Samedi/ Vendredi : 10h30/18h.
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PARIS :
MUSEE SINGER-POLIGNAC, CENTRE D'ETUDE DE L'EXPRESSION
CENTRE HOSPITALIER SAINTE-ANNE : 1, rue Cabanis 75014 Paris Tél. : 01 45 89 21 51. Mercredi /Dimanche : 14 h/19 h, nocturnes les jeudis jusqu’à 21 h
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ALENCON :
HOTEL DU DEPARTEMENT DE L'ORNE : 27 boulevard de Strasbourg, 61000 Alençon. Tél : 06.07.73.40.36. Lundi/Vendredi : 9h/18h. Dimanche : 14h30/18h.
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ANTIBES :
CHATEAU GRIMALDI : Place Mariejol, 06600 Antibes. Tél : 06.12.81.03.92. TLJ. Sauf les lundis 16 septembre et 14 juin : 10h/13h et 14h/18h.
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ANTIBES :
FONDATION HARTUNG-BERGMANN : 173 Chemin du Valbosquet, 06600 Antibes. Tél : 04.93.33.45.92. Lundi/Vendredi : 10h/18h.

**** Anna-Eva Bergman, Hans Hartung, Vera Molnár, Terry Haass, Carl Nesjar : « Paysages intérieurs »
« La Fondation Hartung-Bergman présente « Paysages intérieurs », rassemblant des œuvres d'Anna-Eva Bergman, Hans Hartung, Vera Molnár, Terry Haass et Carl Nesjar. Grands voyageurs, Anna-Eva Bergman et Hans Hartung ont vu dans leurs vies d'innombrables paysages qu'on qualifie communément de « beaux » : villages des Baléares, fjords norvégiens, ciels azuréens... Ce sont toutefois la subjectivation et l'abstractisation de l'univers environnant, depuis la modestie d'un caillou jusqu'à la vaste étendue des courses astrales, qui caractérisent leur production respective : une transformation du monde au filtre de l'épure, de la mémoire, de la gestualité, du recadrage ou de la géométrisation. Enrichie par des rapprochements et des comparaisons avec Terry Haass, Vera Molnár, ou encore le photographe Carl Nesjar, cette exposition oscille entre le tellurique et le cosmique, et constitue une plongée au cœur des forces cachées de la nature, au-delà des formes spectaculaires de celle-ci.
Dans ses mémoires, Anna-Eva Bergman affirme que la peinture constitue « une tentative de saisir au plus près la raison d'être profonde de ce monde. »
Quant à Hartung, il explique : « Les forces intérieures d'une vague m'ont toujours plus intéressées que l'écume. » Chez l'un comme chez l'autre, l'ambition ne consiste pas tant à retranscrire l'aspect extérieur des choses, si beau peut-t-il être, qu'à chercher leur essence et leur énergie endogène. C'est ce qui fait toute la complexité et l'intérêt de leur rapport au paysage.
En effet, d'un paysage, on songe superficiellement qu'il n'est jamais qu'un bout de nature vu selon un prisme humain. Et, par une sorte d'automatisme culturel, on l'associe volontiers à quelques éléments archétypiques construits notamment au XIXe siècle : un relief vallonné, des bosquets, un soleil surplombant ou déclinant, les lacets d'un cours d'eau ou d'un chemin, une présence humaine réduite à quelques allusions muettes. Dans cette perspective, on attend communément d'une œuvre qu'elle isole ou qu'elle compose des images harmonieuses de l'environnement afin d'en immortaliser l'existence réelle ou supposée.
Mais, précisément, Hartung et Bergman font partie de ces catégories d'artistes qui se tiennent à l'écart de cette tradition – très légitime au demeurant. Leur ambition, c'est celle d'une endoscopie de l'univers…
Qu'entend-on dès lors par leurs « paysages intérieurs » ? C'est évidemment l'image médiée qui résulte de la « sensation » (terme cher à Cézanne) de la nature, ou encore de son souvenir : Bergman compose ainsi avec le rêve et la réminiscence, en différé, pour construire ses formes d'après un passé que réactualise la mémoire présente. C'est également, et plus subtilement peut-être, l'intériorité de cette nature, c'est-à-dire sa structure physique, conceptuelle, poétique, sa fibre atomique. Ces deux voies peuvent trouver leur moyen d'expression dans des modalités diverses, comme la simplification des motifs, le choix d'un cadrage, la gestualité. Une révélation par l'abstraction, en somme.
Cette exposition, en plus de montrer les productions de Hans Hartung et d'Anna-Eva Bergman, s'appuie sur la donation d'œuvres de Terry Haass à la Fondation et bénéficie du prêt exceptionnel de plusieurs pièces de Vera Molnár. Elle s'inscrit par ailleurs dans le programme de recherche « Paysage et abstraction » conduit en 2024-2025.(NDM)
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AUBUSSON :
CITE INTERNATIONALE DE LA TAPISSERIE : Rue des Arts, BP 89. 23200 Aubusson. Tél : 09.72.48.15.64.
Tous les jours de la semaine 10 h à 12 h et 14 h à 17 h.
Les week-ends de juin à septembre de 14 h à 17 h.
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AVIGNON :
le Palais des Papes, le Pont d’Avignon, le Musée du Petit Palais – Louvre en Avignon, le Musée Calvet, le Muséum Requien, le Musée Lapidaire, le Couvent Sainte-Claire, les Bains Pommer, la Collection Lambert et la Place du Palais.

**** JEAN-MICHEL OTHONIEL : OTHONIEL COSMOS : « Les fantômes de l’amour ».
L’exposition « OTHONIEL COSMOS ou les Fantômes de l’Amour » dessine un gigantesque parcours monumental qui peuple les institutions gratuites et les sites historiques de la ville. L’artiste a élaboré des œuvres qui se dévoileront d’un lieu à l’autre croisant la sculpture et la peinture, les briques et les perles, des Astrolabes et des fontaines, de l’or et du verre, des totems et des nœuds infinis. Articulée autour de la passion amoureuse cette exposition sans pareille est orchestrée comme une grande machinerie opératique avec, pour point d’orgue début août, une installation et une performance dans la Cour d’Honneur du Palais des Papes, spécialement chorégraphiée par Carolyn Carlson pour Hugo Marchand et Caroline Osmont avec la participation exceptionnelle du contreténor Jakub Józef Orliński.
Sonnets amoureux
Pontificale et lettrée, Avignon est la ville de l’Esprit et des esprits. On y vint pour fuir la mort, pour sauver sa liberté pour vivre en ses palais, pour danser sur son pont et pour jouir de sa douceur. Quoi de mieux pour Othoniel que cette ville de la beauté́ et de l’exil qui abrita les papes et les poètes, les amants et les amantes. C’est là que Pétrarque adora Laure. En lui dédiant son Canzoniere il engagea la poésie sur la voie de l’amour courtois et de la modernité́ littéraire.
Ancrée dans l’histoire avignonnaise, l’exposition conçue par Jean-Michel Othoniel comme une suite de sonnets s’empare de cette histoire électrique pour ériger la Cité des Papes en une constellation du Désir. Grâce à des fleurs et des miroirs, des tombeaux et des pierreries, l’artiste fouille les amours incandescentes et les amours perdues, les fantômes et les fantasmes, les songes et les vœux. Les quelque 240 œuvres exposées dans la ville sont les fragments d’un discours amoureux qui, assignant Michel-Ange, Shakespeare ou Pasolini, prouve combien il est souvent difficile, et parfois douloureux, de « borner son désir » (Pétrarque). (NDM)
Exposition du 28 juin 2025 au 4 janvier 2026.
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BEAULIEU-EN-ROUERGUE :
ABBAYE : 1086 route de l'Abbaye, 82330 Ginals
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BEDARIEUX :
ESPACE D'ART CONTEMPORAIN : Maison des Arts - Espace Henri Pujol 19 avenue de l'Abbé Tarroux - 34600 Bédarieux. Mardi : 14h/18h, Mercredi : 9h/12h et 14h/18h. Jeudi : 9h30/12h et Vendredi et Samedi : 9h30/12h et 14h/18h.
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BEGLES :
MUSEE DE LA CREATION FRANCHE : 58, avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny 33130 BEGLES. Tél : 05-56-85-81-73.
LE MUSEE EST ACTUELLEMENT FERMÉ.

Intense, l'année 2024 a révélé son lot de défis. Le chantier du musée est en route, sa réouverture au public en ligne de mire.
Il faudra toutefois faire preuve d'un peu de patience encore. Mais le jeu n'en vaut-il pas la chandelle ?!
Pour illustrer ces vœux et célébrer l'année à venir, le choix s'est porté sur ces quatre formes géométriques qui préfigurent ce que sera le musée rénové et agrandi. 2025 sera donc l'année du chantier !
Ce plan masse en dévoile les contours, ceux d'un projet ambitieux qui dotera le musée d'espaces à la mesure de sa collection et de ses publics. Pour l'heure, nous maintenons les objectifs et préparons demain.
Mais avant, une pause s'impose ! Il faut recharger les batteries, se rassembler, refaire le monde et se souhaiter le meilleur.
L'équipe du musée vous souhaite donc de belles fêtes de fin d'année, douces, légères et tendres.
2025, nous voilà !
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BIRON :
CHATEAU : 24540 Biron. Tél : 05.53.63.13.39. Du 05 février au 08 avril : 10h/ 12h30 et 14h/17h30. Du 09 avril au 06 juillet : 10h/13h et 14h/18h. Du 07 juillet au 26 août : 10h/19h. Du 27 août au 06 novembre : 10h/13h et 14h/18h. Du 7 novembre au 31 décembre : 10h/12h30 et 14h/17h. Dernière admission : 1h avant la fermeture. Fermé le lundi (hors vacances scolaires et jours fériés)
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BOURGES :
PALAIS JACQUES CŒUR : 10 bis rue Jacques Cœur, 18000 Bourges. Tél : 02.48.24.79.42. Lundi à dimanche : 10h00 - 12h15 et 14h00 - 18h00. Fermé les 1er janvier, 1er mai, 1er et 11 novembre, et 25 décembre.

**** DANIEL DEWAR ET GREGORY GICQUEL
« Le duo d’artistes franco-britannique Daniel Dewar & Grégory Gicquel propose une installation conçue pour la salle des festins du palais Jacques Coeur de Bourges, comprenant un ensemble de sculptures caractéristiques de leur pratique récente et en dialogue avec le lieu et son contexte historique. Cette exposition s’inscrit dans la programmation de la 5e édition de Bourges Contemporain 2024 qui aura lieu du 7 juin au 22 septembre 2024. Parmi ces sculptures, des pichets en grès prennent la forme d’un pied agrémenté d’une anse, un motif récurrent dans le travail du duo depuis plusieurs années. Une jarre voit sa surface recouverte de torses luisants qui se démultiplient et sur lesquels se découpent des escargots. Face à l’opulence du palais, à ses cheminées monumentales ouvragées et à ses nombreux ornements, qui jadis faisait état de la richesse du propriétaire, accumulée grâce au commerce et à l’impérialisme naissant, Dewar & Gicquel nous invitent, héritiers de ce passé, à renégocier et à repenser notre manière d’habiter le monde, le tout avec joie et humour. » (NDM)
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BOURGES :
CENTRE D'ART TRANSPALETTE : 26 route de la Chapelle, 18000 Bourges. Tél : 02.48.50.38.61. Mercredi/Samedi : 14h/19h.
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BRIOUDE :
LE DOYENNÉ : Espace d’Art moderne et contemporain. Place Lafayette, 43100 Brioude. Tél : 06.62.09.43.63. Lundi : 14h/18h. Mardi/Dimanche : 10h/18h.

**** JEAN DUBUFFET : « Le défi au quotidien »
« Le Doyenné présente une nouvelle exposition intitulée « Jean Dubuffet, Le défi au quotidien » , réunissant plus de cinquante œuvres, incluant peintures, sculptures et œuvres graphiques. Sous le commissariat de Jean-Louis Prat et Thomas Wierzbiński, cette exposition retrace les quarante ans de création et d'expérimentation de Jean Dubuffet, de 1945 à 1985.
Artiste de renommée internationale, Jean Dubuffet naît dans une famille de négociants en vins et hésite longtemps entre une carrière commerciale et artistique. Ce n'est qu'en 1942 qu'il se consacre pleinement à la peinture. Sa production est marquée par de multiples expérimentations, organisées en différents cycles, dont le plus long et le plus original est celui de L'Hourloupe (1962-1974), une projection mentale et dématérialisée du monde. Grand contestataire de l'ordre établi, il choisit de ne suivre aucune règle préétablie tout au long de ses quarante années de création. Cette démarche est nourrie par son intérêt pour les œuvres en marge des circuits culturels, ce qui le pousse à fonder la Compagnie de l'Art Brut. Esprit libre et indépendant, il expose en 1962 au Museum of Modern Art de New York et crée en 1974 sa propre fondation, où il lègue toutes ses archives personnelles, une source inépuisable pour la compréhension de son œuvre hors du commun.
L'exposition bénéficie de prêts exceptionnels de la Fondation Dubuffet. » (NDM)
Exposition du 28 juin au 2 novembre 2025
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CAEN :
MUSEE DES BEAUX-ARTS : Le Château, 14000 Caen. Tél : 02.31.30.47.60. TLJ. sauf mardi : 9h30/18h.
Fermé le 1er janvier, dimanche de Pâques, 1er mai, Ascension, 1er novembre et 25 décembre.
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CANNES :
ANCIENNE CHAPELLE SAINT-ROCH : 18 Avenue Saint-Roch, 13930 Aureille
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CANNES :
POLE ART MODERNE ET CONTEMPORAIN (PAMoCC) : 47 boulevard de la Croisette, 06400 Cannes. Tél : 04.97.06.45.21. Lundi/Vendredi : 9h/17h.
**** KEHINDE WILEY, OLIVIER MASMONTEIL ET LOUIS CANE
"Déployée sur trois lieux, la programmation d'art contemporain de la Ville de Cannes pour l'été 2020 témoigne de la volonté de montrer les diverses facettes de la création contemporaine. Trois artistes vivants, deux générations, deux continents, tous viscéralement attachés au langage de la figuration, mais qui cherchent à en repousser les limites : le parcours d'art contemporain cannois propose, à travers ces trois expositions profondément différentes, des approches à la fois radicales et complémentaires de l'art de notre époque." (NDM)
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CANNES :
CENTRE D'ART LA MALMAISON : 47 boulevard de la Croisette, 06400 Cannes. Tél : 04.97.06.45.21. Lundi/Vendredi : 9h/17h.

**** JEAN-MICHEL OTHONIEL : « Poussière d’étoiles »
« Ouvert depuis le 31 janvier dernier, le grand centre d'art contemporain La Malmaison, situé en plein cœur de la Croisette, à Cannes, accueille l'exposition « Poussière d'étoiles » du sculpteur de renommée internationale Jean-Michel Othoniel. À cette occasion, Jean-Michel Othoniel propose une plongée fascinante dans son univers où le verre et la lumière s'entrelacent pour créer une expérience immersive et sensorielle unique. Parmi les 91 pièces présentées, 53 ont été spécifiquement conçues pour la Malmaison, en cohérence avec son environnement exceptionnel et son histoire. Ces œuvres invitent à la rêverie et font ainsi écho à la lumière intarissable du soleil méditerranéen, aux paillettes du Festival International du Film de Cannes et au bleu azur de la mer et du ciel cannois.
« L'or n'est pas originaire de notre Terre, il provient d'une pluie de météorites issues de la collision de deux supernovas, il y a plusieurs milliards d'années. Cet impact a propulsé des millions de tonnes d'or stellaire à travers l'espace, dont certains fragments ont atteint notre monde, ses continents et ses mers.
Tout l'or de notre planète est donc né dans le cœur d'étoiles mourantes. Mon exposition à la Malmaison est un hommage à cet ou des étoiles déchues, à cette poussière d'étoiles qui recouvre mes œuvres.
Matière inaltérée lieu du cosmos, elle envahit la façade et les premières salles du centre d'art, enveloppant les perles de mes sculptures monumentales. L'or devient blanc lorsqu'il inonde le fond de mes peintures, celles-ci entourent des monolithes et des fontaines de briques de verre colorées aux reflets d'argent. Les sols miroirs de briques bleues qui font face à la baie de Cannes scintillante font entrer la lumière de la Méditerranée dans le centre d'art nouvellement ouvert sur la Croisette. Sculptures aux reflets infinis, transcendance de l'or, éblouissement de la lumière, une certaine idée de la beauté parcourt l'exposition et les 91 œuvres qui la composent. Loin des paillettes et pourtant si proche, « Poussière d'étoiles » est une exploration lancée à la recherche du merveilleux, perdu dans notre monde réel. » Jean-Michel Othoniel
Un univers féérique, empli de verre et de lumière
L'exposition « Poussière d'étoiles » promet une immersion totale au sein d'un univers merveilleux en plein cœur de la Malmaison où les couleurs du Festival de Cannes et de la Méditerranée fusionnent. Composées de sculptures monumentales, faites de verre et de peintures, les 91 œuvres de Jean-Michel Othoniel investissent le lieu de façon poétique. L'artiste y conte une histoire féérique, empli de rêves et de lumière, afin de plonger les visiteurs dans la magie et l'histoire de la Malmaison, plus ancienne demeure de la Croisette. 53 œuvres inédites ont été spécifiquement conçues pour le site récemment modernisé.
Certaines salles se parent alors d'or grâce aux Gold Rose, aux Gold Lotus, et à la rivière rose poudrée brillante qui communique avec les Passiflora accrochées aux murs. Ces fleurs, symboles de la passion et de l'astre solaire, illuminent les pièces du centre d'art. Ces couleurs étincelantes font écho aux paillettes du Festival International de Cannes, au soleil écrasant des étés du Midi, aux plages lumineuses du littoral ou encore au jaune éclatant du mimosa en hiver.
D'autres salles se confondent avec le panorama exceptionnel de la Malmaison. Des étendues d'eau bleues infinies, sous forme de briques de verre réfléchissantes, se propagent à travers les étages et changent au gré de la lumière. L'artiste ne s'est pas limité à ré-enchanter l'intérieur du centre d'art. Trois grandes sculptures viennent sublimer l'extérieur. Avec la magie des matériaux, les jeux infinis de lumière et la multiplication des reflets Jean-Michel Othoniel fait disparaitre les frontières entre le réel et l'imaginaire. » (NDM)
Exposition du 17 mai 2025 au 4 janvier 2026
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CANNES :
LA VILLA DOMERGUE : 15 avenue Fiesole 06400 Cannes. Tél : 04.97.06.44.90. Ouvert uniquement pendant l'exposition d'été.
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CANNES :
LE SUQUET DES ARTISTES : 7 rue Saint-Dizier, 06400 Cannes. Tél : 04.97.06.44.90. Tous les week-ends. : 10h/ 13h et 14h /18h.
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CARCASSONNE :
MAISON DES MEMOIRES : 53 rue de Verdun, 11000 Carcassonne. Tél. : 04 68 11 68 14 / 06 31 05 45 02

**** L’ESPRIT DES LIEUX : CERES A TOUS LES ETAGES :
VOIR AUSSI : TEXTES de JEANINE RIVAIS : http://jeaninerivais.jimdo.com/ RETOUR SUR UN QUART DE SIECLE D'ECRITURE. Et TEXTE DE JEANINE RIVAIS HOMMAGES
Vernissage le vendredi 14 mars à 18h30.
Exposition du 14 mars au 7 mai 2025.
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CASTRES :
MUSEE GOYA : CHATEAU : rue de l'Hôtel de Ville. 81108 Catres. Tél : 05.63.71.59.27.
Horaires : D'octobre à mai, hors vacances scolaires (zone C) : Du mardi au dimanche de 10h à 17h
De juin à septembre et vacances scolaires (zone C) : Tous les jours de 10h à 19h
Fermeture : 1er janvier, 1er mai, 1er novembre, 25 décembre
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CERET :
MUSEE D'ART MODERNE : 8 boulevard Maréchal Joffre, 66400 Céret. Tél : 06.75.83.56.94. Mardi/Dimanche : 10h/18h.

**** « 75 ans d’amitié, les artistes et le musée »
« Pour célébrer ses 75 ans, le musée d’art moderne de Céret retrace ses liens avec les artistes les plus emblématiques de son histoire dans une vaste exposition du 12 avril au 16 novembre 2025. Une sélection de plus de soixante pièces majeures des collections propose un important panorama des figures qui ont contribué à l’aventure de ce musée d’artistes. L’identité singulière de l’établissement s’est construite avec des personnalités qui ont marqué les collections par leur implication dans le projet du musée. L’exposition met en lumière des donations décisives telles que celles de Marc Chagall, Henri Matisse et Pablo Picasso. Elle revient sur des personnalités marquantes qui ont joué un rôle incontournable dans la vie des collections du musée, notamment Christine Boumeestern, Valentine Prax, mais aussi Claude Viallat et Vincent Bioulès. Cet événement, qui fait également redécouvrir des commandes monumentales, révèle la singularité du modèle du musée d’art moderne Céret dans le paysage de l’art contemporain.
Le parcours de l’exposition s’ouvre sur des pièces emblématiques données par Marc Chagall, Henri Matisse et Pablo Picasso à partir de 1950. Ces figures majeures ont contribué par leur implication au développement du musée. D’autres personnalités marquantes ont joué un rôle incontournable dans la vie des collections cérétanes dans les premières années de l’établissement, notamment Christine Boumeester et Valentine Prax.
Le musée a également joué un rôle moteur dans la vie artistique de son environnement, en proposant des expositions et des résidences qui ont fait du musée un lieu d’émulation et de création. Claude Viallat et Vincent Bioulès ont entretenu un lien singulier et durable avec l’établissement dans les années 1970 alors que peu d’institutions favorisaient les jeunes artistes dans le Sud de la France et en Catalogne. Anne-Marie Pêcheur et Hervé Fischer ont poursuivi cette dynamique d’amitié et de création en témoignant de leur attachement au musée. L’exposition revient aussi sur des projets d’expositions marquantes qui ont nourri et transformé la relation du musée avec les artistes.
Dans ce contexte, le musée a encouragé la création artistique en sollicitant des artistes pour créer des pièces monumentales. L’exposition présente ainsi deux installations exceptionnelles réalisées par Toni Grand et Tom Carr pour le musée. Il s’agit de se plonger dans la création de ces pièces de grands formats qui évoquent des paysages dans lequel le visiteur est invité à déambuler librement.
Le musée d’art moderne de Céret s’est distingué par son implication dans le paysage de l’art contemporain et son histoire livre des perspectives pour l’avenir de l’établissement et ses enjeux de relations avec les artistes et la Méditerrannée. Des artistes comme Riera i Aragó et Alain Clément ont réalisé des travaux dans le contexte d’un musée qui a affirmé son rôle de laboratoire artistique.
En présentant l’histoire des relations entre le musée d’art moderne de Céret et les artistes, l’exposition démontre la part humaine et la continuité d’une aventure singulière. Une riche programmation et une nouvelle publication des œuvres incontournables de la collection seront proposées pour cet anniversaire du musée." (NDM)
Exposition du 12 avril au 16 novembre 2025
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CHAMARANDE :
CHATEAU : 38 rue du Commandant Maurice Arnoux, 91730 Chamarande. Tél : 01.60.82.52.01. Lundi/Dimanche : 9h/18h.
"Déployée dans l’ensemble des espaces d’exposition du château, cette nouvelle exposition offre une traversée au sein de neuf univers artistiques qui, chacun à leur manière, illustre une relation particulière à la notion de « territoire ».
Que ce soit par le dessin, la peinture ou la sculpture, mais aussi par la performance, la vidéo ou un travail textile, chaque artiste invite le visiteur à s’immerger dans une nouvelle forme de « territoire », qui ne se laisse pas enclore dans les catégories traditionnelles. Le rêve et le réel, le vécu et le mémoriel, le sensible et l’intelligible, l’espace et le temps s’agencent dans leurs œuvres au sein de nouvelles constellations, brèves et inédites." (NDM)
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CHAMBORD :
DOMAINE NATIONAL : 41250 Chambord. Tél : 02.54.50.40.00

**** Kim En Joong : « Couleurs de l’invisible »
« Le Domaine national de Chambord accueille pour la première fois un vitrailliste, Kim En Joong, figure majeure de cet art multiséculaire, pour l’exposition Couleurs de l’invisible. L’artiste est invité en résidence à Chambord pendant six semaines, afin de produire trois toiles, dont l’une sera choisie pour l’exposition. Certains des plus beaux vitraux du père Kim, présentés dans les bras de croix et dans les salles du second étage du château, entrent en étroite résonance avec l’esprit d’un monument dont l’architecture est, dans sa conception même, une ode à la circulation de la lumière. La toile issue de la résidence est exposée aux côtés d’une quarantaine de vitraux, peintures et céramiques. » (NDM)
Chambord, un patrimoine vivifié par la création contemporaine
Après une trentaine d’artistes, parmi lesquels Lionel Sabatté, Wang Keping, Pablo Reinoso ou Julien des Monstiers, le Domaine national de Chambord invite entre ses murs l’artiste-vitrailliste Kim En Joong pour une résidence suivie d’une exposition. Laboratoire de création depuis 2011, Chambord accueille artistes et écrivains en résidence donnant ensuite naissance à des expositions inédites.
« Chambord est un château percé de fenêtres, dont une partie garnie de vitraux, avec une architecture qui fait circuler la lumière. Les œuvres du père Kim En Joong vont trouver à Chambord une résonnance lumineuse. En invitant pour la première fois un vitrailliste, nous souhaitons, au-delà de l’artiste, valoriser cet art en constante évolution, qui allie tradition et modernité. »
Pierre-Gilles Girault
Exposition du 29 mars au 31 août 2025
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CHARENTON-LE-PONT :
ESPACE ART ET LIBERTE : Centre commercial La Coupole, 3 Place des Marseillais, 94220 Charenton-le-Pont. Tél : 01.46.76.48.97. Mardi/Vendredi : 13h/18h. Samedi : 10h/12h et 13h/18h.
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CHÂTEAUDUN :
CHÂTEAU : Place Jehan de Dunois, 28200 Châteaudun. Tél : 06 12 81 03 92
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CHERBOURG :
LE POINT DU JOUR : 107 avenue de Paris, 50100 Cherbourg. Tél. 02 33 22 99 23. Mercredi/Vendredi : 14h/18h. Samedi, Dimanche : 11h/19h
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CLAMART :
CENTRE D'ART CONTEMPORAIN CHANOT : 33 rue Brissard 92140 Clamart. Tél : 0147 36 05 89. Mercredi, Vendredi, Samedi, et Dimanche : 14 h/18 h, sauf fériés. Entrée Gratuite.
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CLERMONT-FERRAND :
MUSEE BARGOIN : 45 rue Ballainvilliers, 63 Clermont-Ferrand. Tél : 04.43.76.25.50. Jusqu'au 6 juillet : Du mardi au samedi : 13h - 17h. Dimanche : 14h - 19h // À partir du 7 juillet : Du mardi au samedi : 10h - 12h / 13h - 17h. Dimanche : 14h - 19h. Fermeture les 1er janvier, 1er mai, 1er novembre et 25 décembre
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COMPIEGNE :
MUSEE ANTOINE VIVENEL : 17 rue James de Rothschild, 60200 Compiègne. (Entrée côté parc Songeons). Mardi, Samedi, Dimanche : 10h/13h et 14h/18h. Mercredi, jeudi, vendredi : 14h/18h
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COLMAR :
MUSEE UNTERLINDEN : Place Unterlinden 68000 Colmar. Tél : 03.89.20.15.50. Lundi/Mercredi : 9h/18h. Jeudi/dimanche : 9h/18h.Pemier jeudi du mois : 9h/20h. Fermé le mardi.
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CORBIGNY :
ALTER EGO : Musée des mondes imaginaires : 7 rue de l'Anguison. Mardi/Samedi : 15h/19g. Vendredi : 9h/12h et 15h/19h.
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COSSE-LE-VIVIEN :
MUSEE COMMUNAL ROBERT TATIN, Salle La Grange : La Frénouse, 53230 Cossé-le-Vivien. Tél : 02.43.98.80.89. Du 1er avril au 30 septembre : TLJ. 10h/19h. Du 1er octobre au 31 mars : TLJ. 14h/18h.Fermeture le 25 décembre et tout le mois de janvier.
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CROIX :
VILLA CAVROIS : 60 avenue du Président John Fitzgerald Kennedy 59170 Croix. Tél : 06.12.81.03.92.

**** FABRICE HYBER : "Humeurs"*
"Après avoir installé ses hommes verts dans le bassin du Domaine national du Palais Royal pour les trente ans de l’Homme de Bessines, Fabrice Hyber expose ses créations à la villa Cavrois. 35 hommes et femmes de Bessines occupent ainsi l’ensemble de l’espace du miroir d’eau. Ses POF (Prototype d’Objets en Fonctionnement) occupent quant à eux l’ensemble des salles de la villa.
L’artiste imagine en parallèle un potager de 500 m² sur la parcelle en friche au fond du parc, pouvant être entretenu de façon pérenne après l’exposition, en poursuivant un objectif pédagogique. Présent depuis une vingtaine d’années sur la scène artistique internationale, Fabrice Hyber procède par accumulations, proliférations, hybridations et opère de constants glissements entre les domaines du dessin, de la peinture, de la sculpture, de l’installation, de la vidéo mais aussi de l’entreprise et du commerce.
À propos de Fabrice Hyber
Né en 1961 en Vendée, Fabrice Hyber intervient dans des domaines variés tels que le dessin, la peinture, la sculpture ou la vidéo. Attaché à la nature, à l’économie, au commerce et aux sciences, il a créé des systèmes autour de la production artistique avec les entreprises, des scientifiques et des laboratoires à travers le monde. Fabrice Hyber revendique un attachement aux mathématiques, aux sciences, mais également à la philosophie de Gilles Deleuze." (NDM)
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DEAUVILLE :
LES FRANCISCAINES : 145 bis avenue de la République, 14800 Deauville. Tél : 02.61.2.29.20. Mardi/Dimanche : 10h30/18h30.
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DICY :
LA FABULOSERIE : 1 rue des Canes, 89120 Dicy. Tél : 03.86.63.64.21. Ouverture du 1 avril au 2 novembre : Avril, mai, juin : Samedi, Dimanche et fériés / 13H30/18H.
Juillet/Août : TLJ. : 11h/19h.
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DIJON :
MUSEE DES BEAUX-ARTS : Palais des ducs et des Etats de Bourgogne : CS73310 21033 Dijon. Tél : 03.80.74.52.09. Ouvert tous les jours sauf le mardi :
du 1er octobre au 31 mai : de 9h30 à 18h
du 1er juin au 30 septembre : de 10h à 18h30
Fermé les mardis, ainsi que les 1er janvier, 1er mai et 8 mai, 14 juillet, 1er et 11 novembre, 25 décembre.
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DINARD :
PALAIS DES ARTS ET DU FESTIVAL : 2 boulevard Wilson, 35800 Dinard. Tél : 02.99.46.50.63.
et VILLA DES ROCHES BRUNES: 1 allée des Douaniers, 35800 Dinard

**** OLIVIER DEBRÉ : « Voyages en abstraction »
« la ville de Dinard présente sa nouvelle exposition consacrée à Olivier Debré (1920-1999), figure française majeure de l'abstraction lyrique d'après-guerre. Cette exposition propose un regard intimiste sur l'itinéraire du peintre en évoquant les évolutions successives de son voyage au cœur de l'abstraction. Organisée selon un parcours chrono-thématique, l'exposition évoque, par une sélection de plus de soixante-dix œuvres conservées au sein de collections privées et publiques, les nouvelles voies explorées par l'artiste depuis ses premières peintures « de guerre » et ses tableaux maçonnés des années 1950 jusqu'à l'abstraction fervente qui le définit.
Tout au long de ses voyages, sa vision nous offre une plongée dans les formes et les couleurs et un effacement du paysage traditionnel au profit de la transcription d'une perception : « Quand je suis comme le vent, comme la pluie, comme l'eau qui passe, je participe à la nature et la nature passe à travers moi ».
Si l'artiste ne cesse d'explorer de nouvelles sensations au cours de séjours à l'étranger, du désert de Jordanie aux fjords de Norvège en passant par le Taj Mahal ou le Japon, sa quête picturale prioritaire aussi les environs de la maison familiale en Touraine comme en témoignent les grands formats peints au bord de la Loire.
Bien au-delà de son qualificatif de peintre abstrait, Olivier Debré bouleverse le rapport du spectateur à la peinture. Il cherche dans ses œuvres singulières à toucher « le quotidien de la vie la plus commune ».(NDM)
Exposition du 29 juin au 2 novembre 2025.
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DUNKERQUE :
LIEU D'ART ET D'ACTION CONTEMPORAINE : LAAC : 302 avenue des Bordées, 59140 Dunkerque Tél : 03.28.29.56.00. Mardi /Vendredi : 9h30/18h. Samedi et Dimanche : 10h/18h.
Fermé exceptionnellement : Le 1er janvier, le 1er novembre, 24 décembre après-midi, 25 décembre, 31 décembre après-midi. L'après-midi de Mardi Gras et le dimanche du Carnaval, 1er mai et 15 août.

**** Judit EIGL : « L’Envol. Dessins et peintures (1945-2012) »
« le LAAC présente « Judit Reigl, L’Envol. Dessins et peintures (1945-2012) », une exposition qui met en lumière l’œuvre dessiné de Judit Reigl, artiste d’origine hongroise, à travers ses grandes séries emblématiques et en dialogue avec son œuvre peinte.
Judit Reigl, surtout reconnue pour son œuvre picturale, a constamment redéfini le rôle du dessin dans sa démarche artistique. En prolongeant sur papier ses recherches menées sur toile (et inversement), elle a exploré, à travers l’encre de Chine ou le fusain, les frontières entre abstraction et figuration. Alternant grands et petits formats, l’artiste a tissé des liens entre le geste, le son et la représentation en deux dimensions. Son travail a évolué de l’abstraction vers une calligraphie expressive, jusqu’à l’émergence de formes humaines.
« Judit Reigl, L’Envol. Dessins et peintures (1945-2012) » met en lumière l’œuvre dessiné de cette artiste d’origine hongroise à travers ses grandes séries emblématiques et en dialogue avec son œuvre peinte, des « Éclatements » (1954) aux « Oiseaux » (2012). Portée par le geste et la dynamique du corps, Judit Reigl a toujours refusé de s’enfermer dans un seul courant artistique. Cette exposition itinérante s’installe à Dunkerque après sa présentation au musée des Beaux-Arts de Caen." (NDM)
Exposition du 26 avril au 14 septembre 2025
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DUNKERQUE :
FRAC GRAND LARGE HAUTS DE FRANCE : 503 avenue des Bancs de Flandres 59140 DUNKERQUE. Tél : 03.28.65.84.20. Mercredi/Vendredi : 14h/18h. Weekends (octobre/Mars) : 10h/18h.
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ECOUEN :
MUSEE NATIONAL DE LA RENAISSANCE : 94440 Château d'Ecouen. Tlj. sauf le mardi : 9h30/ 12h45 et d14h/ 17h45 (17h15 à partir du 01/10/13)
accès : par le train (SNCF) : gare du Nord banlieue : ligne H (voie 30 ou 31) 25 minutes direction Persan-Beaumont / Luzarches par Monsoult, arrêt gare d'Écouen- Ezanville, puis autobus 269, direction Garges-Sarcelles (5 min), Arrêt Mairie/Eglise (ou rejoindre le musée à pied depuis la gare (20 min) par la forêt) par la route : (à 19 km de Paris) autoroute A1 depuis la Porte de la Chapelle suivre Roissy CDG, sortie Goussainville / Cergy- Pontoise par la Francilienne (D104), direction Cergy- Pontoise, puis RD 316 (N16) en direction de Paris.
Tarifs : 7 €, TR 5,50 €. Gratuit pour les moins de 26 ans et pour tous le 1erdimanche du mois ainsi que le WE des journées du Patrimoine
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EPINAL :
MUSEE DE L'IMAGE : Cité de l'image, 42 quai de Dogneville, 88000 Epinal. Tél : 03.29.81.48.30.
Du 1er septembre au 30 juin : tous les jours 9h30-12h /14h-18h sauf lundi 14h-18h(fermé le matin), vendredi9h30-18h, dimanche et jours fériés (sauf lundi férié)10h-12h / 14h-18h
En juillet et août : tous les jours 10h-18h, sauf lundi 14h-18h (fermé le matin).
Fermeture exceptionnelle du Musée de l’Image les 25 décembre et 1er janvier.
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ESCOLIVES SAINTE CAMILLE :
MUSEE PIERRE MERLIER : Hameau du Saulce, 89290 Chemin du Saulce, Escolives.TLJ. sauf mardi 11h/18h. Tél : 06.74.86.17.05.

**** MICHEL SMOLEC ET ISABELLE BOIZANTÉ / sculptures
VOIR AUSSI :
MICHEL SMOLEC : TEXTE DE JEANINE RIVAIS "NAISSANCE D'UNE VOCATION" : BULLETIN DE L'ASSOCIATION LES AMIS DE FRANCOIS OZENDA N°58 de SEPTEMBRE 1996. TEXTE : http://jeaninerivais.jimdo.com/ RETOUR(S) SUR UN QUART DE SIECLE D'ECRITURE(S)
ENTRETIEN AVEC JEANINE RIVAIS : http://jeaninerivais.jimdo.com/ FESTIVAL CERAMIQUES INSOLITES, SAINT-GALMIER 2005. Et : "TANT ET TROP D'YEUX ou MICHEL SMOLEC dessinateur" : ART SINGULIER. Et aussi : "ET DE NOUVEAU NOUS SOMMES DEUX" : http://jeaninerivais.jimdo.com/ ART SINGULIER. Et TEXTE DE JEANINE RIVAIS : RUBRIQUE FESTIVALS RETOUR SUR BANNE 2003. Et : COURT TEXTE DE JEANINE RIVAIS : FESTIVALS : 6e BIENNALE DE SAINT-ETIENNE 2018. TEXTE "MICHEL SMOLEC A LA CAMPAGNE". TEXTE "MICHEL SMOLEC ET L'AMABIE" : http://michelsmolec.jimdo.com/ Et TEXTE http://jeaninerivais.jimdo.com/ DROME ET ISERE BIENNALE DES ARTS SINGULIERS ET INNOVANTS 2022. Rubrique FESTIVALS.
Et texte : "EROTISME ET TENDRESSE DANS LES PERSONNAGES DE MICHEL SMOLEC" : http://jeaninerivais.jimdo.com/ FESTIVALS : 9e BIENNALE DE SAINT-ETIENNE 2024 UNIEUX
Et TEXTE DE JEANINE RIVAIS : "MICHEL SMOLEC A LA CAMPAGNE" : http://jeaninerivais.jimdo.com/ rubrique 9E BIENNALE DE SAINT-ETIENNE 2024
Vernissage le 30 mars à 17h.
Exposition du 30 mars au 28 avril 2025.
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FIRMINY :
EGLISE SAINT-PIERRE : rue des Noyers, 42700 Firminy.Tél : 06.78.84.63.42.

**** NOS PIEDS D’ARGILE
« L'exposition « Nos pieds d'argile », conçue par matali crasset et présentée à l'église Saint-Pierre de Firminy-Vert - Site Le Corbusier, propose une réflexion collective sur la fragilité de l'être humain et sa relation à l'environnement. Le parcours dévoile une série de projets design qui encouragent à réparer, réhabiliter et préparer le terrain pour un futur durable.
Une exposition en trois étapes (avec trois projets chacun) pour analyser, raconter et changer nos pratiques :
1. Nous réparons le terrain (du commun) à l'aide d'un dispositif/espace qui nous invite à se fédérer pour se poser les bonnes questions et d'une installation à l'extérieur du lieu d'exposition pour activer un séchoir collectif avec les étudiants de l'école Head.
2. Nous réhabitons le terrain avec trois réalisations pour s'ancrer en faisant le point sur nos attaches, convoquer des récits situés et donner à voir un territoire.
3. Nous préparons le terrain avec l'exposition du démonstrateur échelle 1 d'une habitation pragmatique, pensée pour une interaction avec son milieu et pour restituer à la terre.
Enfin, le projet se conclut par la création de deux fantaisies, deux œuvres qui prolongent le réel pour mieux s'en échapper, avec des associations inattendues pour tenter de retrouver une certaine légèreté. L'exposition propose un espace-temps spécifique : penser le passé comme au-dessous de nous plutôt que de le penser à l'arrière de nous. Comme le suggère David Abram : « Le passé loin d'être ce qui s'éloigne à mesure que nous avançons dans le monde, serait le sol même sur lequel nous progressons – tout composé qu'il est de l'archive des vivants et de leurs corps (branches, feuilles, racines, squelettes...) déposés, couches après couches, et constituant ainsi l'humus sur lequel nous marchons ». Le sol de l'exposition est recouvert de copeaux de bois et la scénographie active les nombreux gradins de l'espace. » (NDM)
Exposition du 18 avril 2025 au 11 janvier 2026.
FONTENOY :
CENTRE REGIONAL D'ART CONTEMPORAIN : Château du Tremblay, 89520 Fontenoy. Tél : 03.89.44.02.18. Fermé le lundi, sauf férié : 14h/19h.
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FRESNES :
ESPACE D’ART CHAILLOUX : 7 rue Louise Bourgeois, 94260 Fresnes. Tél : 01.78.68.28.37.

**** Élise Beaucousin – Frédéric Daviau - Gabrielle Herveet – jacquesBernard - Caroline Kennerson – Mélanie Pasquier : « Le printemps du dessin ».
Voici notre quatrième exposition entièrement consacrée au dessin. Comme l'année dernière, notre accrochage s'inscrit dans Le Printemps du dessin , manifestation, couvrant l'ensemble du territoire national, dévolue à la mise en avant du dessin sous toutes ses formes.
Les six plasticien(ne)s présentés(e)s dans cette exposition nous proposent une large palette de techniques – mine de plomb, graphite, crayons de couleur, feutre, crayon à bille, encre, aquarelle, gouache, peinture acrylique… – mais aussi de supports autres que le papier : toile, écorce, laiton…
Les univers sont aussi très divers : autoportraits réalistes chez jacquesBernard, monde maritime chez Gabrielle Herveet, onirique et fantastique chez Mélanie Pasquier, paysages imaginaires chez Frédéric Daviau, navigation entre microcosme et macrocosme chez Caroline Kennerson, inspiration musicale chez Élise Beaucousin.
Élise Beaucousin est musicienne. Ses dessins méticuleux cherchent à transposer, dans le monde plastique, la temporalité des compositions musicales. On peut y discerner les deux dimensions – verticale et horizontale – d'une partition, matérialisée, de façon subtile et quasi obsessionnelle – ostinato , pourrait-on dire – par des juxtapositions de lignes constituées de fins tirets à la mine de plomb. Ils tissent des structures qui peuvent, selon les plages, être denses ou aériennes, évoquant des paysages incertains, mouvants, transparents, dotés de symétries improbables. Ailleurs, ce sont des images d'hélices, d'ailes d'oiseaux, de fleurs, de fragments végétaux ou architecturaux qui peuvent surgir de ces surfaces savamment et patiemment modélisées. Cependant, tout reste au niveau de la suggestion, laissant le spectateur libre de déterminer la nature de ce qu'il voit ou veut voir. Les zones laissées en réserve, créent des rythmes, absorbent la lumière et, telles des ossatures, des nervures ou des membranes, s'ouvrent vers la troisième dimension. Ainsi, plein et vide, continuité et rupture, fluidité et profondeur, ancrage terrestre et univers aérien, douceur et rigueur, réalité et reflets peuvent coexister au sein de la même feuille. Pour notre plus grand plaisir…
Frédéric Daviau , inlassablement, dessine des paysages, en noir et blanc, à la mine de plomb, ou rehaussés de quelques taches de couleur. Ils sont souvent panoramiques, comme saisis à distance, d'un point de vue légèrement élargi. Ils ont tous un petit air de famille, donnant l'impression qu'ils concernent le même secteur, boisé et légèrement vallonné. On y décèle l'influence des paysagistes hollandais. Le paradoxe est que ce pays si bien figuré n'existe pas, du moins géographiquement parlant. Ces dessins sont tous d'imagination, réalisés en atelier sans le moindre modèle. Si paysage il ya, il ne peut être que mental, fruit de la vision intérieure d'un pays de cocagne dont les rythmes doivent plus à l'architecture et à la musique qu'à la topographie. Curieusement, toute trace de présence humaine en est bannie. Tout au plus peut-on imaginer une route ou un chemin dissimulé derrière les feuillages, ou l'herbe d'une prairie récemment fauchée. Les alignements des arbres n’ont rien de fortuit ou d’anarchique. Ils témoignent aussi d'une présence active et créatrice… Mais il s'agit à l'évidence de la projection idéalisée de la personnalité de l'artiste plutôt que des effets de l'action d'un quelconque paysagiste ou exploitant agricole. La déambulation à laquelle le regardeur est invité est celle du regard et de la pensée qui l'accompagne, focalisée par un menu détail ou élargie aux dimensions d'une feuille qui devient monde. Les tensions sont rythmiques et mélodiques comme dans la partition d'une écriture musicale horizontale d'où serait bannie toute velléité harmonique.
Gabrielle Herveet habite et travaille en bordure de l'estuaire du Trieux, lieu d'interpénétrations de masses d'eaux douces et salées, dans un paysage sans cesse renouvelé, instable dans son essence, entre lande, forêt et estran. Elle façonne et assemble des laisses retenir lors de longues promenades assujetties au cycle lunaire des marées et aux aléas météorologiques. Elle dessine aussi les effets des courants antagonistes de l'eau ou des nuages. À la fois traces du temps qui passe et du temps qu'il fait , les ciels, leurs nuages et leurs étoiles, les eaux qui coulent ou qui stagnent, les rivages, drus ou nus, sont omniprésentes dans son travail. Ses œuvres résultent de la confrontation entre ces éléments naturels, plus ou moins récurrents mais parfois imprévisibles. Dans ce qu'elle nous donne à voir, l'écoulement des heures, des mois et des années se fait au rythme des évolutions météorologiques… Rapidement changeantes, car nous sommes, chez elle, en Bretagne. Son approche se veut scientifique, fondée sur des lois réelles ou empiriques, s'appuyant sur la collecte d'échantillons et l'arpentage sur site, sur l'observation des phénomènes naturels et de leurs variations. À la discipline mathématique très rigoureuse de la mécanique des fluides elle ajoute une plus empirique mécanique des paysages marins qu'elle développe dans une logique quasiment inflexible. Se mêlent aussi à ses observations des craintes sur la pérennité de ces écosystèmes fragiles.
En 2018, lors de la première exposition consacrée au dessin en ce lieu, nous avions présenté des grands dessins panoramiques, hyperréalistes, au trait en noir et blanc, sur papier de jacquesBernard . Il revient, cette année, avec des travaux, toujours dans la veine réaliste et sur papier, mais dans une toute autre technique : des aplats de gouache et des couleurs éclatantes. Ce sont des autoportraits frontaux, sur des fonds colorés uniformes. Son corps est tronqué en bas un peu au-dessus du niveau des genoux. Le visage est expressif, mais les mains le sont encore plus. L'artiste veut évidemment nous délivrer un message, mais il demeure incertaine. Au regard de l'interprète comme il l'entend… Ici donc, comme dans ses anciens dessins, il se passe quelque chose d'étrange, de mystérieux, voire de menaçant. Le spectateur est invité à décrypter – ou à inventer – les histoires muettes dont ces instantanés sont le reflet. Voire à entrer en discussion avec le dessinateur et à entamer une conversation dont le fil reste à définir…
Dans ses patients dessins à l'encre, Caroline Kennerson s'intéresse à des aspects invisibles de la vie, empruntant des images au milieu médical ou scientifique, qu'elle combine avec des structures imaginaires, enjeux de son expérience personnelle, subvertissant les notions d'échelle, d'intérieur et d'extérieur. Devant ses grandes feuilles, le spectateur ne sait dire, a priori , s'il s'agit de macrocosme ou de microcosme, de la voûte céleste ou d'un bouillon de culture… Elle procède par hybridation d'éléments des règnes animal et végétal pour faire surgir, révéler – au sens photographique de ce mot – des relations et des similitudes insoupçonnées, mais pourtant latentes dans l'inconscient collectif, entre des éléments du vivant. Ce qui peut expliquer leur aspect souvent dérangeant, dans la mesure où l'artiste remet en cause de fausses certitudes fortement ancrées chez chacun d'entre nous. Chez Caroline Kennerson, la fragilité est établie en valeur cardinale. La sensibilisation à l'altérité est aussi centrale dans ses œuvres. Ses grands dessins, comme Chœur , figurent sa vision de la biocénose, l'ensemble des organismes vivants coexistant dans un écosystème donné, leurs organisations et interactions. Une incitation à transposer cette notion à notre échelle, à plonger dans notre intime, mais aussi et surtout à repenser notre rapport à l'Autre, à mettre en évidence l'inter¬dépendance vitale des divers constituants de notre humanité.
Les dessins de Mélanie Pasquier grouillent d'objets rampants, hybrides, énigmatiques, fantastiques, non identifiables dans leur globalité mais qui révèlent des détails précis empruntés au monde réel. Ils se développent sur des fonds de couleurs éteintes, évoquant un univers qui peut, selon la sensibilité du regardeur, être ressenti comme onirique, poétique ou anxiogène. L'artiste déclare qu'une partie de son inspiration, qu'elle qualifie de dérivée , provient d'images qui se sont imposées à son esprit pendant sa grossesse. S'y mêlent des considérations sur la fertilité de la terre, sur ses relations au vivant, à la mythologie et, plus particulièrement, aux divinités solaires, infernales ou souterraines, dans une tentative de toucher aux formes abstraites qui se cachent derrière les objets ou les paysages familiers. Entre évanescence et ancrage terrestre, entre matérialité et visions fantasmées, entre familiarité et inquiétude, entre manifestation de l'émergence de la vie et son extinction, ses compositions ouvrent une sorte de boîte de Pandore, libérant une multitude de sollicitations physiques et émotionnelles qui saisissent le spectateur et l'entraînent, à son corps défendant, dans un vertigineux processus d'introspection dont il ne ressort jamais indemne.
Vernissage samedi 5 avril à 15h.
Exposition jusqu’au 7 juin 2025.
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GIVERNY :
MUSEE DES IMPRESSIONNISMES : 99 rue Claude Monet, 27620 Giverny0 Tél : 02.32.51.94.65.
Ouvert du 28 mars au 2 novembre 2014 : TLJ. : 10h/18h. Ouvert les jours fériés. Gratuit le 1er mai.
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HAUTERIVES :
PALAIS IDEAL DU FACTEUR CHEVAL : 8 rue du Palais Idéal, 26390 Hauterives. Tél : 04.75.68.81.19. TLJ. : 9h30/18h30.
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HYERES :
BANQUE MUSEE DES CULTURES ET DU PAYSAGE D'HYERES : 14 avenue Joseph Clotis, 83400 Hyères. Tél : 06.75.83.56.94. Mardi/Vendredi : 11h/19h. Samedi : 15h/19h. Dimanche : 10h/14h.