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PARIS : 

ADJACENT GALLERY : 24 rue des grands Augustins 75006 Paris. Tél : 01.89.31.09.91. Mercredi/Samedi : 14h/19h.

**** ALEXIA CHEVROLLIER ET VALENTINE ESTEVE

 

  La lumière révèle la transparence. Sans force lumineuse, aucune matière translucide ne peut révéler ses reflets, ses éclats, et sa franchise. Dans leurs recherches respectives, les artistes Valentine Esteve et Alexia Chevrollier n’ont de cesse d’explorer la puissance de la lumière et l’empreinte de celle-ci sur la matière, l’espace et la mémoire.

 

    Valentine Esteve est une peintre du scintillement, de l’ombre et du halo. Ses peintures sont autant de réminiscences fantasmées d’espaces traversés, habités ou oubliés. Dans une palette de couleur extrêmement resserrée se forment d’apparents monochromes, dans une ritournelle d’éléments architecturaux, une superposition de motifs ancestraux, et de stigmates intimes à demi-effacés, produisant un faisceau d’indices menant à une narration qu’il nous resterait à compléter.

 

    Alexia Chevrollier est une sculptrice de la matière brute. Ses œuvres sont des vestiges d’une tension affranchie. Elle collabore avec les éléments pour mieux les libérer de toute contrainte : le métal s’oxyde, le verre s’essouffle et le sucre cristallise. Ces matériaux immémoriaux ont ainsi la possibilité de s’exprimer avec poésie, tandis que les forces physiques silencieuses qui régissent notre monde poursuivent leur dérèglement entropique. Andy Rankin

 

Vernissage le 19 juin à 18h.

Exposition du19 juin au 7 septembre 2024.

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PARIS : 

GALERIE XII : 14 rue des Jardins Saint-Paul; 75004 Paris. Tél : 06.62.09.43.63. Mardi/Vendredi : 14h/19h. Samedi : 12h/19h.

**** MARIE CECILE THIJS

 

la Galerie XII présente une exposition de l'artiste néerlandaise Marie Cecile Thijs. Photographe jouant avec la temporalité, Marie Cecile Thijs crée des images incarnant une relation entre passé et présent qui semble irréelle, voire surnaturelle. Portraits de personnes, d'animaux, de fleurs, d’objets et d’aliments inspirés de la peinture du XVIIe siècle, chacun de ses sujets est marqué par une immobilité troublante. Cette dualité - entre l'ancien et le nouveau, la lumière et l'obscurité, l'intimité et la distanciation - est la clé de l'œuvre de Marie Cecile Thijs. La Galerie XII présente pour cette exposition des œuvres issues de ses différentes séries : Flowers, Vases & Delftware, Food Portraits, Amazones et White Collar." (NDLG)

 

Expositin du 13 septembre au 26 octobre 2024

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PARIS : 

GALERIE L'ART ET LA MATIERE : 23 rue Saint-Louis en l'Ile.  Tél : 06.27.28.53.54. Mercredi/dimanche : 14h30/19h.

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PARIS : 

BACKLASH : 29 rue Notre-Dame de Nazareth : 75003 Paris. Mardi/Samedi : 14h/19h.

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PARIS : 

ESPACE CINKO : 12/18 Passage Choiseul, 75002 Paris. Jeudi, Vendredi, Samedi : 11h/20h.

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PARIS : 

GALERIE AFRICAINE : 21 rue Véron 75018. Tél : 06.60.24.06.26. TLJ. : 12h/19h.

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PARIS : 

GALERIE DES MINIMES : 13 rue des Minimes, 75003 Paris. Mercredi - vendredi : 11h - 18h30

Samedi - dimanche : 14h30 - 18h30 

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PARIS : 

LA FABULOSERIE : 52 rue Jacob, 75006 Paris. Tél : 01.42.60.84.23. Mercredi/Samedi : 14h/19h.

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PARIS : 

LA GALERIE DU 19M :  2 place Skanderberg, 75019 Paris. Tél : 06.12.81.03.92. Mercredi/Vendredi : 11h/18h. Samedi, Dimanche : 11h/19h.

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PARIS :

LA VILLE DES ARTS GALERIE : 15 rue Hégésippe Moreau 75018 Paris. Tél : 06.83.89.81.56. Mardi/Vendredi : 15h/19h. Samedi et dimanche : 14h/18h.

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PARIS : 

LA PALETTE RUSSE : La Ville A des Arts, 15 rue Hégésippe Moreau, 75018 Paris. TLJ. : 14h/19h.

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PARIS : 

L'ENTREE DES ARTISTES : 25 rue des Tournelles, 75004 Paris. Mercredi/Samedi : 14h/19h30.

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PARIS : 

LES FILLES DU CALVAIRE (GALERIE) : 17 rue des Filles du Calvaire, 75003 Paris. Mardi/Samedi : 11h/18h30.

*** EXPOSITION AUTOUR DE BRUTNEY SPEARS : "Failures" : Jérémy Berton, Corentin Darré, Bryce Delplanque, Ophélie Demurger, Marius Fouquet, Léo Fourdrinier, Frances Goodman, Julia Haumont, Hippolyte Hentgen, Michel Jocaille, Katinka Lampe, Thomas Lévy-Lasne, Émilie Pitoiset, Lise Stoufflet, Valentin Van Der Meulen, ainsi que des œuvres de la collection personnelle de Marty de Montereau.

 

Britney Spears, une icône pop mondialement connue, a été au centre de l'attention médiatique et du regard du public depuis le début de sa carrière. Ces dernières années, sa vie personnelle tumultueuse a suscité des débats et soulevé des questions sur le contrôle exercé sur elle. 

En examinant son parcours, on peut trouver des similitudes surprenantes avec Alice au Pays des Merveilles, où la réalité semble se distordre et où la quête de la liberté devient un voyage labyrinthique.

Britney Spears a fait ses débuts dans l'industrie musicale dès son plus jeune âge, devenant rapidement une sensation mondiale avec son premier album Baby One More Time. À cette époque, elle était comme Alice, entrant dans un monde nouveau et étrange de célébrité. La pression médiatique et les attentes incessantes ressemblent étrangement à la descente du terrier du lapin blanc, où la réalité se transforme en un labyrinthe complexe.

Au fil des ans, Britney a été soumise à un contrôle strict, notamment à travers la tutelle légale qui a géré sa vie personnelle et financière. Cette situation rappelle le contrôle rigide exercé sur Alice lorsqu'elle a suivi le lapin blanc dans son terrier, se retrouvant piégée dans un monde où les règles semblaient changer constamment. Britney, comme Alice, a été confrontée à des contraintes qui semblaient irrationnelles et souvent injustes.

Dans le Pays des Merveilles, Alice se retrouve confrontée à la tyrannie de la Reine de Cœur, qui contrôle tout d'une main de fer. De manière analogue, Britney Spears a décrit sa tutelle comme oppressive, où chaque aspect de sa vie était régulé et dicté. La comparaison entre le château de la Reine de Cœur et la tutelle dans la vie de Britney soulève des questions sur le contrôle excessif et les limites de la liberté personnelle.

Tout au long de sa carrière, Britney a exprimé son désir de liberté et de normalité, des aspirations partagées par Alice dans sa quête pour retrouver la réalité. Comme Alice, Britney cherche à retrouver le contrôle de sa vie, en prenant notamment la parole lors de audiences judiciaires et exprimant son désir de mettre fin à la tutelle de ses parents, et à échapper à un monde étrange et injuste.

Les similitudes entre la vie de Britney Spears et le voyage fantastique d'Alice soulignent les défis que peuvent rencontrer des adolescents qui se trouvent soudainement plongés dans un monde adulte complexe et souvent impitoyable. La quête de Britney pour retrouver sa liberté résonne comme un appel à l'autonomie et à la redécouverte de soi, tout comme Alice cherchant à retrouver la réalité dans un pays fantastique.(NDLG)

 

Exposition du 29 juin au 27 juillet et du 31 août au 21 septembre 2024

****JEREMIE COSIMI : "Des soleils et des nuits"

 

« Une lumière éclot dans l’obscurité et caresse la peau rugueuse d’un agrume, la viscose de survêtements, la surface rocailleuse d’une ruine, le plissé d’un drap ou encore les sillons caverneux d’un coquillage. Elle éclaire des objets, des corps, des situations poussées à leur acmé. Elle incendie le paysage, théâtralise les figures et les portraits comme elle souligne le silence des choses ici traduites par la peinture ou le dessin.

Les nouvelles œuvres de Jérémie Cosimi, pensées pour sa première exposition personnelle à la galerie Les filles du calvaire, déploient une histoire en pointillé, faite d’éclats et de manques. Sans s’inscrire dans une narration déterminée et grandiloquente, elle s’ancre dans un rapport intime avec les sujets représentés. Ceux-ci émergent du quotidien de l’artiste et sont transposés par le prisme de la mise en scène dans des espaces à la localité parfois indécise. A l’orée d’un décor signifié par un drapé, sur un fragment de colonne, à l’amorce d’un fond sombre, sur le plateau lisse d’une table, ils écrivent par leur présence une phrase poétique et par endroit chorégraphique. Les sujets se font souvent l’écho de courtes nouvelles ou de longs poèmes écrits par l’artiste, qui échappent à notre lecture. Car l’intention n’est pas de donner à lire mais à voir. Ces mots irriguent alors en creux sa démarche et inspirent des gestes qui au fur et à mesure deviennent des scènes. La photographie en saisit la composition avant que la peinture ne transfigure l’image. Ces opérations de traduction ne cryptent néanmoins pas le référent. Au contraire, ces étapes permettent de synthétiser les choses, d’en cristalliser l’essence.

Des grands formats aux miniatures, Jérémie Cosimi cerne un univers à la fois étrange et familier. Il entretient une proximité directe avec les sujets qu’il représente, tout en les déplaçant dans des endroits liminaires et souvent anachroniques. Les cadrages serrés comme l’épure des décors brouillent le rapport à la temporalité. Il s’agit alors d’envisager la capacité des objets et des corps à traverser le temps. Les éléments figurés deviennent par là des archétypes qui interrogent les persistances et les variations qui irriguent le cours de notre histoire. User du clair-obscur, réinvestir la scène de genre ou la nature morte est une manière de tisser des formes d’héritage ; de creuser le présent de la même manière que le passé et de faire éclore à partir de choses à priori anodines des formes immuables. Goûter des yeux une tranche de melon, se confronter à l’entrelacement des corps et des plis, plonger son regard dans un horizon lointain apparaissent comme autant d’invitations à investir le banal et le connu pour en affirmer l’importance, voire l’extraordinaire. Chaque œuvre devient ainsi un fragment non plus d’un récit univoque, mais de mémoires individuelles et collectives mises ici en partage. » — Thomas Fort, critique d'art

 

Exposition du 5 septembre au 19 octobre 2024. Interruption du 24 septembre au 4 octobre

**** LEO FOURDRINIER : "Poems Hide Theorems"

 

" Les filles du calvaire accueille Poems Hide Theorems, la première exposition personnelle de Léo Fourdrinier à Paris. Avec ses sculptures et installations, Léo Fourdrinier se nourrit de science et de poésie pour entremêler formes classiques et objets technologiques.

Inspirée par La Psychanalyse du Feu de Gaston Bachelard, philosophe et scientifique français, l’exposition explore la création poétique et l’innovation scientifique. Bachelard mettait en évidence comment ces deux approches se nourrissent mutuellement : « Les poèmes cachent les théorèmes » signifie que la poésie exprime des vérités de manière métaphorique ou symbolique, qu’elles soient de nature philosophique, psychologique ou même scientifique. Pour Fourdrinier, la complémentarité de la poésie et de la science est une clef pour la description de la réalité du monde qui nous entoure.

Un poème sur le mouvement des étoiles peut révéler une compréhension intuitive de l’astronomie, tout comme un poème sur les relations humaines peut offrir des perspectives en psychologie sociale. De même, les théorèmes scientifiques peuvent être révélés à travers la poésie, capable de capturer des nuances et des idées difficiles à exprimer logiquement ou rationnellement (nous nous rappelons de la démarche bien connue d’Einstein passant de la contemplation de la gelée de veau à la théorie de la relativité). Science et imaginaire se distinguent par leur relation au temps : l’une tournée vers l’avenir et les découvertes, l’autre explorant les mythes et symboles du passé. Fourdrinier s’appuie sur cette dualité en revisitant des symboles universels pour éclairer la perception des réalités contemporaines et futures." (NDLG)

 

Exposition du 5 octobre au 2 novembre 2024.

**** SCARLETT COTEN : "Trilogie M"

 

La galerie Les filles du calvaire présente pour la première fois la trilogie « M » de Scarlett Coten constituée de trois séries, réalisées entre 2012 et 2023, qui explorent le thème des masculinités contemporaines, de la région méditerranéenne secouée par les révolutions à l’Amérique de l’ère Trump, en passant par la France actuelle : Mectoub, réalisé dans sept pays du Maghreb et du Moyen Orient ; Plan américain, à travers treize états américains et La disparition de James Bond réalisé en France

« M » met en lumière une génération qui, depuis plus d’une décennie, ébranle les structures de genre et transforme la vision du monde. Ce projet explore l’acte politique que constitue la volonté de s’affirmer en tant qu’individu pour ces jeunes-hommes, dans un renversement de perspective, un décentrement : le regard d’une femme sur des hommes (désignés ainsi à la naissance) qui défient les normes de genre, se libèrent des contraintes et des pressions du modèle traditionnel unique, repensent l’identité comme multiple, mouvante, et redéfinissent la masculinité. Ce travail nous invite à déconstruire les mythes et à repenser les notions de genre et d’identité au-delà des frontières culturelles et géographiques.

Scarlett Coten est une photographe française reconnue pour ses recherches sur les thèmes de l’identité et de de la masculinité à travers des portraits intimes qui défient les stéréotypes et les attentes culturelles. Sa pratique artistique privilégie une approche documentaire, immersive, enrichie d’une dimension fictionnelle inspirée de l’univers cinématographique qui contourne les codes du genre, notamment, par le recours à la mise en scène et le choix de ses décors, naturels, et précisément sélectionnés.

Elle utilise un style distinctif, mêlant couleurs vives et compositions réfléchies, pour créer des images qui sont à la fois esthétiquement captivantes et profondément significatives. Chaque photographie invite le spectateur à une réflexion sur les complexités de l’identité et les dynamiques sociales. De son vécu indissociable de sa pratique artistique et de son expérience en tant que femme dans la société et en tant qu'artiste, la photographe pose un regard unique sur des questions à la fois personnelles et universelles (l’art, le pouvoir, le clivage traditionnel entre l’auteur et le sujet, le réel et l’imaginaire). Son travail a été largement exposé et publié. En 2016, elle a reçu le prix Leica Oskar Barnack, soulignant l’impact de son œuvre sur la photographie contemporaine."(NDLG)

 

Exposition du 24 octobre au 30 novembre 2024.

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PARIS : 

LES VERRIERES : 41 rue de Seine (Fond de cour)75006 Paris. Tél : 06.70.56.63.24./Samedi : 14h30/19h. 

NOUVEL ESPACE DEDIE AUX ARTS AFRICAINS

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PARIS : 

GALERIE LE TOIT DU MONDE : 6 rue Visconti, 75006 Paris. Tél : 01.43.54.27.05.

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PARIS :

GALERIE POLYSEMIE 4 rue des Guillemites, 75004 Pais. Tél : 06.07.27.25.58. Mercredi/Samedi : 14h/19h.

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 PARIS :

MAIRIE DU 1ER ARRONDISSEMENT : 4 place du Louvre, 75001 Paris. Lundi/Mercredi : 11h/17h. Jeudi : 11h/19h30. Samedi : 10h/12h30.

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PARIS :

MAIRIE DU VIe : SALON DU VIEUX COLOMBIER : 78 rue Bonaparte, 75006 Paris. Entrée libre du lundi au vendredi de 10h30 à 17h, le jeudi de 10h30 à 19h, le samedi de 10h à 12h

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PARIS :

MAIRIE DU VIIIe ARRONDISSEMENT : 3 rue de Lisbonne 75008 Paris. Lundi/Vendredi : 12h/18h

Jeudi : 12h/19h. Samedi : 9h/12h.

 

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PARIS : 

MAIRIE DU XE ARRONDISSEMENT : 72 rue du Faubourg saint-Martin, 75010 Paris. Du lundi au vendredi de 8h30 à 17h00. Nocturne tous les jeudis jusqu’à 19h30. Les samedis de 9h30 à 12h30.

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PARIS : 

MAIRIE DU XIIIe ARRONDISSEMENT : Place d'Italie, 75013 Paris. Lundi/Vendredi : 9h/17h. Samedi : 10h/16h. Fermé dimanche et 11 novembre.

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PARIS : 

MAIRIE DU XVIIe ARRONDISSEMENT : 16/20 rue des Batignolles, 75017 Paris. Tél :  01.44.69.17.17. Lundi/Vendredi : 8h30/17h. Samedi : 9h/12h30.

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PARIS : 

MAIRIE DU XIXe Arrondissement : 5-7 Place Armand Carrel, 75019 Paris. Tél. : 01 44 52 29 19. Lundi - Vendredi : 11h/17h

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PARIS : 

MAISON DE LA CULTURE DU JAPON : 101 BIS Quai Branly, 75015 Paris (Salle d'exposition niveau 2) Mardi/Samedi : 12h/20h (le 28 juillet : 18h).

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PARIS : 

MAISON DE L'AMERIQUE LATINE : 217 boulevard Saint-Germain, 75007 Paris. Tél : 01.49.54.75.00. Lundi/Vendredi : 10h/20h. Samedi : 14h/18h. 28 Juillet / 22 août : 14h/19. Fermé samedi.

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PARIS : 

MAISON DES COMMUNISTES : 3 place des grès, 75020 Paris.

**** LAOUTEC jette l'encre

 

VOIR AUSSI : LAOUTEC : ENTRETIEN AVEC JEANINE RIVAIS : http://jeaninerivais.jimdo.com/ RETOUR SUR LE PRINTEMPS DES SINGULIERS 2003

 

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PARIS :

MILLENN'ART GALLERY : 39 rue Chapon, 75003 Paris. Lundi au Vendredi : 10h-19h Samedi : 11h-19h.

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PARIS : 

VILLAGE SUISSE : Galeries 80, 81, 82 : 12 avenue de Champaubert, 75015 Paris. Tél : 06.46.43.74.63. Vendredi/Dimanche : 14h30/18h30.

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