********************
PARIS :
A GALERIE : 12 rue Léonce Reynaud 75116 Paris. Tél : 06 20 85 85 85. Lundi/Vendredi : 10h/13h et 15h/19h. Samedi : 12h/19h.
Ma Saint-Valentin sexy
********************
PARIS :
ALMINE RECH ESPACE MATIGNON : 18 avenue Matignon, 75008 Paris
********************
PARIS :
ARTS D'AUSTRALIE STEPHANE JACOB : 13 rue Chapon 75003 Paris. Tél : 01.46.22.23.20.
********************
PARIS :
ARTISTES DE LA BASTILLE : Espace Commines 17 rue Commines, 75003 Paris.
********************
PARIS :
ATELIER VERON : 31 rue Véron, Paris. Tél : 01.55.79.01.58. Mercredi/Dimanche : 11h/19h.
********************
PARIS :
BAB's GALERIE : 27 rue Casimir Périer, 75007 Paris. Tél : 06.52.8.57.42.
27/04 - 13h/19 //28/04 - 13h/19h // 02/05 - 15h/21h – Nocturne // 04/05 - 13h/19h // 05/05 - 13h/19h // 09/05 - 15h/21h - Soirée de décrochage avec la performance musical de l'auteur compositeur interprète Princess Jorge
********************
PARIS :
BIGAIGNON : 18 rue du Bourg-Tibourg, 75004 Paris. Mardi/Samedi : 12h/18h.
**** YANNIG HEDEL : "De prime abord"
"Yannig Hedel naît à Saint-Nazaire en 1948. Passionné d’architecture, il s’installe à Lyon âgé de 22 ans et déjà parcourt la ville à l’affût de jeux d’ombres et de lumières. Face à la rapidité qui caractérise la Ville des Lumières, l’artiste capture les impressions de suspension. Il pérennise le partage des constructions humaines avec les étendues célestes, comme «graphismes incertains», échos à des souvenirs inconscients. Initialement dessinateur, il réalise ses premiers tirages, faits ses gammes et développe peu à peu en chambre noire une habilité qui fera de lui un maître-tireur.
C’est cette période initiatique qui est présentée ici. De Prime Abord propose ainsi aux collectionneurs une sélection de photographies inédites, composée de somptueux tirages d’époque, réalisés entre 1976 et 1986. Alors que le travail confirmé de l’artiste bénéficiera ensuite de très nombreux accrochages et trouvera sa place dans des expositions muséales, on découvre ici la naissance du style Hédelien. Conjuguant déjà ombres et lumière, ciels et bâtiments, abstraction et figuration, son attrait pour l’art minimal s'esquisse et s’affirme dans une recherche d’épure qui n’a jamais cessé de guider l’artiste. Alors que les contrastes sont à peine plus visibles que dans ses travaux les plus récents, la volonté de douceur de saturation croise des jeux de lumière subtils.
L’exposition révèle enfin deux surprises de taille : une oeuvre de 1983 qui se distingue de toutes les autres tant par sa tonalité et que par le fait que, chose rarissime, des personnages y apparaissent, et une composition majeure de 13 tirages argentiques, issue de la série De Labore Solis, clef de voute à la compréhension d’un travail guidé par le temps. Avec une quarantaine d’expositions personnelles à son actif, les oeuvres de Yannig Hedel enrichissent désormais de nombreuses collections privées françaises et internationales, ainsi que celles de prestigieuses institutions publiques. Un ensemble de tirages et sculptures est également visibles jusqu’au 4 février dans l’exposition événement « Épreuves de la Matière » à la Bibliothèque nationale de France." (NDLG)
Vernissage le 25 janvier à 18h.
Exposition du 25 janvier au 9 mars 2024.
**** BERNAR VENET : Photographies
" Précurseur de l’art conceptuel, figure majeure de la scène artistique internationale, Bernar Venet ne s’est, tout au long de sa carrière, privé d’aucun médium : peinture, dessin, son, sculpture, poésie, film, performance. Son œuvre polymorphe, célébrée de par le monde, s’étend sur plus de six décennies, et pourtant, rares sont ceux d’entre nous à savoir que la photographie y tient une place à part depuis ses tout débuts à Nice dans les années 60.
Chez Bernar Venet, la photographie est nécessairement conceptuelle et expérimentale. Comment ne pas rappeler que c’est la photographie qui lui permet de fixer sa toute première œuvre (Performance dans les détritus) en 1961. De ses portraits réalisés par le truchement d’un miroir noir à l’abstraction formelle de sa série Macadam de 1963, en passant par les prises de vue ready-made à caractère plus scientifique, ou encore par ses Photofax ou ses Saturations, Bernar Venet place en effet l’expérimentation au cœur de sa démarche photographique. Mais plus important encore, c’est sa volonté d’inscrire le médium dans une réflexion conceptuelle globale, attachant le principe d’équivalence de son travail photographique au reste de son corpus, qui semble primordiale à la compréhension de son travail.
En réponse à Hans Ulrich Obrist, lors d’un entretien donné à l’occasion de la sortie de son livre « Photographies » (Ed. rueVisconti), Bernar Venet explique : « En ce qui me concerne, la photographie s’est imposée comme une discipline qui m’a permis d’enrichir l’envergure conceptuelle et visuelle de mon travail. Le statut d’œuvre d’art est atteint lorsque les artistes, dans une exigence extrême, s’en servent, non pas pour en fignoler la technique et proposer des séduisantes images, mais pour questionner des sujets, des potentiels nouveaux ».
La photographie de Bernar Venet, qui conjugue le visible et l’à peine perceptible, qui se joue des matières et des reliefs et qui côtoie l’immatériel et l’éphémère, révèle une volonté inépuisable d’explorer les limites d’un médium, de le questionner sans cesse, pour mieux appréhender l’art dont il est sujet.
C’est cette pratique de la photographie dite radicale, une pratique en écho à la Photographie Subjective allemande, au New Bahaus américain, ou encore à la Nouvelle Objectivité, qui trouve toute sa place à la galerie Bigaignon, réputée pour son attachement à la photographie abstraite, conceptuelle et minimale, qui se définit comme une galerie d’art contemporain photosensible et qui œuvre depuis sa création à l’émergence d’une nouvelle avant-garde.(NDLG)
**** OLIVIER RATSI ; peintures
"Artiste visuel français né en 1972, Olivier Ratsi pose la réalité objective, le temps, l’espace et la matière comme autant de notions d’information intangibles. Se basant sur l’expérience de la réalité et de ses représentations, ainsi que sur la perception de l’espace, il conçoit des œuvres qui amènent le spectateur à se questionner sur sa propre interprétation du réel. L’artiste met ainsi en œuvre des dispositifs de déconstruction des repères spatio-temporels en s'appuyant notamment sur la technique de l’anamorphose qu'il développe au cours de ses recherches. Opérant une cassure dans la réalité objective, ses créations ne se veulent pas tant un déclencheur d'émotions ou un moyen de perturber les sens qu'un catalyseur de points de vue, de références culturelles et psychologiques. Ainsi, le spectateur, nullement privé de sa capacité subjective de reconstruction/reconstitution de la réalité, est invité à prendre position afin de vivre l'œuvre en fonction de son propre ressenti." (NDLG)
Exposition en juillet 2024.
********************
PARIS :
CENTRE CULTUREL SUISSE : 38 Rue des Francs Bourgeois 75003 Paris. Tél : 01 42 71 44 50. Mardi/Dimanche : 13h/19h.
Centre d'Art contemporain : LA SYNAGOGUE DE DELME 33 rue Poincaré, 57590 Delme Tél : 06.12.81.03.92.
**** GINA FOLLY : "The simple life"
"Sans se définir par un médium de prédilection, la pratique artistique de Gina Folly s’attache aux détails des conditions d’existence des humains, en observant l’organisation sociale contemporaine, les constructions intimes et publiques de la vie des individus. Des questionnements tels que comment se loger, comment se nourrir, comment vivre en couple, comment se faire du bien, etc, se manifestent dans les œuvres de l’artiste. Les pressions sociales, les injonctions indirectes par des subterfuges tels que la manipulation, la séduction au sein de l’environnement quotidien (publicité, législation, religion ou morale) apparaissent comme évidentes à l’artiste au sein de cet environnement. De ces observations résultent des formes artistiques tentant de refléter ces différents types de relations interhumaines dans leur environnement technique, avec les animaux, les produits de consommation ou leur niveau de vie. L’art de Gina Folly se situe au carrefour des relations sociales, économiques, politiques, interespèces et écologiques. Quelles soient artificielles ou authentiques, elle traite ces relations horizontalement, par le biais d’une approche douce, humoristique et subtilement critique, soulignant le besoin de douceur, de tendresse et d’amour des individus. Ces besoins virant parfois à l’obsession, au tragique et au drame, une fois pris dans les excès et la perte de repères de nos sociétés contemporaines.
Le vocabulaire esthétique de Gina Folly est plutôt simple, clair et minimal. L’utilisation systématique de matériaux facilement accessibles dans le commerce pourrait même permettre de le qualifier de « pauvre ». Mais cette sobriété n’a rien à voir avec les principes de l’Arte povera tant les matériaux choisis par Gina Folly sont typiques du monde post-industriel et post-fordiste actuel, incarnant l’accélération de l’économie et des échanges, la diffusion planétaire des produits, la globalisation et l’énergie nécessaire à sa survie. Rien n’apparait naturel ou spirituel (carton, métal, plexiglas, plastique, électricité) et tout évoque la matérialité contemporaine dans ce qu’elle a de plus courante et banale. Cette esthétique est « pauvre » parce qu’elle est celle de l’emballage des choses qui doivent circuler vite et loin à bas prix ; celle du métal de construction en kit, bon marché, pour s’équiper ; celle des matériaux accessibles partout permettant en outre, la construction spontanée type Do it yourself.
Ces choix esthétiques dépassent toutefois la froideur impersonnelle grâce à une sympathie de l’artiste pour les émotions individuelles ou collectives. Chaque sujet nou situation repéré dans le vécu par Gina Folly est traité à travers le prisme des relations humaines émotionnelles et sentimentales qu’il convoque. Qu’il s’agisse nde ready made codés, de photographies ou de constructions sculpturales dont les matériaux ramènent à une certaine réalité, tout son art tend à visualiser les ressorts émotionnels et les humeurs qui s’en dégagent : autrement dit, visualiser la manière dont une société se construit émotionnellement à travers l’usage et la pratique ndes productions que celle-ci met à disposition. L’art de Gina Folly ne parle pas de luxe et de confort, mais de besoins essentiels, de problèmes domestiques, de ce qui concerne la vie de tout un chacun, dans une veine plutôt néoréaliste mais sans jamais céder au pathos. Grâce à une dose de subtilité ingénieuse, elle maintient les formes et le discours au niveau d’un optimisme sain où, dans la difficulté du quotidien contemporain, qu’il s’agisse de s’organiser dans la vie ou d’aboutir à une exposition d’art contemporain, les bonnes idées, l’entraide et la confiance peuvent toujours finir par l’emporter." (NDLG)
Exposition du 2 mars au 2 juin 2024
********************
PARIS :
CERCLE NORVEGIEN DE PARIS : 242 rue de Rivoli, 75001 Paris. Tél : 01.42.60.76.67.Lundi/ Vendredi : 10h/18h.
********************
PARIS :
CLAVÉ FINE ART : 10 bis rue Roger, 75014 Paris. Lundi/vendredi : 10h/19h. Uniquement sur RDV.
**** de Léo Nataf, Claudine Drai, Pauline Guerrier, Sacha Floch Poliakoff, Félix Beausoleil, François Réau et Virgile Belaval,
César Baldaccini, Antoni Clavé, Jean Dubuffet, Yves Klein, Germaine Richier, Pablo Picasso ou encore Zao Wou-Ki : "Smal is "still" beautiful".
"Clavé Fine Art fête ses trois ans d’existence avec une exposition réunissant grands maîtres du XXe siècle et artistes contemporains. Son titre, Small is “still” beautiful, est un clin d’œil à l’exposition inaugurale de la galerie présentée en mars 2021, intitulée Small is beautiful. Comme trois ans auparavant, Clavé Fine Art met à l’honneur le petit format dans toute sa grandeur, mais elle invite cette fois-ci des artistes contemporains à se prêter au jeu.
En mars 2024, à l’aune de son troisième anniversaire, Clavé Fine Art organise une exposition clin d’œil à son inauguration et invite tous les artistes contemporains qui ont exposé depuis 2021 dans la galerie à créer pour l’occasion des œuvres de petite taille. Elle présente ainsi les créations immaculées en papier mâché de Claudine Drai, les céramiques telluriques de Léo Nataf, des tissages de la série des Minimes de Sheila Hicks et les créations à la mine de plomb ou en bronze de François Réau, aux côtés de l’univers pop de Sacha Floch Poliakoff, des créations colorées de Félix Beausoleil et Virgile Belaval et du travail inspiré des savoir-faire traditionnels et techniques ancestrales de Pauline Guerrier. L’accrochage mêle ces productions inédites à de petites œuvres d’artistes majeurs du XXe siècle, tels que César Baldaccini, Antoni Clavé, Jean Dubuffet, Yves Klein, Giorgio Morandi, Claude de Soria, Jean Paul Riopelle, Pablo Picasso ou encore Zao Wou-Ki. Ce sont ainsi autant d’artistes, de techniques et de matières différents qui sont réunis chez Clavé Fine Art, avec un point commun : le dévoilement de la splendeur du petit format, sous toutes ses formes. (NDLG)
Exposition du 1er mars au 27 avril 2024
********************
PARIS :
FONDATION CALOUSTE GULBENKIAN : 39, Bl. d
e La Tour Maubourg, 75007 Paris. Tél. 01 53 85 93 76. Lundi/Vendredi : 9h/18h. Samedi : 11h/18h.
********************
PARIS :
FONDATION CARTIER pour l'art contemporain : 261 boulevard Raspail, 75014 Paris. TLJ sauf lundi : 11h/20h. Nocturne le mardi jusqu’à 22h.
********************
PARIS :
FONDATION D'ENTREPRISE RICARD : 12 rue Boissy d'Anglas 75008 Paris. Mardi/Samedi : 11h/19h. Sauf jours fériés.
**** La société des spectacles Avec Farah Atassi et Ulla von Brandenburg
" « Quel serait le dénominateur commun entre les pratiques de Farah Atassi et d’Ulla von Brandenburg ? [...] Peut-être une exaltation, une célébration du spectacle des formes qu’un rideau entrouvert nous donne à voir. » (NDLG)
Vernissage lundi 12 février à 18h.
Exposition du 13 février au 20 avril 2024.
********************
PARIS :
GALERIE FREDERIC MOISAN : 46 rue Croix des Petits Champs, 75001 Paris. Code 17A85, 2e étage. Tél : 06.11.28.67.84. Sur RDV sauf jours de vernissage
********************
PARIS :
FRENCH ARTS FACTORY : 19 rue de Seine, 75006 Paris. Tél : 01.77.13.27.31.
********************
PARIS :
GALERIE ART AUJOURD'HUI : 8 rue Alfred Stevens. 75009 Paris. Tél : 01 71 37 93 51. Jeudi/Dimanche : 15h/20h et sur rendez- vous.
********************
PARIS :
GALERIE ART' ET MISS : 14 rue Sainte Anastase, 75003 Paris. Tél : 01.84.17.59.17. Mercredi/Samedi : 12h/19h. Dimanche : 14h/19h.
********************
PARIS :
GALERIE A&R FLEURY : 36 avenue Matignons, 75008 Paris. Tél : 01.42.89.42.29.
********************
PARIS :
GALERIE ART ABSOLU :
********************
PARIS :
GALERIE AUDE MINART-LA GALERIE AFRICAINE : 53 rue Blanche, 75009. Tél : 06.60.24.06.26.TLJ. : 12h/19h. Dimanche : 14h/19h.
********************
PARIS :
GALERIE B&B : 6 bis rue des Récollets, 7010 Paris. Lundi/Vendredi : 14h/20. Samedi : 10h/20h. Dimanche : 10h/18h.
********************
PARIS :
GALERIE 110 VERONIQUE RIEFFEL : 110 rue Saint-Honoré, 75001 Paris. Mardi/Samedi : 11h/19h.
********************
PARIS :
GALERIE CHRISTIAN BERST : 3-5, passage des Gravilliers, 75003 Paris. Tél / Fax : +33 (0)1 53 33 01 70.Mercredi/Dimanche : 14h/19h.
**** FARNOOD ESBATI : "Lignes de vie"
Les encres sur papier de Farnood Esbati, découvertes très récemment par la communauté artistique iranienne, sont dévoilées pour la toute première fois au public à travers l’exposition monographique que nous lui consacrons.
Ses œuvres, à l’instar de la littérature qu’il ne cesse d’accumuler, sont des transcriptions aussi raffinées qu’énigmatiques de sa perception du monde. Quand elles ne servent pas à juguler les émotions qui l’assaillent lorsqu’il s’abîme dans la contemplation des êtres et des paysages.
Exposition jusqu'au 30 mars 2024
********************
PARIS :
GALERIE THE BRIDGE (Berst) : 6 Passage des Gravilliers 75003 Paris.
**** PIERRE MOLINIER et BARBETTE :
"Comme je voudrais être"
"En faisant dialoguer des œuvres d’art brut et d’art contemporain — en particulier d’artistes de la photo-performance et/ou du body art — l’exposition comme je me voudrais “être” met en lumière la capacité de l’outil photographique à révéler au monde ces identités transgressives ou subversives à travers lesquelles chaque individu échappe à son statut de “personne” afin de “vivre à l’image” ce qu’il ne peut plus “être à la vie”. Et cela tout particulièrement dans le champ du “genre masculin”. Au cœur de l’exposition, un hommage est ainsi rendu d’un côté à la figure iconique de Pierre Molinier, de l’autre à l’un des plus célèbres travestis des années 1920, l’acrobate américain Barbette".(NDLG)
Exposition jusqu'au 6 avril 2024.
********************
PARIS :
GALERIE BESSAUD : 24 bis rue de Charenton, 75012 Paris. Tél : 03.47.66.86.07. Mercredi/Samedi : 14h/19h.
**** Pieter Ceizer,
**** Rémy Benito,
" la Galerie Bessaud présente l’exposition Constructions, réunissant cinq « bâtisseurs visuels » parmi lesquels Pieter Ceizer et Rémy Benito. Chacun des deux artistes proposera un temps de rencontre et d'échange privilégié au cœur de l'exposition. Pieter Ceizer, artiste de renommée internationale, évoquera ses diverses collaborations mêlant art, design et mode avec Pharell Williams, le concept store Colette ou encore des marques iconiques telles Evian et Uniqlo. Rémy Benito reviendra, lui, sur son parcours atypique d'architecte devenu artiste plasticien ainsi que sur ses récents projets avec les marques Berlutti et Louis Vuitton.
De skateur/graffeur, Pieter Ceizer est passé dans les quinze dernières années au rang d'artiste de renommée internationale. Choisi en 2023 par Pharrell Willimas et Sarah Andelman (co-fondatrice de Colette) pour figurer dans l'exposition « Just Phriends » qu'ils présentaient conjointement à l'occasion d'un défilé Louis Vuitton. Lors de cette masterclass, Pieter Ceizer reviendra sur ses collaborations mémorables avec des marques internationales comme Colette, Evian, Uniqlo, Mizuno ou Air France parmi d'autres, se confiera sur ses inspirations et livrera quelques anecdotes sur son travail aux côtés de stars du design et de la mode. Une de ses récentes sérigraphies « Forget me not », signée et dédicacée, sera offerte à chacun des participants. (NDLG)
Vernissage mardi 13 février à 18h30.
Le travail artistique de Rémy Benito s’articule autour d'un concept fondamental en architecture : la trame. Depuis plusieurs années, son obsession est de réussir à créer des compositions abstraites et intemporelles en jouant à l'infini sur les paramètres de la trame, ou comment utiliser le simple trait pour construire l'ensemble de ses œuvres. Crayons de couleurs, feutres, encre, traits court ou longs, intenses ou léger, droits ou courbés : une exploration à travers plusieurs années de cartons à dessins de l'artiste où il a testé jusqu'à l'épuisement d'infinies combinaisons de trames pour représenter la matière et la lumière sous toutes ses formes. Un travail élaboré qui a valu à l'artiste, malgré son jeune âge, d'être choisi par des marques prestigieuses comme Berlutti ou encore Louis Vuitton pour de récents projets. " (NDLG)
Vernissage Jeudi 15 février à 18h30
Expositions jusqu'au 24 février 2024
**** Deux artistes ukrainiens ouvrent l’exposition « Museaux ». L’artiste Iryna Maksymova dépeint ses animaux dans des scènes guerrières, comme des compagnons d’émancipation qui semblent néanmoins ne pas trop se prendre au sérieux. Quant à Vova Keno (prononcer « Wowa »), il s’attache à réinventer l’étude anatomiste des peintres classiques en y ajoutant un patchwork de textures très contemporain.
" Pour rendre cet hommage encore plus vivant, la Galerie Bessaud propose de venir accompagné de son animal de compagnie et de transformer l’exposition en un joyeux terrain d’aboiements.
" L’esthétique de David Surman, artiste londonien dont le dernier solo-show vient de se clore à Hong-Kong, n’est pas sans rappeler celle des peintres animaliers du XIXe siècle. Il représente des saynètes allégoriques d’un romantisme exacerbé : fragilité, passion, soif de liberté…
Dans la seconde partie de l’exposition, la représentation animale confine au kitsch, à travers des objets d’un autre temps. Les artistes les utilisent comme canevas d’un journal intime pour raconter des moments marquants de leur vie. L’Azéri Aysha Nagieva met en scène des matriochkas qui incarnent ses états d’âme sous la forme de chats glossy et réalistes.
Avec tendresse, l’Espagnol Samuel Almansa rend hommage à sa grand-mère en peignant à l’aérosol les bibelots de chiens en porcelaine qui ponctuaient sa maison.
Enfin, place aux chimères de Nelson Apadola et d’Alëxone Dizac, deux Français aux univers graphiques très différents mais complémentaires. Le premier travaille avec un tracé quasi automatique et de la peinture directement projetée au tube, ce qui confère une intensité particulière à ses personnages mi-hommes, mi-loups. Le second investit le dernier espace de la galerie à travers des sculptures murales mises en abyme, du sol au plafond. Tenus en laisse par un géant burlesque, des chiens fantasques, peints sur bois, admirent les vrais tableaux de l’artiste, représentant eux-mêmes des bêtes à poil. Les chiens et leurs maîtres visitant l’exposition pourront d’ailleurs se mêler à ces personnages en bois et s’immortaliser… comme des éléments à part entière de cette saynète surréaliste !"! (NDLG)
Exposition du 7 mars au 13 avril 2024.
********************
PARIS :
GALERIE CAMILLE POUYFAUCON : 19 rue Guénégaud, 75006 Paris. Tél : 06.47.66.86.07. Mardi/Samedi : 11h/19h.
********************
PARIS :
GALERIE CEYSSON ET BÉNÉTIÈRE : 23 rue du Renard, 75004 Paris. Tél : 06.70.56.63.24. Mardi/Samedi : 11h/19h.
**** PIERRE BURAGLIO : "Mon Ithaque"
" Peindre, peindre quelque chose tout en accordant au sujet peignant le sens ultime était donc possible. C’est très exactement ce que n’a cessé de faire le peintre depuis 2004. Non qu’il ait, d’un coup, renoncé à ces longues années de travail sans pinceau, mais bien parce qu’il s’agissait, à ce travail épuisé dans sa manière, d’offrir une relève : un prolongement vers l’avant, n’abdiquant rien de ce qui était, dès l’origine, à l’œuvre – ce jeu du peindre et du dépeindre, du faire et du défaire, déjà là dans l’Atelier Brianchon, comme il sera présent, actif, des Agrafages aux Caviardages, aux peintures allant chercher leurs motifs dans l’espace délibérément restreint, intime, de Maisons-Alfort.[...]
Revenant de la sorte, le trait n’a pas ressurgi seul, emportant autre chose dans son sillage, qui ne demandait qu’à revenir aussi, d’avoir été si longtemps enfoui sous la surface des œuvres. Je veux parler de cette dimension biographique, intime, des motivations de cet artiste dont le corps travaillant avait gardé la mémoire, sans qu’il fût, des années durant, concevable d’en faire état. Qui sait, quand il regarde un Assemblage de paquets de Gauloises dans le bleu matissien duquel on peut aisément s’abîmer, que c’était là, aussi, les cigarettes que fumaient ses parents ? Longtemps, l’autonomie de l’œuvre d’art ne s’est pas accommodée de tels aveux. La décision de 2004, si elle rompt avec quelque chose, le fait sans doute avec cela. Non que Buraglio, peignant, se soit abandonné à on ne sait quel épanchement qui ne serait vraiment pas son genre, mais tout simplement parce que peindre, désormais, ne pouvait pas vouloir dire autre chose que peintre avec : avec son histoire, avec l’Histoire, inextricablement liées. L’artiste a, pour désigner cela, une expression juste : à propos de la période de la guerre, qu’il vécut enfant, notamment à travers ce qu’en subissaient les adultes, il parle, pour qualifier ce qu’il en fait aujourd’hui en peinture, de « guerre intime ».
Comment mieux dire cette intrication qui est le travail même de la mémoire ? Lorsque Buraglio intitule une œuvre Rosa et Karl (2011), c’est encore cela qui est en jeu, dans cet empilement de casques posés l’un sur l’autre, l’un à l’endroit, l’autre à l’envers. Karl, c’est Karl Liebknecht, le cofondateur, de la Ligue spartakiste, assassiné en janvier 1919. Alors Rosa, dont le nom s’inscrit sur le casque du bas, est-ce Rosa Luxemburg, cofondatrice, avec Liebknecht, de cette Ligue, et assassinée en même temps que lui, ou s’agit-il de la grand-mère paternelle de l’artiste, elle aussi prénommée Rosa ? L’histoire se lit-elle à l’endroit où à l’envers, par la grande histoire – celle des adultes – ou par l’histoire intime, personnelle, celle qui a imprégné la mémoire de l’enfant ? Buraglio ne choisit pas, il hésite, car c’est, depuis toujours, la qualité même de sa peinture. Ainsi vont ses Blokoss qui, telles des ruines, oscillent entre œuvre humaine et œuvre de la nature.
Pourquoi choisir quand la marée qui part et revient découvre et recouvre, fait surgir une forme et, l’instant d’après, l’enfouit à nouveau sous la surface du monde." (NDLG)
Exposition du 1er février au 16 mars 2024
**** NANCY GRAVES : Peintures et sculptures
"Dans la célèbre évocation qu’il fait de l'ange de l'histoire dans Sur le concept de l’histoire (9ème concept), Walter Benjamin se réfère à un tableau de Paul Klee intitulé "Angelus Novus", qu'il interprète comme un ange se dirigeant vers l'avenir tout en regardant les débris du passé, une seule et unique catastrophe, qui sans cesse amoncelle ruines sur ruines et les précipite à ses pieds. Dans son cinquième concept, Benjamin décrit le passé comme une une image qui surgit et s’évanouit pour toujours au moment où elle s’offre à la connaissance. Et dans le sixième, il précise que faire œuvre d’historien ne signifie pas "savoir comment les choses se sont réellement passées" (Ranke). Cela signifie s'emparer d'un souvenir tel qu’il surgit à l’instant du danger.
Les peintures de Nancy Graves comme ses déclarations artistiques témoignent d'une préoccupation similaire pour les vestiges du passé et la manière dont ses images fournissent au présent les documents d'une civilisation à reconnaître. Le même principe s'applique aux vestiges de son art - qu'elle appelle des éclats d'art - et à l'art des civilisations passées, qu'elle collecte soigneusement sous la forme de documents photographiques, de matériel d'archives et de dessins de recherche. De nombreux dossiers et archives de la Fondation Nancy Graves témoignent de son habitude de collecter des images et des objets d'art préhistorique, en particulier des dessins rupestres géométriques et symboliques des quatre coins du monde. On y trouve également beaucoup de documents relatifs à des images tirées d'observations scientifiques de l'espace - planètes, lune et terre – prises par satellites, télescopes ou autres outils de mesure, que Graves observait avec attention et utilisait avec habileté à des fins poétiques." (NDLG)
Exposition du 21 mars au 11 mai 2024.
********************
PARIS :
GALERIE CLAIRE CORCIA : 323 rue Saint-Martin, 75003 Paris. Tél : 09.52.06.65.88
Lundi-vendredi 11h30-17h/30. Samedi 14h-19h
**** MOHAMMAD ARIYAEI : Iranian servants and their fantasy world
"Mohammad Hossein Ariyaei est né en 1987 à Ispahan, en Iran. Il grandit auprès de sa grand-mère qui pratique le soufisme et le mysticisme à travers l’écriture de prières, le dialogue avec des mondes parallèles et l’exorcisme. Elle lui raconte de nombreuses histoires qui peupleront son imaginaire et constitueront la source de son inspiration.
En 2013, il commence à peindre sur le conseil d’un illustrateur de livres pour enfants. Autodidacte, il ne s’est plus jamais arrêté de peindre.
En Iran, on raconte que tout le monde allait au Hammam car il n'y avait pas de Hammam dans les salles de bain des maisons. De nombreuses histoires racontent que si une personne se rend seule au Hammam la nuit, elle pourra peut-être apercevoir des femmes Jinns accompagnées de leurs servantes. (NDLG)
Vernissage jeudi 29 février à 18h.
Exposition du 29 février au 23 mars 2024
********************
PARIS :
GALERIE DB et ANGELARTS : 24 rue Morère, 75014 Paris. Code porte ! 83B56. TEL : 06.09.75.79.54.
**** CLOTILDE ESCALLE et ses oiseaux extraordinaires.
Vernissage le 8 février de 18h à 21h.
Exposition du 8 février au 3 mars 2024.
********************
PARIS :
GALERIE DE CAUSANS : 25 rue de Seine, 75006 Paris. TLJ. Sauf dimanche : 14h30/19h.
**** PATRICIA BERQUIN : Sculptures textiles.
Vernissages samedi 9 et mardi 12 mars : 17h30/21h.
Exposition du 8 au 16 mars 2024.
********************
PARIS :
GALERIE D'EYLAU : 36, avenue d'Eylau, 75016 Paris. Tél : 06.62.09.43.63. Mardi/Dimanche : 12h/19h.
" Suite à une formation aux Beaux-Arts de Paris, Constance Lafonta poursuit en peintre un travail d’observation incessant, à l’écoute du monde et de ses remuements, de ses éclosions et transformations, de ses révolutions et réformations, de ses êtres et de leurs détours ; ce que le pinceau permet de capturer mieux que nulle autre technique : ces fragments intimes de perception dans leur étrangeté, volés à la normalité, dévoilés à eux-mêmes. Une pensée animée par la place de chacun dans l’espace, mêlée aux souvenirs d’une solitude inhérente à notre monde en pleine ébullition, se met ainsi en mouvement à partir de ce à quoi l’artiste assiste, comme autant de regards qu’elle tentera de capturer sur la toile, car c’est encore, selon elle, ce qu’il y a de plus fort à voir.
C’est au cœur de l’expression de son geste comme rituel, presque performatif, que l’œuvre de Constance prend tout son sens. En effet, c’est par la religion et dans les églises qu’elle observe pour la première fois des fresques dont elle s’inspirera comme construction pour ses compositions. Ses formats immenses souvent rappellent le dépassement de l’homme, de soi, par quelque chose de plus fort et plus grand, qui nous convoque tous néanmoins intimement. C’est à ces personnes, esseulées dans le brouhaha de la ville, en couple, ou en groupe, proches et lointains en même temps, mélancoliques et enfantins parfois, qu’elle dédie son œuvre.
Constance Lafonta déploie par son geste une ode à la vie. Elle magnifie par ses textures la poésie des hasards, des rencontres, des solitudes et des partages. Sa palette infinie de couleurs ne saurait s’expliquer autrement que par l’éclat absolu de la vie et des gens qu’elle retranscrit au bout de ses pinceaux. Sa peinture, comme une matière qui s’inscrit dans le temps, symbolise l’intemporalité des rapports qui nous régissent. Mais comment les regarder ? Comment les peindre ? Comment faire voir à l’homme ses rapports avec les autres ? Certains parleront d’un travail presque cathartique, à juste titre. Là, réside le propos tout entier de Constance Lafonta qui définit son œuvre comme un message à lui tout seul et avant tout, global et viscéral. C’est sa seule fin en soi. Une apothéose de la vie et de ceux qui en font partie." Margaux Plessy, commissaire de l’exposition
Exposition jusqu'au 31 mars 2024.
********************
PARIS :
GALERIE XII : 14 rue des Jardins Saint-Paul; 75004 Paris. Tél : 06.62.09.43.63. Mardi/Vendredi : 14h/19h. Samedi : 12h/19h.
**** Alexandre Aldavert, Fabien Ducrot, Andrei Farcasanu, Didier Juteau, Sabatina Leccia, Charlotte Mano et Anne Pharel, autour des mots de Paul Valéry Alexandre Aldavert, Fabien Ducrot, Andrei Farcasanu, Didier Juteau, Sabatina Leccia, Charlotte Mano et Anne Pharel, autour des mots de Paul Valéry : « Il y a un instant où la nuit se fait voir à la lumière »
" Si ces artistes ont en commun d'avoir choisi la photographie comme mode d'expression, ce n'est pas tant l'image qui les fascine que sa construction, sa présence physique et sa matérialité. Tous l’interprètent, l’utilisent, la dépassent pour la représenter. La recherche ne traite pas de l'image mais de sa capacité à se métamorphoser pour renaître sous une autre forme.
Fabien Ducrot traite le sujet par des images d’archives et l’intelligence artificielle. De photographies du XIXe siècle, générées et compilées par milliers, naissent des images empreintes d’une nouvelle matérialité. Car si l’IA façonne l’irréel et interroge la notion même d’image, Fabien Ducrot recourt à des procédés traditionnels de tirages au sel qui donnent une nouvelle texture aux images.
Charlotte Mano rédéfinit sans cesse matières et images à travers ses recherches sur l’intime en offrant à la fois une expérience hypersensible du médium et de son propre rapport au monde. Attirée par les supports étrangers à cet univers et attachée à expérimenter les limites de l’outil – la caméra – elle réalise des œuvres dans lesquelles images et textures sont indissociables. Naît ainsi une dimension nouvelle, sensible, un véritable engagement poétique.
La question de l’image-objet est aussi présente dans l’univers d'Anne Pharel, qui photographie les moments visuels impalpables dont les images témoignent pourtant de l’existence. Une interrogation quant à la matière sensible et à sa consistance à travers des œuvres planes ou en volumes.
Alexandre Aldavert et Sabatina Leccia envisagent eux aussi le tirage comme un matériau, que l’intervention manuelle ou la pensée intellectuelle viennent compléter. Il est une étape dans le processus créatif. Associé à l’écriture et à la poésie pour lui, à la perforation et à la broderie pour elle, le tirage disparaît en tant que tel. Il vit une métamorphose pour renaître sous une autre forme.
Par une approche plus classique de la photographie, le travail d’Andrei Farcasanu se déploie autour de l’intime par des œuvres en petits formats. Il interroge la notion de matérialité de l’œuvre par le savoir-faire technique. D’une même prise de vue, peuvent naître plusieurs images, chacune empreinte d’une matérialité différente selon les aléas de la chimie. Une recherche partagée par Didier Juteau dont les images dépossèdent celui qui regarde de ses certitudes visuelles tant photographie et matière se confondent.
La nuit, ses formes et sa présence physique, est envisagée par ces huit photographes selon différentes perspectives. Autant d’artistes à qui elle est essentielle pour dépouiller les images de leur sens initial et offrir ainsi à ceux qui la regardent de nouvelles réalités poétiques." (NDLG)
Exposition collective du 2 février au 13 avril 2024
**** SOPHIE ZENON : "L'herbe aux yeux bleus"
Pour la prochaine édition d’Art Paris, du 4 au 7 avril 2024 au Grand Palais Éphémère, la Galerie XII présentera un solo show de l'artiste Sophie Zénon. C’est sous un titre énigmatique, L'herbe aux yeux bleus, quatrième volet de son cycle Rémanences, que l’artiste présente son dernier opus autour des plantes dites obsidionales, ces végétaux allogènes introduits par les armées étrangères pendant les périodes de conflits (guerres napoléoniennes, de 1870 et deux guerres mondiales), dessinant en creux les influences réciproques entre migrations humaines et végétales.
Rémanences, métaphore du végétal
La mémoire des paysages constitue une thématique centrale et un fil conducteur du cycle Rémanences. Dans Verdun, ses ruines glorieuses (2013), L’Homme-Paysage (Alexandre) (2015), Pour vivre ici (2017) ou encore Frondaisons (2019), le végétal dans ses différentes expressions (la forêt, les arbres, les plantes, les fleurs) y est tour à tour supplicié, marqueur de l’histoire et de ses traces, fragile mais toujours nourricier et renaissant. Dans la continuité de ces recherches, L’herbe aux yeux bleus invite à un voyage dans les échelles croisées des temporalités et des espaces, envisageant le paysage comme un lieu d’expérience et de vie, en déployant plus particulièrement des formes d’attention en prise directe avec le vivant. Au travers du végétal, ce sont les lois immuables et éternelles d’une nature résistante que l’artiste donne à voir. Traces, signes, ces plantes symbolisent une humanité debout qui reconquiert sa place après le tragique de l’Histoire.
L’herbe aux yeux bleus, au croisement de l'Histoire, du Vivant et des Arts
L’herbe aux yeux bleus est le nom d’une plante introduite en Lorraine par les Américains pendant la Première Guerre mondiale, la Bermudienne des montagnes (Sisyrinchium montanum Greene), à la faveur de graines contenues dans leurs vêtements, sous leurs chaussures et dans le foin destiné à nourrir les chevaux. Elle est répertoriée parmi les 21 plantes obsidionales que compte cette région du Grand Est. Dotées d’une grande richesse symbolique et poétique, les recherches récentes en botanique sur ces plantes habituellement considérées comme insignifiantes, constituent une entrée originale pour dessiner en creux l’histoire d’un territoire, pour souligner notre lien à l’environnement, et pour aborder les migrations sous un angle particulièrement novateur. Se saisissant de l’histoire de ces plantes pour explorer concrètement et expérimentalement tant la nature que la photographie, Sophie Zénon s’est intéressée à révéler l’invisible, déléguant à chaque plante, fleur et arbre son pouvoir d’expression propre.(NDLG)
Exposition du 4 au 7 avril 2024.
*********************
PARIS :
GALERIE DU CENTRE : 5, rue Pierre au Lard, (angle 22, rue du Renard). 75004 Paris Tél : 01 42 77 37 92. Mardi/Samedi : 14h/18h30.
********************
PARIS :
GALERIE DU GENIE DE LA BASTILLE : 126 rue de Charonne, 75011 Paris. Mardi/ Dimanche : 14h/20h.
**** MIHO HIRAKAWA : Peintures
VOIR AUSSI ; HIRAKAWA MIHO : TEXTE DE JEANINE RIVAIS : "LA RECHERCHE DU TEMPS PERDU DE MIHO HIRAKAWA". Ce texte a été publié en 2005 sur ART CONTEMPORAIN. Il a été traduit en japonais sur le site de l'artiste. http://jeaninerivais.jimdo.com/ Retour sur un quart de siècle d'écritures NS
Exposition du 28 février au 10 mars 2024.
********************
PARIS :
GALERIE ESTADES : 17 Place des Vosges, 75004 Paris. Tél : 01.42.77.50.03.Lundi/Dimanche : 11h/13h et 14h30/19h
********************
PARIS :
GALERIE HERVE COURTAIGNE : 53 rue de Seine 75006 Paris.
********************
PARIS :
GALERIE HORS CADRE : 8 rue Chapon, 75003 Paris. Tél : 06.47.66.86.07.14h/20h et sur RDV.
********************
PARIS :
GALERIE HORS-CHAMPS : 20 rue des Gravilliers, 75003 Paris. Mardi/Dimanche : 13h/19 h.
********************
PARIS :
GALERIE INSULA : 24 rue des Grands Augustins 75006 Paris. Tél : (06) 07 74 96 57 ou (01) 71 97 69 57. Mercredi/samedi : 14h/19h30. et sur rendez-vous.
**** ETIENNE GROS "Peintures et fumées'
" Le corps est le territoire du travail d’Étienne Gros. Inlassablement, il l’explore au plus près de la peau, au plus insaisissable de son humanité. Il le fait surgir d’un aplat de couleur ou de quelques volutes de fumée. Il le peint, le rêve, le modèle pour nous donner à voir tout à la fois son infinie puissance et son intime fragilité.
L’artiste à travers ses différents médiums (re)pense dans une grande modernité le sujet universel et éternel du corps et de la rencontre des corps. Il crée un langage fort et sensible de la courbe et de la ligne."
Le corps est le territoire du travail d’Étienne Gros. Inlassablement, il l’explore au plus près de la peau, au plus insaisissable de son humanité. Il le fait surgir d’un aplat de couleur ou de quelques volutes de fumée. Il le peint, le rêve, le modèle pour nous donner à voir tout à la fois son infinie puissance et son intime fragilité.
L’artiste à travers ses différents médiums (re)pense dans une grande modernité le sujet universel et éternel du corps et de la rencontre des corps. Il crée un langage fort et sensible de la courbe et de la ligne.
Dans sa peinture, Étienne Gros se rapproche au plus près du corps avec un cadrage très serré comme pour en explorer la matière, en éprouver la substance jusqu’à atteindre la trame même de l’être. Avant de les appliquer sur la toile, il peint sur divers papiers. Imprégnés de pigments au chromatisme subtil et éclatant, tannés par les grattages successifs, ceux-ci deviennent matière vivante où viennent s’incarner le modelé d’un corps, un enlacement, une étreinte, le contact de deux épaules. Souvent, un paysage apparait à l’horizon de ces corps et les reliefs et les géographies qui le constituent semble se fondre, comme par transparence, dans une même perception onirique.
L’alchimie est aussi à l’œuvre lorsqu’il dessine avec la fumée. Apparitions inouïes où se rencontrent dans un moment de grâce le hasard et la maîtrise du geste. Sur la feuille blanche, se déposent comme par magie des formes vivantes, imprévisibles mais d'une incroyable vérité. Volutes et lignes donnent à voir des corps qui s’élancent, s’enlacent, subtilement épidermiques mais évanescents comme la quête d’une beauté insaisissable." (NDLG)
********************
PARIS :
GALERIE KALEIDOSCOPE : 19 rue Mazarine 75006 Paris
*******************
PARIS :
GALERIE KORALEWSKI : 92 rue Quincampoix, 75003 Paris. Tél : 01.42.77.48.93. Mardi/Samedi : 14h/19h.
********************
PARIS :
GALERIE L'ENTREE DES ARTISTES : 25 rue des Tournelles, 75004 Paris. Mercredi/Samedi : 14h/19h30.
**** MIHO HIRAKAWA : "Du plus lointain de l'oubli, Paris. Fugue mélancolique".
VOIR AUSSI : HIRAKAWA MIHO : TEXTE DE JEANINE RIVAIS : "LA RECHERCHE DU TEMPS PERDU DE MIHO HIRAKAWA". Ce texte a été publié en 2005 sur ART CONTEMPORAIN. Il a été traduit en japonais sur le site de l'artiste. http://jeaninerivais.jimdo.com/ Retour sur un quart de siècle d'écritures NS
Vernissage le 22 février à 18h.
Exposition jusqu'au 30 mars 2024.
********************
PARIS :
GALERIE LES YEUX FERTILES : 27 rue de Seine, 75006 Paris. Jeudi, Vendredi, Samedi : 14h/19h.
********************
PARIS :
GALERIE LISE CORMERY : 6 rue Lanneau, 75005 Paris. Tél : 06.81.77.93.62.
********************
PARIS :
GALERIE MAEGHT : 42 rue du Bac, 75007 Paris. Tél : 01.45.48.45.15. Mardi/Samedi : 10h/19h.
********************
PARIS :
GALERIE NEGROPONTES : 14/16 rue Jean-Jacques Rousseau; 75001 Paris. Tél : 06.75.83.56.94.
La Galerie Negropontes présente l'exposition Mouvements, conçue comme un hymne à la transformation artistique et qui célèbre le geste de l’artiste comme le premier mouvement, l’origine de toute création, où la matière se métamorphose pour donner vie à l’art.
« Mouvements est une invitation à découvrir comment, à travers le geste et la matière, l’artiste crée un univers où chaque élément est en perpétuelle transformation, reflétant la vitalité et la diversité de la vie elle-même. » — Sophie Negropontes
Au sein de cette exposition, l’installation « Flip Flap » des sculpteurs Perrin & Perrin incarne parfaitement cet esprit. Elle offre un spectacle d’envol de pièces qui viennent se poser sur le mur, l’une d’elles évoquant une feuille se posant sur une enfilade d’Erwan Boulloud. Cette interaction entre l’œuvre et son environnement crée une harmonie visuelle, soulignant la légèreté et la fluidité du mouvement.
Les enfilades et tables basses d’Erwan Boulloud, avec leur vibration du bronze ou du béton, sont marquées par des craquelures précieuses, symbolisant la beauté et la richesse qui émanent de la transformation de la matière.
Le rythme saccadé se manifeste dans les toiles de Daniel Humair, le tableau sculpté d’Etienne Moyat et la bibliothèque « Collapse » de Gianluca Pacchioni. Ces œuvres, avec leurs gestes interrompus, insufflent une dynamique visuelle qui ponctue l’exposition.
Le tapis « Toscane », issu de la manufacture Pinton et inspiré par une encre de Perrin & Perrin, ajoute une dimension musicale à l’exposition, avec son impression d’un paysage dansant, invitant à la rêverie.
Les « Creminos » de Gianluca Pacchioni, tels deux ballerines figées sur une note, capturent un moment de grâce et d’élégance, tandis que les toiles de Benjamin Poulanges, avec leur ruissellement vif et lumineux, évoquent la fluidité et la constance du mouvement.
Enfin, les œuvres « Movimento » et « Red Variation » de Mauro Mori, ainsi que «Presence bistre» d’Ulrika Liljedahl, utilisent bois, marbre, cuivre et crin de cheval pour créer des ondulations de matières qui défient les frontières traditionnelles de l’art.
Exposition jusqu'au 29 mars 2024.
********************
PARIS :
GALERIE PIERRE-MARIE VITOUX : Marais, 3 rue d’Ormesson Place du Marché Sainte-Catherine, 75004 Paris. Tél : 01.48.04.81.00. Mercredi /Samedi : 14h/19h.
**** 15 artistes proposent leurs œuvres : "Le dessin dans tous ses états"
"Sur le papier tout s’écrit, tout se dessine, tout se colore, tout se froisse, se découpe…
L’enfant le gribouille, l’homme se livre, l’artiste s’exprime. Les artistes de la galerie nous font entrer dans leur production intime : sentir la main dans le dessin… et le trop plein de soi.
« Chaque dessin va à l’aventure, il exprime quelque chose qu’on ignorait ». Dans son espace peut se tenir un lieu de rencontres. La lecture des dessins n’est jamais figée. Crayon, fusain, lavis, aquarelle, gouache…, chaque artiste avec sa technique particulière signera sa figuration existentielle." Marie Vitoux
Vernissage le 8 février à 18h.
********************
PARIS :
GALERIE RAPHAËL DURAZZO : 25 rue du Cirque, 75008 Paris. Tél : 06.75.83.56.94. Lundi/Vendredi : 10h/19h. Samedi : 10h/18h
**** IRENE ZURKINDEN : "Parisienne"
la Galerie Raphael Durazzo
éLa Parisienne », la première exposition monographique consacrée à la peintre bâloise d’avant-garde Irène Zurkinden (1909-1987). L’exposition rassemble un ensemble de peintures et œuvres sur papier couvrant la pratique révolutionnaire d’Irène Zurkinden au cours de ses années passées à Paris, dans les années 1930.
Irène Zurkinden naît en 1909 à Bâle, en Suisse. Elle commence par étudier à la très traditionnelle école des arts Bâloise ou ses professeurs, quoi qu’artistes renommés, sont en marge des mouvements d’avant-garde émergents en parallèle. En 1929 elle reçoit une bourse lui permettant de se rendre à Paris et de s’inscrire à l’Académie de la Grande Chaumière. C’est là qu’Irène Zurkinden s’immerge entièrement dans le groupe surréaliste avec son amie d’enfance Meret Oppenheim avec laquelle elle partage un appartement. C’est aussi à Paris en 1934 qu’elle fait la connaissance du jazzman métisse germano-brésilien Kurt Fenster avec lequel elle vit entre Bâle et Paris jusqu’à son retour définitif en 1942. Dès son retour Irène Zurkinden rejoint le collectif d’artistes antifascistes nommé Gruppe 33 avec lequel elle participe à plusieurs expositions.
Rompant progressivement avec l’esprit de ses maîtres au fil de sa carrière, Zurkinden n’a de cesse de faire évoluer son style impressionniste sans jamais s’en départir tout à fait. Ce choix l’oppose autant avec le milieu artistique dans lequel elle a fait ses débuts qu’avec les courants d’avant-garde successifs auxquels elle participe sans jamais tout à fait s’y conformer. L’autoportrait présenté au sein de l’exposition est un des premiers témoins de la primauté de l’instant et de cette volonté de saisir le mouvement. La représentation de paysages urbains ou de portraits déstructurés sont précurseurs des recherches de Cecily Brown ou de George Condo. En particulier ceux de ses compagnes qu’elle représente nues dès les années 30 dans des positions lascives, intimes, étant en cela précurseur de nombreuses artistes contemporaines. La représentation du corps de la femme par la femme est chez ces artistes la marque d’une volonté d’émancipation autant que l’affirmation d’une singularité parfaitement indépendante des recherches de leurs homologues masculins. Tout au long de sa vie, Zurkinden est en tension entre les obligations familiales et son travail d’artiste.
Irène Zurkinden décède à Bâle en 1987. Rarement exposée en galerie, elle est représentée dans les années 50 par la galerie Kléber à Paris et les galeries Bettie Thommen et Marguerite Schulthess à Bâle dans les années 30. En 1982, elle reçoit le Prix de la Regio Basiliensis pour les arts visuels. Parmi les expositions personnelles importantes figurent le Kunstmuseum Basel (1985), la Galerie Beyeler, Bâle (1979), la Kunsthalle, Bâle (1959), la Galerie Kléber, Paris (1950) ou encore la Galerie Bettie Thommen, Bâle (1930). Son œuvre est présente dans les collections du Kunstmuseum Basel ; du Musée d’art d’Aarau, à la Collection d’art public de Bâle et à la Bibliothèque nationale suisse. De nombreux musées redécouvrent actuellement son travail." (NDLG)
Exposition du 1er février au 23 mars 2024
********************
PARIS :
GALERIE ROBILLARD : 106 rue de la Folie Méricourt, 75011 Paris Tél : 06 12 46 38 00. 10h/19h dimanches inclus.
Galerie sur cour, codes d'accès 28a12 puis 12a28, au rdc face au petit jardin.
********************
PARIS :
GALERIE ROUSSART : 13 rue du Mont Cenis, 75018 Paris. Jeudi/Dimanche : 14h30/19h.
********************
PARIS :
GALERIE SABINE BAYASLI : 99 rue du Temple, 75003 Paris. Tél : 06.34.29.40.82.du mardi au samedi, de 12h à 19h
le dimanche de 14h à 18h30
********************
PARIS :
GALERIE TEMPLON : 28 Rue du grenier Saint-Lazare, 75003 Paris. Mardi/Samedi : 10h/19h.
********************
PARIS :
GALERIE TEMPLON : 30 rue Beaubourg 78003 Paris. Mardi/Samedi : 10h/19h.
**** ATUL DODIYA : Peintures
" Atul Dodiya est né en 1959 à Bombay en Inde, où il vit et travaille. Il est l’un des pionniers de l’art contemporain indien, jetant des ponts entre histoire de l’art indien et occidental. Ses références à la culture populaire, au cinéma et à la littérature, témoignent d’une réflexion politique sur les aspirations de la classe moyenne indienne et de l’impact de la globalisation sur ses traditions. Atul Dodiya utilise divers médiums, depuis la peinture photo-réaliste jusqu’aux stores métalliques lui valant un succès international." (NDLG)
À l’orée des années 90, formé à la célèbre école Sir J.J. School of Art de Mumbai, Dodiya est envoyé pendant un an l’école des Beaux-Arts de Paris. Ce séjour se révèlera déterminant pour l’artiste qui, depuis près de trente ans, tisse des liens entre art indien et occidental. Passionné de littérature et de cinéma, il déploie un langage unique, tantôt figuratif, tantôt plus abstrait, où il incorpore références à la culture populaire, à la poésie, ou aux grands maîtres de l’art moderne – de Matisse à Motherwell en passant par Picabia ou Mondrian. Doué d’une étonnante capacité à se réinventer, son style s’empare indifféremment d’une peinture photo-réaliste ou plutôt symbolique. Il déploie sa peinture sur des rideaux de fer mécaniques, crée des assemblages photographiques ou invente de larges installations mêlant objet et peinture. En filigrane, ses œuvres témoignent d’une réflexion sur l’histoire de l’Inde et l’émergence de nouvelles aspirations politiques.'(NDLG)
Exposition du 2 mars au 27 avril 2024
**** DANIEL DEZEUZE
"Depuis presque cinquante ans, Daniel Dezeuze, poursuit ses recherches sur la déconstruction du tableau, explorant les supports et matériaux traditionnels de la peinture, en quête d’une réflexion sur l’histoire et la fonction de la pratique de la peinture. Très tôt il fait fi de la toile, retournant les châssis contre le mur, jouant du vide et de la tridimensionnalité pour dépasser les limites de la tradition picturale. Curieux des cultures nomades et extra-européennes, il imprègne son travail de pratiques artisanales et d’anthropologie. Son itinéraire singulier passe par l’expérimentation de matériaux considérés comme pauvres – bois, grillages, filets, tissus – et d’objets détournés. Son œuvre a largement influencé les nouvelles générations de peintres européens et fait aujourd’hui partie des collections publiques telles que le Centre Pompidou, le Musée d’art moderne de la ville de Paris, le Musée Fabre de Montpellier, le Carré d’art de Nîmes ou encore le MAC, Musée d’Art Contemporain de Marseille." (NDLG)
Exposition du 3 mars au 27 avril 2024
**** JAN VAN IMSCHOOT : "La danse du mal insaisissable"
" la galerie Templon accueille l’artiste Jan Van Imschoot dans son espace bruxellois avec son exposition personnelle « La danse du mal insaisissable ». Le peintre flamand réinvestit les cimaises de l’espace belge de la galerie Templon avec un nouvel ensemble flamboyant explorant l’histoire du Mal à travers les âges.
Fruit d’un travail de recherche exigeant et minutieux inspirés de chefs d’œuvres muséaux et archives glanées sur internet, Jan Van Imschoot livre ici un récit en 17 toiles. Les ailes citron, bleues nuit, ou presque fantomatiques de papillons, symboles de l’âme ou du psyché parcourent discrètement les peintures de l’artiste. Tantôt en opulente forme sombre dissimulant telle une éclipse un peloton d’exécution mexicain, tantôt sur le visage de Leopold II, figure dynastique marquante de la colonisation belge sanguinaire du Congo. Les autres toiles dévoilent différentes facettes de l’exécution : objet de fantasme, source d’intimidation, ou encore vestige de l’Histoire voire du folklore local d’une nation. Sous le discret parrainage du Caravage, Van Imschoot dévoile ainsi le mythe d’Holopherne assassiné par la belle Judith. Il met en scène l’envoûtante Mata Hari victime de la France occupée. Il dépeint également une scène de télévision chinoise, fictive mais perverse, du dernier jour d’une condamnée prisonnière de deux gendarmes, ou encore dessine les contours d’une jeune sud-africaine aux mains de son bourreau en veste blanche et haut de forme.
« Pour que ce monde soit vivable, nous avons besoin d’opinions divergentes et de confrontations de ces opinions » explique l’artiste « l’art, sous toutes ses formes, est nécessaire pour accompagner ce besoin humaniste. L’art donne une souplesse à notre pensée, lui permet de voyager au-delà des frontières. » Entre ses mains, la peinture devient un terrain de jeux propice à une réflexion sur la relation triangulaire entre ses trois sujets de prédilection : l’art, le langage et la vérité." (NDLG)
Exposition du 29 février au 20 avril 2024
********************
PARIS :
GALERIE VALLOIS : 35 rue de Seine, 75006 Paris. Tél : 01.43.25.17.34. Mercredi/Vendredi : 10h/19h. Lundi 14h/19h. Samedi : 10h/13h et 14h/19h.
********************
PARIS :
GALERIE W. LANDAU : 5 rue du Grenier Saint-Martin 75003 Paris. Tel : 01.42.54.80.24. Mardi/Samedi : 14h/19h.
HORAIRES D'ETE : 12h/18h. FERMETURE ESTIVALE : 8 au 15 août inclus.
**** TROY
La GALERIE FETE SES 25 ANS !
********************