********************
PARIS :
A GALERIE : 12 rue Léonce Reynaud 75116 Paris. Tél : 06 20 85 85 85. Lundi/Vendredi : 10h/13h et 15h/19h. Samedi : 12h/19h.

**** ELLIOTT ERWITT : "Kolor"

**** TINA TURNER : "You're simply the best" (Tu es tout simplement la meilleure"
“Sometimes you’ve got to let everything go—purge yourself. If you are unhappy with anything… whatever is bringing you down, get rid of it. Because you’ll find that when you’re free, your true creativity, your true self comes out.” Tina Turner
********************
PARIS :
ALMINE RECH ESPACE MATIGNON : 18 avenue Matignon, 75008 Paris
********************
PARIS :
ARTS D'AUSTRALIE STEPHANE JACOB : 13 rue Chapon 75003 Paris. Tél : 01.46.22.23.20.
********************
PARIS :
ARTISTES DE LA BASTILLE : Espace Commines 17 rue Commines, 75003 Paris.
**** UNE CINQUANTAINE D'ARTISTES EXPOSENT 'Double face".
********************
PARIS :
ATELIER VERON : 31 rue Véron, Paris. Tél : 01.55.79.01.58. Mercredi/Dimanche : 11h/19h.
********************
PARIS :
BAB's GALERIE : 27 rue Casimir Périer, 75007 Paris. Tél : 06.52.8.57.42.
27/04 - 13h/19 //28/04 - 13h/19h // 02/05 - 15h/21h – Nocturne // 04/05 - 13h/19h // 05/05 - 13h/19h // 09/05 - 15h/21h - Soirée de décrochage avec la performance musical de l'auteur compositeur interprète Princess Jorge
********************
PARIS :
BIGAIGNON : 18 rue du Bourg-Tibourg, 75004 Paris. Mardi/Samedi : 12h/18h.
********************
PARIS :
CENTRE CULTUREL SUISSE : 38 Rue des Francs Bourgeois 75003 Paris. Tél : 01 42 71 44 50. Mardi/Dimanche : 13h/19h.
********************
PARIS :
CERCLE NORVEGIEN DE PARIS : 242 rue de Rivoli, 75001 Paris. Tél : 01.42.60.76.67.Lundi/ Vendredi : 10h/18h.
********************
PARIS :
CITE UNIVERSITAIRE : 17 Boulevard Jourdan 75014 Paris. Tél : 01.44.16.64.00. TLJ. : 7h/22h.
********************
PARIS :
CLAVÉ FINE ART : 10 bis rue Roger, 75014 Paris. Lundi/vendredi : 10h/19h. Uniquement sur RDV.

**** JACOB HASHIMOTO : "Générations"
"Inspirées de la lumière et des couleurs, telles des tentures murales composées de milliers de cerfs-volants miniatures, le travail d’Hashimoto relève à la fois de l’architecture, par sa structure tridimensionnelle précise, et de la peinture, par les effets chromatiques raffinés de la surface du papier. La tension, mais aussi l’exubérance visuelle de son œuvre et sa recherche d’une dimension lumineuse précise - à la fois littérale et métaphorique - lui confèrent un aspect poétique indéfinissable.
Les compositions de Jacob Hashimoto sont réalisées de manière artisanale et suspendues par des fils de nylon, invitant par leur délicat flottement l’œil du visiteur à s’y promener. Grâce à un procédé unique, l’artiste compose de nouveaux paysages aux perspectives multiples, sous la forme d’accumulations de cercles où les motifs abondent, comme autant de références à la nature, à l’eau et aux plantes. Les œuvres de Jacob Hashimoto parlent d’immensité, d’espace, d’air et d’infini, ainsi que de contrôle de la nature et d’expérience humaine. Influencé par les jeux vidéo et les mondes virtuels aux couleurs vives, mais aussi par la cosmologie sur laquelle le Japon a construit son identité, son travail mural que présente la galerie témoigne également d’un sentiment naturel de curiosité face à l’ère numérique. Entre sculpture, peinture et installation, art critique, culture pop et techniques japonaises ancestrales, l’artiste dépeint un monde où rêverie et méditation sont étroitement liées à la tradition ainsi qu’à la modernité. La complexité visuelle de son travail et la légèreté de ses matériaux accompagnent le visiteur dans un parcours sensoriel, qui enveloppe le visiteur d’un sentiment d’émerveillement et d’étonnement. (NDLG)
Exposition du 24 mai au 22 juillet 2023.
********************
PARIS :
ESPACE CULTUREL BERTIN POIRÉ : 8-12, Rue Bertin Poiré, 75001 PARIS. Lundi/Vendredi : 12h/20h. Samedi 10h/18h30 sauf le samedi 18 janvier jusqu'à 16H00
********************
PARIS :
ESPACE NIEMEYER : 6 avenue Mathurin Moreau, Entrée C 75019 Paris. Mercredi/Samedi : 14h/18h. Entrée libre.
********************
PARIS :
FONDATION CALOUSTE GULBENKIAN : 39, Bl. d
e La Tour Maubourg, 75007 Paris. Tél. 01 53 85 93 76. Lundi/Vendredi : 9h/18h. Samedi : 11h/18h.
********************
PARIS :
FONDATION CARTIER pour l'art contemporain : 261 boulevard Raspail, 75014 Paris. TLJ sauf lundi : 11h/20h. Nocturne le mardi jusqu’à 22h.
********************
PARIS :
FONDATION D'ENTREPRISE RICARD : 12 rue Boissy d'Anglas 75008 Paris. Mardi/Samedi : 11h/19h. Sauf jours fériés.

**** MATHILDE ROSIER : "Dans les champs d'intensive prospérité"
Vernissage lundi 15 mai à 18h.
Exposition du 16 mai au 22 juillet 2023.
********************
PARIS :
GALERIE FREDERIC MOISAN : 46 rue Croix des Petits Champs, 75001 Paris. Code 17A85, 2e étage. Tél : 06.11.28.67.84. Sur RDV sauf jours de vernissage
********************
PARIS :
FRENCH ARTS FACTORY : 19 rue de Seine, 75006 Paris. Tél : 01.77.13.27.31.
********************
PARIS :
GALERIE ALMINE RECH : 64 rue de Turenne, 75003 Paris. Tél : 01.45.83.71.90. Mardi/Samedi : 11h/19h.
********************
PARIS :
GALERIE ART AUJOURD'HUI : 8 rue Alfred Stevens. 75009 Paris. Tél : 01 71 37 93 51. Jeudi/Dimanche : 15h/20h et sur rendez- vous.
********************
PARIS :
GALERIE ART' ET MISS : 14 rue Sainte Anastase, 75003 Paris. Tél : 01.84.17.59.17. Mercredi/Samedi : 12h/19h. Dimanche : 14h/19h.
********************
PARIS :
GALERIE A&R FLEURY : 36 avenue Matignons, 75008 Paris. Tél : 01.42.89.42.29.

**** SAM FRANCIS et HANS HARTUNG : "Beyond limits"
"La galerie imagine un dialogue inédit entre deux artistes phares de l’art d’après-guerre, Hans Hartung (1904-1989) et Sam Francis (1923-1994). Sous l’intitulé « Beyond limits », Alexandre et Richard Fleury réunissent une sélection d’œuvres dans lesquelles le rapport au temps et la dimension spirituelle sont particulièrement présents.
Conçue pour mettre en lumière les parallèles entre les oeuvres de Sam Francis et d’Hans Hartung, à la fois dans le parcours professionnel et personnel, l’exposition permettra d’apprécier la force de leur création, et la dimension d’intense spiritualité qui s’en dégage. Hans Hartung et Sam Francis ne sont pas apparentés aux mêmes mouvements et n’ont pas fréquenté les mêmes cercles, chacun cultivant d’ailleurs une forme certaine d’indépendance vis-à-vis des débats artistiques de leur époque. Pourtant, il est troublant d’envisager leur oeuvre respective en miroir, et de constater les convergences de leurs expressions gestuelles, de leur attachement au rythme, et de leurs recherches sur l’intensité et la fluidité de la couleur." (NDLG)
Vernissage le 25 mai de 11h à 19h.
Exposition du 26 mai au 8 juillet 2023.
********************
PARIS :
GALERIE ART ABSOLU :
********************
PARIS :
GALERIE-ATELIER ISMAÏL YILDIRIM : 52 rue Piat, 75020 Paris. TLJ. : 14h/20h.
********************
PARIS :
GALERIE AUDE MINART-LA GALERIE AFRICAINE : 53 rue Blanche, 75009. Tél : 06.60.24.06.26.TLJ. : 12h/19h. Dimanche : 14h/19h.
********************
PARIS :
GALERIE B&B : 6 bis rue des Récollets, 7010 Paris. Lundi/Vendredi : 14h/20. Samedi : 10h/20h. Dimanche : 10h/18h.
********************
PARIS :
GALERIE BY LARA SEDBON : 63 rue Notre Dame de Nazareth, 75003 Paris.

**** EXPOSITION COLLECTIVE : "Nazareth".
« Nous cherchions un lieu pérenne avec acharnement depuis près d’un an et demi. Il fallait trouver un emplacement qui corresponde à l’identité de la galerie, un espace où accueillir de belles scénographies et des voisins avec qui créer de sympathiques synergies ! », explique Lara Sedbon, sa fondatrice.
Sur la thématique du naufrage, de l’immigration et de la maternité, une grande peinture d’Aurélie Bauer ancre le propos dans la couleur et dans la réalité à facettes multiples qui ponctue le quotidien de nos sociétés contemporaines. Ballottées entre une menace toujours plus présente et une légèreté liée à l’accessibilité généralisée de l’information, de la consommation et du désir, ces sociétés convoquent le rêve pour mieux échapper au poids de ce manichéisme.
The dreamers de Rebecca Brodskis dépeint avec élégance deux personnages féminins, qui semblent flotter dans un ciel accueillant l’amplitude de leurs mouvements. Les deux personnages de l’œuvre photographique de Michel Platnic se retrouvent également propulsés dans un contexte étrange où les enveloppes corporelles sont transfigurées. Deux corps simples de Fabien Mérelle prolonge cette danse en suspension. Le corps de l’artiste et celui de son chat, en lévitation au cœur de l’espace vide du papier, convie le spectateur à un regard silencieux habité de respect et d’une certaine forme de spiritualité invitant à la prise de distance, celle que nous impose en outre la chouette de Stras Bear. Son regard pénétrant juge, transperce et répond à la sculpture d’Antonin Heck. De l’animal, il ne reste que le souvenir d’une peau, muée en feuilles d’araucaria, dans la pièce sculpturale de Lelia Demoisy qui troque le trophée de chasse décrié contre une composition végétale.
L’onirisme, une des lignes directrices de la galerie, se déploie dans le tableau de Zelie Nguyen. Intitulée Echos, la peinture met en scène deux ânes évoluant sur une plateforme qui semble également suspendue ou maintenue par un équilibre incertain. Ce monde nouveau qui fait table rase des lois de la gravité et de la perspective dialogue avec les personnages d’Eugénie Modai qui jonglent avec les couleurs et les reliefs pour affirmer un imaginaire peuplé d’histoires à la féerie palpable. A son tour, l’univers fantastique de Jérôme Gelès déploie un plancton monumental tout en volume. Avec tout autant, d’énergie et de précisions, Léonard Combier développe les détails d’une planète dont les rouages se disloquent dans une joyeuse frénésie, tandis que le dessin de Tudi Deligne, écho à une peinture caravagesque, déforme les traits du personnage initial dont la réalité hybridée évoque une créature étrange.
Loin du rêve qu’ils dépeignent, la réalité de l’artiste se replie sur l’atelier. Cocon totalement personnel, il devient le refuge d’un individualisme et d’une solitude qui projettent l’artiste dans un face à face avec sa toile. La peinture d’Adrien Belgrand décrivant son ami Yann Lacroix en train de peindre en dresse le portrait. Seul aussi, le personnage de Benjamin Valode avance vers un horizon habité exclusivement par la couleur et ses dégradés qui déclinent un univers aux énigmatiques contrastes. De même, l’immensité noire de l’œuvre de Roxane Gouguenheim fait écran vers un infini incertain, peut-être celui décrit par Stephen Whittaker où le déséquilibre, la ruine et le chaos entrent en confrontation avec les odalisques d’un monde passé. Aphrodite revisitée par Victor Gingembre convoque ces mêmes références dans une réflexion sur la ligne du corps de la femme et sa structuration dans l’espace.
Trois artistes seront exposés pour la première fois dans le cadre de Nazareth. Brigitte Nierdermair, dont le travail photographique se recentre sur l’identité et la représentation du corps féminin et qui est notamment reconnue pour sa vision artistique dans l’esthétique photographique de la maison Dior. Quant à Zoé Thonet, elle imagine au cours de ses projets sculpturaux et sonores des connexions inattendues, organiques et palpables, en mélangeant récits hypothétiques et découvertes scientifiques. Enfin, une peinture de l’artiste hongrois Alexander Tinei sera également présentée. Son travail sur le portrait aliéné portant les stigmates bleus des tatouages égrenés sur le corps raconte la solitude de l’individu pris dans un environnement au romantisme évocateur. (NDLG)
Exposition du 25 mai au 17 juin 2023.
********************
PARIS :
GALERIE 110 VERONIQUE RIEFFEL : 110 rue Saint-Honoré, 75001 Paris. Mardi/Samedi : 11h/19h.
Ouverture de la Galerie 110 Véronique Rieffel
EXPOSITION INAUGURALE

**** CLAY APENOUVON : "Noirtotal"
" Pour son ouverture, la Galerie 110 Véronique Rieffel présente « NOIRTOTAL », une exposition personnelle de l’artiste togolais Clay Apenouvon du 12 mai au 30 juillet 2023.
Cette exposition rassemblera à la fois des pièces iconiques d’une œuvre construite depuis plusieurs années autour de ses deux matériaux de prédilection : le film plastique noir et la couverture de survie à la symbolique à la fois politique et écologique. Celui que l’on appelle le « Soulages ou le Christo africain », présentera également des œuvres inédites, entre abstraction et figuration, explorant la métaphore de l’artiste boxeur inspirée par la figure légendaire de Mohamed Ali.
Clay Apenouvon est né en 1970 à Lomé au Togo. Enfant, il entretient une relation conflictuelle avec l’institution scolaire. Loin des contraintes imposées par le cadre de l’école, il construit, crée et invente. Ainsi dès le plus jeune âge, c’est dans la créativité que l’artiste trouve la source de son épanouissement. Fasciné par le pouvoir que l’image peut exercer sur l’humain et maîtrisant les techniques de la peinture et du dessin, il affirme sa volonté de donner à sa création une portée plus grande et de s’accomplir en tant qu’artiste". (NDLG)
Exposition du 12 mai au 30 juillet 2023.
********************
PARIS :
GALERIE CHRISTIAN BERST : 3-5, passage des Gravilliers, 75003 Paris. Tél / Fax : +33 (0)1 53 33 01 70.Mercredi/Dimanche : 14h/19h.

**** JOAQUIM VICENS GIRONELLA
"La galerie consacre pour la deuxième fois une exposition monographique à l’œuvre de Joaquim Vicens Gironella, en montrant plus de 20 sculptures et bas-reliefs en liège des années 1960.
Né en Catalogne, Gironella (1911-1997) prend tôt le métier de son père artisan liégeur. S’ensuit — entre travail artisanal, poésie et sculpture — une histoire d’une vie avec le liège, que n’arrêtera pas l’exil vers la France forcé par Franco. Ainsi, à la fin de l’année 1948, Jean Dubuffet lui consacre une exposition avec l’enthousiaste collaboration d’André Breton. Puis, en 1967, Gironella est inclus à l’exposition L’art brut du Musée des Arts Décoratifs, accueillie par François Mathey, alors conservateur en chef. Depuis 2021, Gironella fait partie de l’exposition Francesc Tosquelles. Comme une machine à coudre dans un champ de blé, qui finira sa course au American Folk Art Museum de New York.(NDLG)
Vernissage le 6 avril à 18h.
********************
PARIS :
GALERIE THE BRIDGE (Berst) : 6 Passage des Gravilliers 75003 Paris.

**** Basserode, Julius Bockelt*, Charley Case, Philippe Deloison, Fernand Desmoulin*, Jean-Luc Favero, Xie Hong*, Hamish Karrkarrhba, André Hemelrijk, Arthur Lambert, Anaïs Lelièvre, José Lepiez, Sandra Lorenzi, Myriam Mechita, Paul Nabulumo Namarijnmak, Daniaux & Pigot, Isabelle Perú, Olivier Raud, Yuichi Saito*, Erik Samakh, Lia Anne T, Vladimir Skoda, Wiktoria Wojciechowska, Henriette Zéphir* et mère Nature.
" Tout est énergie, vibrations et fréquences. Y compris pour les œuvres d’art et leurs images. L’exposition Fréquences brutes explore cette réalité méconnue et sous-estimée. Sur le mode du cabinet d’amateur ou du laboratoire de l’alchimiste, elle rassemble des œuvres d’art aborigène, des créations de la nature minérale et végétale, d’art brut et d’art contemporain occidental." (NDLG)
Vernissage le 6 avril à 18h.
********************
PARIS :
GALERIE CAMILLE POUYFAUCON : 19 rue Guénégaud, 75006 Paris. Tél : 06.47.66.86.07. Mardi/Samedi : 11h/19h.
********************
PARIS :
GALERIE CLAIRE CORCIA : 323 rue Saint-Martin, 75003 Paris. Tél : 09.52.06.65.88
Lundi-vendredi 11h30-17h/30. Samedi 14h-19h

**** YANKEL (1920-2020) : Rétrospective.
Vernissage jeudi 25 mai à 18h.
Exposition du 25 mai au 12 juillet2023.
********************
PARIS :
GALERIE DAVID ZWIRNER : 108 rue Vieille du Temple, 75003 Paris.
********************
PARIS :
GALERIE DE L'EUROPE : 55 rue de Seine 75006 Paris. Tél : 01.55.42.94.23. Mardi /Samedi : 11h/13h et 14h/19h.
********************
PARIS :
GALERIE XII : 14 rue des Jardins Saint-Paul; 75004 Paris. Tél : 06.62.09.43.63. Mardi/Vendredi : 14h/19h. Samedi : 12h/19h.

**** CLARK ET POUGNAUD : "Une certaine idée du bonheur".
" Clark et Pougnaud forment depuis les années 1990 un duo au mode opératoire bien établi. Révélés par leur projet « Hommage à Hopper » qui leur valut le prix HSBC et le prix Archimboldo, les artistes fusionnent leurs deux techniques dans une esthétique théâtrale. Virginie Pougnaud fabrique et peint des décors, Christophe Clark les photographie. Certains éléments, objets ou personnages sont photographiés séparément puis ajoutés au décor. Si leurs images peuvent sembler être de simples portraits, ce sont en réalité des mises en scènes étranges et sophistiquées. Au fil des années, les décors se sont dépouillés pour se résumer à l’essentiel.
Avec la série Eden, une saison au Paradis, exposée notamment à Chaumont-sur-Loire en 2021-2022, ils amorcent une rupture renonçant aux techniques de post-production pour privilégier la prise de vue d’installations. Fetish (2020-2021) inspiré par des collections hétéroclites d’objets, poursuit cette recherche dans une esthétique post-surréaliste. A Poils (2023), une déclinaison sur la thématique de la peau, renoue avec l’utilisation de modèles.
Clark et Pougnaud créent des ambiances plus qu’ils ne créent des images. Ils invitent à une promenade onirique, à la contemplation, à l’exploration de notre propre imaginaire dans une société qui tourne à toute allure." (NDLG)
Exposition du 9 juin au 20 juillet 2023.
*********************
PARIS :
GALERIE DU CENTRE : 5, rue Pierre au Lard, (angle 22, rue du Renard). 75004 Paris Tél : 01 42 77 37 92. Mardi/Samedi : 14h/18h30.
********************
PARIS :
GALERIE DU GENIE DE LA BASTILLE : 126 rue de Charonne, 75011 Paris. Mardi/ Dimanche : 14h/20h.
********************
PARIS :
GALERIE FRANCOISE DURST : 15 rue de la Tour, 75116 Paris. Tél : 01.4.24.73.00. Mardi/Samedi : 10h/19h.
********************
PARIS :
GALERIE HERVE COURTAIGNE : 53 rue de Seine 75006 Paris.
********************
PARIS :
GALERIE HORS CADRE : 8 rue Chapon, 75003 Paris. Tél : 06.47.66.86.07.14h/20h et sur RDV.
********************
PARIS :
GALERIE HORS-CHAMPS : 20 rue des Gravilliers, 75003 Paris. Mardi/Dimanche : 13h/19 h.
********************
PARIS :
GALERIE INSULA : 24 rue des Grands Augustins 75006 Paris. Tél : (06) 07 74 96 57 ou (01) 71 97 69 57. Mercredi/samedi : 14h/19h30. et sur rendez-vous.

**** STEPHANE DAUTHUILLE 'En ce jardin"
"Dans cette nouvelle série d'œuvres, Stéphane Dauthuille met à l'honneur le végétal, un thème souvent présent dans son travail mais qui se déploie librement aujourd’hui pour venir irriguer l’ensemble de son univers. La gouache cirée, technique de prédilection de l’artiste, orchestre des compositions fraîches et vibrantes où la peinture et le dessin jouent chaque fois une partition plus ou moins prédominante mais toujours juste et inattendue. C’est un jardin qui bruisse aussi des étoffes acidulées des énigmatiques personnages féminins qui l’habitent. Et toujours, dans le vent, quelques cabanes enfouies sous des nuages de verdure qui semblent témoigner de la fragilité de l’être et de la quête permanente d’un lieu pour habiter poétiquement ce monde et s’y sentir chez soi.
Il y a du mouvement et de la transparence dans l’insaisissable matière des gouaches cirées de Stéphane Dauthuille qui continuent de s’imposer à notre imaginaire comme un mystère qu’on ne finit jamais d’élucider. Une peinture qu’on aurait envie de caresser pour en saisir le sensuel velouté et l’étrange secret.
Ses œuvres nous ouvrent les portes d’un univers onirique, à la fois familier et troublant. Leur beauté et leur sensibilité captivent. On ne cesse de les contempler." (NDLG)
Exposition du 11 mai au 24 juin 2023.
********************
PARIS :
GALERIE ISABELLE LAVERNY : 27 rue Guersant, 75017 Paris. : Tél: +331 45 72 55 69
********************
PARIS :
GALERIE KALEIDOSCOPE : 19 rue Mazarine 75006 Paris

**** ANTONIO RECALCATI : "La peinture n'est pas morte"
" Antonio Recalcati « peint ce qui abîme la vie ». Ces mots simples, écrits par Jacques Prévert en 1973 à propos de son jeune ami (lire le texte complet pages 51 et 52), reflètent avec sensibilité l’œuvre et le caractère de l’artiste. Son attention, son travail, les histoires qu’il raconte - avec un immense don de narrateur – se concentrent sur l’humain. Un humain meurtri. Après le fascisme, la guerre, l’annihilation de millions d’individus. Un humain seul. Dans la ville. Livré à l’anonymat, dans un monde au consumérisme croissant, dans une ambiance de mort. Un humain figuré, donc, sous des formes toujours incomplètes. Visages escamotés. Corps acéphales. Ombres sur le sol. Reflets dans l’eau. Ces formes, qui évoquent autant la présence que l’absence, semblent le fruit de processus contradictoires d’apparition et de désintégration. Ces traces, qui restent, sont dans tous les cas des traces de vie. Celles de n’importe quel être. Celles du peintre aussi, qui affirme son existence.
Tout commence en 1960. Dans son petit atelier de Milan, le jeune Antonio colle sa main, son visage, puis son corps, sur une toile enduite de peinture à l’huile et posée au sol. Il se relève, ses vêtements et le tissu autour de sa tête couverts de la matière ainsi retirée de la surface. De ce corps-à-corps entre l’artiste et la toile naissent ses premières Empreintes. Très vite les réactions fusent. Ce procédé, ce geste, existe depuis l’art pariétal. Pourtant, d’aucuns l’affirment : ce n’est pas de la peinture. Mais, qu’est-ce-que la peinture ? Qu’est-ce que le métier de peintre ? Quels dialogues le peintre des temps modernes entretient-il avec celui des temps anciens ? Que devient la peinture lorsque de nouvelles pratiques artistiques la disqualifient ? La peinture est-elle morte ? Cinq décennies durant Antonio Recalcati, tenace, lucide, souvent pessimiste, parfois rageur voire agressif, se confrontera à ces questions. Il balaiera d’un revers de la main les rapprochements avec les Anthropométries d’Yves Klein. Commettra des actes de délinquance picturale, peignant des chromos qu’il barre d’une croix pour les baptiser ensuite Paysages inutiles. Assassinera - avec ses comparses Eduardo Arroyo et Gilles Aillaud - l’encombrant Marcel Duchamp, comme pour réaffirmer le pouvoir de la peinture, qui plus est figurative (!). Organisera le mariage de sa peinture avec celle des maîtres, qu’il ne cesse d’admirer depuis son enfance, Da Vinci, Carpaccio, Raphaël, El Greco... ; s’inspirera de Picasso ; démystifiera De Chirico. Puis, au milieu des années 1970, s’opère une rencontre déterminante, à travers le temps, avec un autre peintre, inconnu celui-là, François Jean-Baptiste Topino-Lebrun. Sur la couverture du présent catalogue, le portrait imaginaire de cet artiste, guillotiné en 1801 pour raisons politiques, se regarde aussi comme un autoportrait. Mise à mort du peintre engagé, exécution du tableau, chevalet devenu guillotine (page 68). Durant quelques années, Antonio Recalcati ne peint que sur ces sujets. Il sonde ainsi les interactions entre peinture et histoire. Il interroge surtout le rapport intime du peintre à sa production. C’est alors que le doute est apparu. Doute sur les moyens et les outils du peintre. Doutes qui le feront renoncer au pinceau et se tourner vers la céramique et la sculpture de 1989 à 1996. Doutes finalement dépassés". Claire Soullig
Vernissage le samedi 27 mai. Ouverture exceptionnelle le dimanche 28 mai.
Exposition du 27 mai au 28 juillet // puis du 5 septembre au 21 octobre 2023.
*******************
PARIS :
GALERIE KORALEWSKI : 92 rue Quincampoix, 75003 Paris. Tél : 01.42.77.48.93. Mardi/Samedi : 14h/19h.
********************
PARIS :
GALERIE LE CARNAVAGE / MAMAKIN : 13 rue de Thionville, 75019 Paris.
********************
PARIS :
GALERIE L'ENTREE DES ARTISTES : 25 rue des Tournelles, 75004 Paris. Mercredi/Samedi : 14h/19h30.
********************
PARIS :
GALERIE LE MENIL'8 : 8 rue Boyer, 75020 Paris. Lundi/Vendredi : 16h/19h. Weekend : 15h/19h.
********************
PARIS :
GALERIE LES YEUX FERTILES : 27 rue de Seine, 75006 Paris. Jeudi, Vendredi, Samedi : 14h/19h.
********************
PARIS :
GALERIE LISE CORMERY : 6 rue Lanneau, 75005 Paris. Tél : 06.81.77.93.62.
********************
PARIS :
GALERIE MAEGHT : 42 rue du Bac, 75007 Paris. Tél : 01.45.48.45.15. Mardi/Samedi : 10h/19h.

**** MARCO DEL RE: "Hommage".
« Hommage » dévoile une sélection d’œuvres de l’artiste récemment disparu et nous transporte dans son univers romantique et fantasmé. Véritables odes à l’architecture, à la peinture, à la musique et au théâtre, les huiles sur toile sont un voyage à travers le temps et les grands mouvements artistiques, une plongée dans l’univers de l’artiste empreint de mythologie, de littérature et de poésie.
Célébration joyeuse et poétique de l’art de peindre, l’œuvre de Marco Del Re se nourrit de grands maîtres de l’Histoire de l’art tels que Henri Matisse, André Derain, Georges Braque, Giorgio De Chirico, Umberto Boccioni ou encore Francis Picabia. L’exposition « Hommage » revient sur les œuvres de Marco Del Re de la dernière décennie du XXe siècle alors que l’artiste se tourne définitivement vers la peinture. Au cœur du travail de Marco Del Re est la couleur. Ses grands nus monochromes rendent hommage à la statuaire romaine et au primitivisme italien.
C’est dans le noir que l’artiste appréhende la lumière. Dans certaines compositions, le noir est dominant, souvent de manière quasi obsessionnelle. Noir profond, sourd, littéraire mais aussi renvoyant à d’innombrables fragments de mémoire, à l’Histoire de l’art. Dépossédé de toute connotation mélancolique, il est le compagnon de la lumière et de la couleur. La lumière elle-même devient profonde, comme une lueur dans l’obscurité ou comme le blanc calciné parcouru de vibrations livides et irréelles. Le plaisir de la peinture se libère en un jeu de compositions où les personnages centraux sont entourés de paysages mythiques et paisibles.
Marco Del Re trouve ses sources d’inspiration dans les grands auteurs devenus classiques tel Ovide, La Fontaine ou encore Alfred Jarry. Il ne fait pas d’épopée, de natures mortes, de tableaux d’histoire, de portraits, de paysages. Son œuvre est une hypothèse. Ses formes et ses figures deviennent son œuvre, elles ne sont plus l’invention combinatoire servant un récit, une scène, une composition. Ces figures sont des prismes : leurs éléments s’entrechoquent. Ce sont des énigmes. Elles affirment leur appartenance à la peinture, une pratique, un faire, un style, à une manière." (NDLG)
Exposition du 17 mars au 27 juin 2023.
********************
PARIS :
GALERIE MAYORAL : 36 avenue Matignon, 75008 Paris. Mardi/Vendredi : 10h30/19h. Samedi : 13h/18h.

**** SALVADOR DALI :
"Ultralocal/Ultraglobal
" la galerie Mayoral présente dans son espace parisien à Matignon une exposition monographique consacrée à Salvador Dalí. À travers une sélection d'œuvres inédite, l’exposition témoigne de l’ambivalence entre le cosmopolitisme de l’artiste et son ancrage à Cadaqués, sa terre natale : deux aspects, qui semblent difficilement conciliables de prime abord mais qui s'incarnent toutefois dans son œuvre et son personnage. En effet, Dalí nous prouve que c'est précisément son particularisme et la revendication de ses racines qui a rendu possible son universalisme. Sous le commissariat de Chus Martínez, Salvador Dalí, ULTRALOCAL/ULTRAGLOBAL permet ainsi de redécouvrir l'univers artistique du célèbre peintre à la précision d'orfèvre, inspiré par la culture et le paysage - aussi poétique que singulier - de sa Catalogne natale mais aussi influencé par ses expériences internationales, notamment entre Paris, où il rencontre les Surréalistes, et les États-Unis, où il collabore avec des personnages à l'instar de Walt Disney." (NDLG)
Exposition jusqu'au 28 mai 2023.
********************
PARIS :
GALERIE PARIS-BEIJING : 62 RUE TURBIGO, 75003 Paris. Tél : 01.42.74.32.36.

**** YANG YONGLIANG : "Imagined landscapes"
Exposition à partir du 11 mars
********************
PARIS :
GALERIE PERROTIN : 76 rue de Turenne, 75003 Paris. TLJ. Sauf dimanche et lundi ; 11h/19h.
********************
PARIS :
GALERIE PIERRE-MARIE VITOUX : Marais, 3 rue d’Ormesson Place du Marché Sainte-Catherine, 75004 Paris. Tél : 01.48.04.81.00. Mercredi /Samedi : 14h/19h.

**** PASCALE DE LABORDERIE : Sculptures : "Bouffées d'air"
" Pascale de Laborderie, sculptrice, livre du corps à corps de ciment à l’état brut. Cette nouvelle exposition, Bouffées d’air, met en scène la danse (jazz et contemporaine), l’équitation (chevauchée, saut d’obstacle), les voix (les grandes, les petites) et un retour primitif, animal, des hommes vers la forêt.
(...)
Les sculptures de Pascale de Laborderie s’exhibent en toute liberté, résistant aux modes et aux temps : une scénographie vibrante et rebelle."(NDLG)
Vernissage le jeudi 11 mai de 18h à 21h
Exposition du 11 mai au 08 juillet 2023
********************
PARIS :
GALERIE PIXI. MARIE VICTOIRE POLIAKOFF : 93 Rue de Seine. Tél : 01.44.61.10.53. Mardi/Samedi : 14h30/19h., 75006 Paris.
********************
PARIS :
GALERIE ROBILLARD : 106 rue de la Folie Méricourt, 75011 Paris Tél : 06 12 46 38 00. 10h/19h dimanches inclus.
Galerie sur cour, codes d'accès 28a12 puis 12a28, au rdc face au petit jardin.
********************
PARIS :
GALERIE ROUSSART : 13 rue du Mont Cenis, 75018 Paris. Jeudi/Dimanche : 14h30/19h.
********************
PARIS :
GALERIE SABINE BAYASLI : 99 rue du Temple, 75003 Paris. Tél : 06.34.29.40.82.du mardi au samedi, de 12h à 19h
le dimanche de 14h à 18h30
********************
PARIS :
GALERIE SERGE ABOUKRAT : 2 rue de Bourbon le Château, 75006 Paris. Tél : 06.80.59.13.20.

**** MARCEL MARCEAU (1923-2007) : "Mime Marceau, peintures".
En hommage au centième anniversaire de sa naissance.
" la galerie Serge Aboukrat à Paris, inaugure une exposition dédiée à Marcel Marceau en présentant un ensemble de peintures de cet immense artiste, qui a été célébré dans le monde entier pour son talent de comédien incarné dans le personnage de Bip. Cet événement a été imaginé à l’occasion du centenaire de la naissance de l’artiste, pour révéler au public une face moins connue, son travail de plasticien, dessinateur et peintre ; « « La force de l’essentiel dans l’arabesque décrit par la main » nous dit Marcel Marcel Marceau qui peignait aussi peut-être pour exprimer différemment de la scène son monde onirique, hanté par les grands mystères humains. » confie sa fille Camille Marceau. (NDLG)
Exposition jusqu'au 21 juin 2023.
********************
PARIS :
GALERIE TEMPLON : 28 Rue du grenier Saint-Lazare, 75003 Paris. Mardi/Samedi : 10h/19h.

**** "PIERRE ET GILLES" : "Les couleurs du temps".
" Développées à 4 mains - Pierre le photographe et Gilles le peintre - cet ensemble, ancré dans l’époque, s’ouvre sur un hommage à l’Ukraine avec « La promesse » aux couleurs du pays en guerre. En contraste avec la gravité du propos, Pierre et Gilles déclinent une galerie de portraits tour à tour ludiques ou inquiétants. Les références au sacré et aux icônes religieuses affleurent. Ils convoquent des visages inconnus ou familiers, de Fanny Ardant à Tahar Rahim, dans des mises-en-scène plus complexes que jamais. Ensemble, ils inventent des personnages archétypaux : de jeunes Apollons entourés de flamands roses, clochard au grand cœur, dealer repenti, mendiant angélique ou marins nostalgiques.
Sans avoir l’air d’y toucher, Pierre et Gilles évoquent ainsi de nombreux débats qui traversent la société, des questions d’identité sexuelle en passant par les phénomènes d’exclusion sociale, la dépénalisation des drogues douces, la tolérance religieuse ou la pollution des océans. L’ambiguité de leur art, entre peinture et photographie, illusion et réalisme, permet de porter, tout en nuance, un message de tolérance dans une époque déchirée par les conflits et les inégalités." (NDLG)
Exposition du 4 mai au 15 juillet 2023.

**** CHIHARU SHIOTA : "Memory under the ski,"
« Après un premier apprentissage en peinture à l’université Seika de Kyoto, Chiharu Shiota choisit de poursuivre ses études artistiques à Berlin et se tourne d’abord vers la performance. Sa pratique s’oriente rapidement vers l’installation et la réalisation de vastes environnements éphémères. A travers un subtil tissage de fils noués, elle imagine des mises en scènes fantastiques combinant une variété d’objets de récupération : cadres de fenêtre, instruments de musique usagés, valises en carton, clés rouillées, livres ou vieux vêtements chinés. Ses installations, toujours plus ambitieuses, déclinées dans les musées du monde entier, sont aujourd’hui devenues sa signature et bâtissent, une à une, une œuvre complexe qui interroge les notions d’existence et de transcendance.
Avec « Memory under The Skin » Chiharu Shiota revient à un de ses thèmes de prédilection : le vêtement « comme seconde peau ». Elle explique, il « peut même être plus important qu’une peau puisqu’il offre la possibilité d’exprimer tellement sur chacun d’entre nous. Il en dit plus que la couleur de peau, l’âge ou la nationalité d’une personne. Il nous accompagne dans notre quotidien et devient alors l’incarnation de nos souvenirs, de notre existence. A notre mort, notre existence se reflète dans nos vêtements et les objets qui nous entourent. L’existence dans l’absence : c’est un des thèmes de mon travail ».
En contre-point, elle expérimente avec des matériaux plus permanents : « Dans le plâtre puis dans le bronze, j’ai voulu recréer les mains de mon mari, de ma fille ainsi que les miennes. Je voulais créer quelque chose qui demeure après ma disparition. Pour moi, le matériau est une extension du corps, comme une mémoire sous la peau. ». À la fois intime et aspirant à l’universel, ce nouveau travail, subtilement figuratif, de bronze et fils de métal, incarne ainsi une approche originale de la sculpture, comme réceptacle d’un ailleurs incertain." (NDLG)
Exposition du 24 mai au 15 juillet 2023.

**** CHIHARU SHIOTA et WILL COTTON "Trigger"
"Avec « Memory under The Skin » Chiharu Shiota revient à un de ses thèmes de prédilection : le vêtement « comme seconde peau ». Elle explique, il « peut même être plus important qu’une peau puisqu’il offre la possibilité d’exprimer tellement sur chacun d’entre nous. Il en dit plus que la couleur de peau, l’âge ou la nationalité d’une personne. Il nous accompagne dans notre quotidien et devient alors l’incarnation de nos souvenirs, de notre existence. A notre mort, notre existence se reflète dans nos vêtements et les objets qui nous entourent. L’existence dans l’absence : c’est un des thèmes de mon travail ».(NDl*LG)
" Cotton poursuit sa réflexion sur la pop-culture et les mythes américains. Sa série de 2020 « le Cowboy apprivoisé », autour de l’hypersexualisation de l’enfance et les représentations de genre, mettait déjà en scène des cowboys ultra virils aux prises avec des licornes roses. Cette fois, Will Cotton introduit la « cowgirl », figure féministe archétypale, aussi pulpeuse que provocante. Avec humour, elle prend le contrepied des personnages féminins habituels de l’artiste, brouillant toujours un peu plus la frontière des genres, le rapport entre les sexes, mais aussi la notion de queer et les luttes LGBT." (NDLG)
Exposition du 24 mai au 22 juillet 2023.
********************
PARIS :
GALERIE 31 PROJECT : 41 rue de Seine, 75006 Paris. Mardi : 11h/21h. Mercredi/Samedi : 11h/19h. Dimanche : 11h/18h.
********************
PARIS :
GALERIE VALLOIS : 35 rue de Seine, 75006 Paris. Tél : 01.43.25.17.34. Mercredi/Vendredi : 10h/19h. Lundi 14h/19h. Samedi : 10h/13h et 14h/19h.

**** DANIEL HOURDÉ : sculptures
"Parmi les œuvres récentes de l’artiste, un grand cœur en bronze sera installé pour plusieurs mois rue Jacques Callot, prolongeant ainsi l'événement dans l’espace public.
Formé à l’École des Beaux-Arts de Grenoble puis à celle de Paris, Daniel Hourdé se consacre depuis les années 80 essentiellement à la sculpture, plus spécifiquement au bronze à la cire perdue. Manipulant à sa guise cette technique, l’artiste se joue des aléas du hasard pour donner vie à des personnages échappés d’un univers onirique, aux allures de saltimbanques, polichinelles, épouvantails, gentils monstres, tous inspirant moins l’effroi que la dérision. Si dans ces récentes sculptures, il s’affranchit du réalisme récurrent dans son travail, celles-ci s’inscrivent néanmoins de façon flagrante dans la même dynamique.
Un même esprit baroque anime les dessins de Daniel Hourdé, spectaculaires par leurs dimensions. On y retrouve les thématiques chères à l’artiste que sont le combat du Bien contre le Mal, l’Ascension ou la Chute - empruntées à la mythologie chrétienne - et la Vanité avec ses figures allégoriques de la Mort et sa flamboyante série des Fleurs du Mâle, hommage à l'éphémère beauté des iris. Tragique et comique, Eros et Thanatos, s’y mêlent étroitement dans un style nerveux et volontiers maniériste." (NDLG)
Exposition du 1er juin au 29 juillet 2023.
********************
PARIS :
GALERIE 24 BEAUBOURG : KALEIDOSCOPE : 24 rue Beaubourg, 75003 Paris.TLJ. : 13h/19h.
********************
PARIS :
GALERIE W. LANDAU : 5 rue du Grenier Saint-Martin 75003 Paris. Tel : 01.42.54.80.24. Mardi/Samedi : 14h/19h.

**** TROY HENRIKSEN : Peintures
"Parce qu'il y a toute une vie, invisible et insoupçonnée, qui fourmille dans les réserves des galeries...
Parce qu'on aime l'idée de dévoiler l'envers du décor, de révéler ce qui est caché...
On a voulu vous ouvrir les portes habituellement fermées de W, vous amener là où se nichent des œuvres inattendues !
Provenant de collections d'artistes ou privées, jalousement préservées des regards ou mises en lumière le temps d'une exposition ou d'un accrochage, on vous les présente aujourd'hui - à des conditions très particulières ;) - avec la capsule W Collector dédiée aux amis et collectionneurs de la galerie." (NDLG)
********************
PARIS :
GRANVILLE GALLERY : 23 rue du Départ 75014 Paris. Tél : 01.43.22.41.94. Mercredi/Samedi : 15h/19h.
********************