ABU DHABI : 

MUSEE DU LOUVRE : 

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AIGLE (Suisse)

CHATEAU D'AIGLE. MUSEE DE LA VIGNE ET DU VIN : Place du Château , 1860 Aigle. Tél. +41 (0)24 466 21 30.

Janvier à mars, novembre & décembre : Mardi/Dimanche, 10h/16h // Avril à juin, septembre & octobre : Mardi/Dimanche, 10h/18h // Juillet & Août : TLJ. : 10h/18h

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AMSTERDAM (Pays-Bas) : 

MUSEE D'ART OUTSIDER : Amstel 51, 1018 EJ Amsterdam, Pays-Bas. Tél : +31 23 541 0681. 

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BARCELONE : 

FONDATION JUAN MIRO : 

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BARCELONE (Espagne) :

MUSEU NACIONAL D'ART DE CATALUNYA : Parc de Montjuic, Barcelone. Tél : 34 936220360.

BERRIEDALE TASMANIE (Australie) : 

 

WHAT      The Museum of Everything

WHERE     Museum of Old and New Art [MAP] 

                           655 Main Rd, Berriedale 

                           Tasmania 7011, Australia

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BERLIN (Allemagne) :

DAIMLER CONTEMPORARY ART CENTER : Haus Huth : Alte Postadamer Str. 5 ; 10785 Berlin. Tél : +49 30 2594 1420. TLJ. 11h/18h.

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BILBAO (Espagne) :

MUSEE GUGGENHEIM BILBAO : Avenida Abandoibarra, 2 48009 Bilbao Teléfono: 944 35 90 00 Email: informacion@guggenheim-bilbao.es

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BRUXELLES : 

CENTRE JULES VERNE : Forest (63-67 chaussée de Neerstalle – 1190 – Bruxelles) au sein de l'ancien cinéma Roma. Michel Dircken 0475412918

**** Nouveaux Voyages de Jules Verne

 

Le Musée d'Art Fantastique accueille une exposition collective basée sur l'univers singulier de Jules Verne. De nombreux artistes ont été invités à créer des couvertures de livres imaginaires de Jules Verne, et à en rédiger une quatrième de couverture fictive. L'ensemble des œuvres et des textes sera exposé forme l' exposition collective des Nouveaux Voyages de Jules Verne .

 

Exposition tous les weekends jusqu’au 9 novembre 2025

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BRUXELLES (Belgique) : 

MUSEE D'ART FANTASTIQUE : 7 rue Américaine, 1060 Bruxelles. 14h à 17h (fermé lundi et mardi).  Lien : Labyrinthe de Jules Verne

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BRUXELLES (Belgique)

CREAHM : 

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BRUXELLES (Belgique) : 

ART ET MARGES MUSEE MUSEUM : Rue Haute 314, 1000 Bruxelles. Tél : +32 2 533 94 90. Mardi/Dimanche : 11h/18h.

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PARIS : 

LE BICOLORE MAISON DU DANEMARK : 142 avenue des Champs-Elysées, 75008 Paris. Tél : 06.78.84.63.42. Lundi/Dimanche : 12h/18h.

**** Les Gardiens de l'Océan Photographies par Inuuteq Storch

 

Le Bicolore – La Maison du Danemark à Paris présente, du 19 septembre au 23 novembre 2025, l'exposition Gardiens de l'Océan consacrée à l'artiste inuit Inuuteq Storch, qui a notamment représenté le Danemark à la 60 e Biennale d'art de Venise en 2024. À travers cette exposition, Inuuteq Storch déconstruit les récits dominants et les idées préconçues sur le Groenland, son territoire d'origine, en proposant une lecture personnelle, intime et politique de son environnement et de son héritage.

Le parcours de l'exposition s'articule autour de quatre grands thèmes : le sublime, l'intime, le savoir intergénérationnel et le passé colonial et l'avenir. Chaque espace explore l'un de ces axes à travers une sélection d'œuvres issues de ses séries emblématiques Keepers of the Ocean, Soon Will Summer Be Over et Anachronism.

Le premier espace immersif présente trois grands caissons lumineux montrant des images fortes – l'artiste faisant le signe des cornes du diable devant un iceberg, l'étreinte de deux jeunes kalaallit, deux enfants allongés sous la chaleur du soleil – tandis qu'un tirage mural panoramique (6 x 2 m) montre la vue depuis la maison de l'artiste, véritable ouverture sur son univers. Ces œuvres servent d'introduction aux thématiques développées dans l'exposition.

Dans le deuxième espace, conçu comme une galerie photographique, Inuuteq Storch nous plonge dans l'intimité du quotidien groenlandais. Les traditions danoises, coloniales et kalaallit s'y entrecroisent, révélant la complexité identitaire de cette région longtemps représentée à travers des regards extérieurs.

Le troisième espace propose une immersion vidéo avec la projection en boucle, sur grand écran, de quatre œuvres majeures de l'artiste : The Way You Kill is the Way You Live, Any Way, This is Where We End, We Grow Up to Forget Who We Were. Ces films prolongent son exploration du souvenir, du territoire et de l'appartenance.

Bientôt l'été sera terminé

Qaanaaq, village le plus septentrional de Kalaallit Nunaat (le Groenland), est aussi l'un des lieux habités les plus au nord de la planète. Isolé et peu peuplé – moins de 700 habitants aujourd'hui – Qaanaaq a été l'un des derniers territoires groenlandais à être colonisés, entre 1910 et 1930. Ce contexte tardif a attiré l'attention des expéditions danoises, des scientifiques et des photographes, désireux de documenter ce qu'ils considéraient alors comme une culture inuit « authentique ».

À l'été 2023, Inuuteq Storch séjourne à Qaanaaq. Il s'y installe temporairement, s'immerge dans la communauté et tisse des liens étroits avec ses contemporains, familles et chasseurs. Pour lui, la photographie n'est jamais une finalité en soi : la relation humaine première, et c'est seulement dans cet échange de confiance que l'image peut naître. La série présentée dans l'exposition découle de cette immersion : les portraits, paysages et scènes de vie se déroulent dans un accrochage sobre, aux formats encadrés et suspendus, rappelant les conventions classiques du médium photographique.

Les gardiens de l'océan

Les œuvres présentées sont des numéros de la vaste série photographique publiée dans le livre Keepers of the Ocean en 2022. Comme dans la série précédente At Home We Belong, Inuuteq Storch y revient à Sisimiut, sa ville natale, affirmant ainsi la force du territoire local et l'ancrage communautaire de sa pratique photographique.

Ces images, profondément intimistes, explorent la matérialité du quotidien : la tactilité des surfaces et des matières – vêtements, neige, peau, cheveux, nourriture, métal, porcelaine. Elles dessinent un autoportrait fragmenté de l'artiste, mais aussi de sa communauté, dans une relation organique entre le corps, les objets et les lieux. Certaines prises de vue, volontairement très rapprochées, laissent apparaître des visages ou des détails flous, instaurant une forme de présence physique du spectateur dans l'image, presque corporelle. » (NDM)

 

Exposition du 19 septembre au 23 novembre 2025.

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GENEVE :

ONU PALAIS DES NATIONS : Bâtiment E Porte 40 Mezzanine 2e étage.

(et Galerie Jacob Paris)

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HAARLEM (Pays-Bas) :

FRANS HALS MUSEUM : Groot Heiligland 62, Haarlem. Téléphone 00 31 [0]23 511 57 75. Mardi/Samedi : 11h/17h.

Dimanche et jours fériés : 12h/ 17h.

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FRANCFORT-SUR-LE-MAIN :

MMK MUSEUM FÜR MODERN KUNST : Domstraße 10, 60311 Frankfurt am Main, Allemagne. Tél : +49 69 21230447. TLJ. : 10h/18h.

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GAND (Belgique) :

MUSEE DU DOCTEUR GUISLAIN : Josef Guislainstraat 43 Gand.

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GENEVE (Suisse) :

PALAIS DES NATIONS : Mezzanine, Bâtiment E, Porte 10 : 8/14 Avenue de la Paix, Genève 10.

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LA HAYE  (Pays-Bas) : 

GEMEENTEMUSEUM Stadhouderslaan 41, 2517 HV La Haye, Pays-Bas

+31 70 338 1111

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LAUSANNE :

COLLECTION D'ART BRUT : Avenue Bergières 11, 1004 Lausanne, Suisse. Tél : +41 21 315 25 70.

Mardi/Dimanche : 11h/18h, y compris les jours fériés, ainsi que les lundis de Pâques, de Pentecôte et du Jeûne.

Fermé le 25 décembre, ainsi que le 1er janvier. / Les 24 et 31 décembre ouvert de 11h à 17h / Ouvert le lundi en juillet et août. / Premier samedi du mois, entrée gratuite.

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LIEGE (Belgique)

**** TRINKHALL MUSEUM : Parc d'Avroy, 4000 Liège. Mercredi/Dimanche : 10h/18h. 

ANCIENNEMENT MAD MUSEE.

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LISBONNE (Portugal) : 

CALOUSTE GULBENKIAN MUSEUM : Musée islamique : Bâtiment principal, galerie principale : Avenue de Berna, 45A, Lisbonne. Lundi, Mercredi, Jeudi, Samedi, Dimanche : 10h/18h. // Vendredi : 10h/21h. Fermé le mardi. 

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LIVERPOOL : 

TATE LIVERPOOL : Albert Dock, Liverpool L3 4BB, Royaume Uni. Tél : +44 151 702 7400. Lundi/Dimanche : 10h/17h50.

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LONDRES (Royaume Uni) :

NATIONAL GALLERY : Trafalgar Square, Londres WC2, Angleterre, Tél : 442077472885

Horaires et ouverture : Ouverture : 10h - 18h (21h le vendredi)

Aile Sainsbury. Entrée payante

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LONDRES (Angleterre) :

ROYAL ACADEMY OF ARTS : Burlington House, Picadilly, Londres W1J OBD ; Tél. +44 20 7300 8000 ou www.royalacademy.org.uk. Galeries Sackler

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LONDRES (Angleterre)

TATE BRITAIN : Adresse : Millbank, London SW1P 4RG, Royaume-Uni. Téléphone :+44 20 7887 8888

Horaires d'ouverture :10h/18h.

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LONDRES :

TATE MODERN : Bankside, Londres, SE1 9TG. TLJ : 10h/18het jusqu’à 22h les vendredis et samedis. Tél : 44(0)20 7887 888. Site : www.tate.org.uk

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LISBONNE (Portugal) : 

PATIO DA GALÉ : Praça do comércio, 1100-038 Lisbonne.

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LIVERPOOL : 

TATE LIVERPOOL : Albert Dock, Liverpool L3 4BB, Royaume-Uni. Téléphone : +44 151 702 7400. TLJ. : 10h/18h

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LUXEMBOURG : 

MUSEE D'ART MODERNE GRAND DUC JEAN : MUDAM : 3 Park Drai Eechelen 1499 Luxembourg.  TLJ. Sauf mardi. 10h/18h. Mercredi : 10h/22h.

Espaces Niveau 0 : Grand Hall ; Niveau +1 : Galerie Est, Galerie Ouest.

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MARCHIN : 

CREAHM : CENTRE CULTUREL DE MARCHIN: place de Grand-Marchin, 4 Marchin : Vendredis, samedis et dimanches, de 14h à 17h ou sur rdv.

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MONACO :

GRIMALDI FORUM : 10, avenue Princesse Grace - MC 98000 Monaco. Tel : + 377 9999 3000. TLJ. : 10h/20h. Nocturne le jeudi jusqu’à 22h.

Visites commentées les jeudis et dimanches à 14h30 et 16h30.

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MONACO :

NOUVEAU MUSEE NATIONAL,VILLA PALOMA : Boulevard du Jardin exotique,98000 Monaco. Ouvert tous les jours en périodes d'exposition de 10h à 18h. Fermeture les 1er janvier, 1er mai, 4 jours du Grand Prix, 19 novembre et 25 décembre. 

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PARIS :

INSTITUT SUEDOIS : 11 rue Payenne 78003 Paris. Mercredi/Dimanche : 12h/18h.

**** BARBRO ÖSTLIHN

 

L'Institut Suédois présente l'artiste Barbro Östlihn. Au carrefour des avant-gardes américaines et européennes, Barbro Östlihn a développé un langage pictural unique, hors de tout courant artistique. Mais il aura fallu changer de millénaire pour que l’œuvre de cette peintre prolifique, mariée à un célèbre artiste, nous apparaisse dans toute sa force. Cette exposition est la première rétrospective de Barbro Östlihn en France.

En 1961, Barbro Östlihn débarque à New York avec son mari, Öyvind Fahlström, artiste visuel, critique d’art et auteur reconnu. Ils emménagent dans l’ancien loft de Robert Rauschenberg au sud de Manhattan, qui leur servira à la fois d’appartement et d’atelier commun. Impressionnée par l’architecture imposante autant que par la valse des constructions, destructions et réhabilitations de cette partie de New York, Östlihn développe son propre langage pictural, en marge du pop art et du néo-réalisme alors en vogue. Elle parcourt l’île de jour, appareil photo à la main, et peint la nuit. Ce n’est pas le bouillonnement de la rue qui l’intéresse, mais les façades qui en forment les coulisses et qu’elle traduit sur de grandes toiles par des mosaïques et des macroformes géométriques. Ses tableaux portent souvent les noms des adresses ou des édifices qu’ils représentent.

À partir de 1963, elle expose régulièrement dans des galeries telles que la Galerie Cordier & Ekstrom, Tibor de Nagy Gallery, Marian Goodman Gallery, et remporte l’adhésion de critiques renommés comme Barbara Rose et Donald Judd. Elle collabore aussi avec Fahlström autour de nombreux événements – la Biennale de Venise en 1966, des expositions, des soirées – où se côtoient les avant-gardes de tous champs et de tous horizons. Malgré sa place dans cette communauté et la finesse de son œuvre picturale, ce n’est que récemment que son art a reçu la pleine reconnaissance qu’il mérite.

Le couple se sépare en 1975 et Östlihn s’installe l’année suivante à Paris avec l’artiste français Charles Dreyfus. Elle y demeurera jusqu’à sa mort en 1995. À nouveau, les murs et les sols constituent des sujets pour sa peinture, qui évolue vers un langage encore plus abstrait. Barbro Östlihn est alors représentée par la galerie baudoin lebon.

Son œuvre puissante et singulière devra attendre la grande exposition de Moderna Museet en 1984 pour se faire connaître en Suède. C’est à partir des années 2000, après le décès de l’artiste, qu’une série d’expositions viendra consacrer sa place dans l’histoire de l’art suédois d’après-guerre. Après une première présentation de sa période new-yorkaise en 1997, l’Institut suédois offre ce printemps la première rétrospective de Barbro Östlihn en France. Comme un clin d’œil à l’éternelle fascination de l’artiste pour les transformations architecturales, cette exposition inaugure une série d’espaces nouvellement rénovés de l’Hôtel de Marle. 

L’exposition montre une vingtaine d’œuvres, pour la plupart en très grand format, emblématiques de l’ensemble de sa carrière, ainsi que des reproductions de photographies et des esquisses servant de base à son travail. La sélection est complétée par des documents d’archives et des clichés du célèbre photographe Christer Strömholm, témoignant des relations entre artistes suédois.es et français.es à Paris dans les années 1960 et du rôle d’Östlihn dans ces échanges ». (NDM)

 

Exposition du 28 mars au 20 juillet 2025.

**** L’UNIVERS IMPRIMÉ DE PONTUS HULTEN : « Gardez le sourire »

 

"À la tête de plusieurs institutions artistiques majeures à travers le monde, Pontus Hultén (1924 – 2006) a révolutionné le monde de l'art et sa place dans la société. L'Institut suédois présente une centaine de productions graphiques réalisées sous sa direction, témoignant d'un anarchisme ludique, libre et profondément inventif.

plusieurs grands musées à travers le monde, dont Moderna Museet à Stockholm, qu'il dirigea de 1958 à 1973, et le Musée national d'art moderne au Centre Georges Pompidou, dont il fut le premier directeur entre 1973 et 1981. Il a marqué l'histoire et assis la renommée mondiale de ces musées avec des expositions conçues tout à la fois comme des critiques de la société et comme des expériences totales, effaçant les frontières entre l'art et la vie. Certaines expositions présentées au Moderna Museet dans les années 1960 ont fait date : la sculpture monumentale et iconique « Hon » 1 par Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely et Per Olof Ultvedt, devant laquelle la foule se pressait pour entrer dans un vagin géant. L'exposition « Modellen – för ett bättre samhälle » 2 invitait les enfants à explorer et remodeler l'espace muséal, comme une métaphore du changement social. De la même façon, le public pouvait participer à la création d'une partie de l'exposition « Poesin måste göras av alla. Förändra världen! » 3 , et appeler un numéro pour exprimer son avis sur la programmation. Afin de rendre l'art accessible à tous et de permettre son intégration dans la vie quotidienne, Pontus Hultén a été parmi les premiers à étendre les horaires d'ouverture du musée. Sa politique tarifaire s'inscrivait aussi dans une volonté d'ouverture et de démocratisation : le catalogue de l'exposition « Andy Warhol » (1968, Moderna Museet) était par exemple vendu à un dollar.

Hultén a façonné l'univers visuel des musées qu'il a dirigé en réunissant artistes, commissaires, graphistes, éditeurs, auteurs et imprimeurs autour de projets audacieux, à contre-courant des conventions. Ces collaborations ont fait voler en éclat les hiérarchies traditionnelles, les rôles s'entremêlant, se réinventant ou disparaissant complètement. Bien qu'il n'ait que rarement conçu ou imprimé lui-même, l'influence de Hultén était perceptible à chaque étape du processus créatif. Parmi ses collaborateurs réguliers figuraient les designers graphiques suédois Hubert Johansson, John Melin & Anders Österlin (M&Ö) et Gösta Svensson, ainsi que, plus tard, des figures internationales comme Roman Cieślewicz et Jean Widmer.

D'après Hultén, chaque objet graphique avait le droit à son propre caractère, son individualité. La forme devait refléter le contenu, mais aussi la personnalité de son concepteur. Elle devait rendre visible l'invisible. L'« aura » de chaque objet naissait d'une relation étroite entre le fond et la forme, où le format s'adaptait au sujet, les matériaux étaient soigneusement choisis pour traduire un message, et l'impression exploitait les techniques les plus avancées du moment. Il s'agissait de repousser sans cesser les limites du possible.

Le fil rouge qui traverse l'héritage d'Hultén est celui d'un anarchisme joyeux, ironique, libre, profondément inventif et utopique. Inspiré du dadaïsme, il voyait l'art comme une critique du réel. À travers sa production, il tissait en filigrane un réseau de signes, une constellation de questions défiant les conventions." (NDM)

 

Exposition jusqu'au 21 septembre 2025

**** PETER FUNCH et KMAUS THYMANN

 

Le Bicolore-Maison du Danemark présente l'exposition Double Miroir , , qui propose un dialogue esthétique entre deux photographes danois : Peter Funch et Klaus Thymann. Cette exposition de Project Pressure dévoile, à travers une sélection de tirages modernes, deux réflexions sur un même sujet – le recul des glaciers et son lien avec le changement climatique – tous deux avec une imagerie comparative mais en suivant deux approches différentes.

Peter Funch et Klaus Thymann font appel aux glaciers pour illustrer le changement climatique, tout en suivant chacun une démarche qui leur est propre. Leurs deux approches concordantes avec la mission que s'est donnée Project Pressure, qui recourent à la narration visuelle pour sensibiliser à l'urgence climatique. La fusion des arts et des sciences dans la démarche des deux créateurs dépasse la contribution personnelle et montre combien la collaboration interdisciplinaire est à même de produire un récit puissant, présenté pour la première fois dans le cadre de cette exposition.

Double Miroir fait référence à l'analogie scientifique du miroir double, concept en physique, en optique, voire en psychologie selon lequel un miroir double crée des reflets qui interagissent, mais ici ce concept englobe aussi une dualité des approches concernant les questions environnementales.

Double Miroir examine l'intrication des dynamiques du changement climatique, qui s'exprime à travers deux objectifs opposés mais interconnectés. Le titre de l'exposition sert de métaphore au phénomène par lequel les gaz à effet de serre (GES) forment une double barrière qui retient la chaleur dans l'atmosphère de la Terre à la manière dont un miroir double réfléchit la lumière. Le rayonnement solaire traverse la première couche et atteint la surface de la Terre, où il est absorbé puis réémis sous forme de chaleur. Le deuxième miroir, formé par la couche des GES, renvoie cette chaleur, intensifiant ainsi l'effet de réchauffement.

Dans son travail, Peter Funch juxtapose des cartes postales et des photos d'archives et des photographies nouvelles montrant les mêmes lieux. Jouant sur la technique de la séparation RVB, il saisit des paysages avec des expositions rouge, vert et bleu qui, une fois recombinées, mettent en évidence les changements environnementaux tels que la fonte des glaciers et l'écoulement du temps. Cette méthode crée entre passé et présent un dialogue visuel très parlant.

Klaus Thymann travaille lui aussi sur une imagerie comparative en recréant des photos aériennes du Groenland datant des années 1930. Il reprend des levés topographiques anciens pour photographie des glaciers côtiers à partir des mêmes points de vue, à l'aide de techniques cartographiques modernes. Ses images révèlent les transformations spectaculaires des paysages et offrent un contraste haute-définition entre passé et présent qui souligne la gravité de la crise environnementale actuelle.

Les deux artistes recourent à l'imagerie comparative : la technique de séparation des couches RVB de Funch fusionne le passé et le présent pour évoquer le temps qui passe, tandis que les recréations précises de photos anciennes par Thymann mettent en exergue le contraste entre le monde tel que nous l'avons connu et la réalité actuelle. Présentées ensemble par Project Pressure, leurs approches donnent à voir sous de multiples facettes le recul des glaciers et les répercussions considérables du changement climatique ». (NDM)

 

Exposition jusqu’au 31 juillet 2025.

**** LOUIS-JEAN DESPREZ (1743-1804)

 

Au cœur de l'identité de l'Institut suédois, l'exposition permanente entame une nouvelle ère. Ce renouveau met en lumière des trésors méconnus de la collection à travers un accrochage thématique, qui s'ouvrira le 17 mai, explorant les courants de pensée, les aspirations et les tensions qui ont marqué le Siècle des Lumières. Ce nouvel accrochage sera régulièrement activé de différentes manières, tout d'abord avec, la première exposition monographique depuis 30 ans consacrée à l'artiste Louis-Jean Desprez (1743–1804), largement représenté dans la collection.

Printemps 1965. C'est en cherchant un nouvel endroit pour exposer sa riche collection que l'historien d'art Gunnar W Lundberg déniche un hôtel particulier décrépi dans le quartier du Marais, à Paris. L'homme convainc l'État suédois d'en faire l'acquisition : c'est le point de départ de l'Institut suédois, dont l'exposition permanente présente une sélection des œuvres passionnément et minutieusement rassemblées par Gunnar W Lundberg. 700 peintures, 1400 dessins, 4000 œuvres graphiques ainsi que des sculptures, livres anciens, médailles.... Parmi cet ensemble, sur compte des trésors signés Alexander Roslin, Louis-Jean Desprez ou encore Gustaf Lundberg.

Mai 2025. Un nouvel accrochage thématique offre un éclairage inédit sur les grands mouvements du 18 e siècle, période la plus représentée dans la collection. Le Siècle des Lumières, qui marque l'âge d'or des relations franco-suédoises, est une période de grands progrès, mais aussi de troubles. Cette dualité est explorée à travers le regard des artistes français et suédois, qui ont su capter un monde en mutation. Organisée en quatre sections, l'exposition présente tour-à-tour les nouvelles conceptions de la figure de l'artiste, de l'avenir, du passé, ainsi que le regard porté sur le Nord.

Dans un jeu d'échos et de résonances, cette mise en perspective tisse un dialogue entre le passé et le présent, marqué l'un comme l'autre par de grands bouleversements.(NDM)

 

Exposition du 17 mai au 26 octobre 2025.

**** Exposition collective : « Grâce flamboyante »

 

« Dans une filiation critique du mouvement Swedish Grace, l'artiste et commissaire d'exposition Markus Emilsson invite, à l'Institut suédois, cinq des artistes suédois les plus éminents pour une exposition débridée, sauvage, haute en couleurs. Maria Bang Espersen, Hanna Hansdotter, Peter Hermansson, Fredrik Nielsen et Kirsten Vikingstad Hermansson ont développé, chacun·e à sa façon, de nouveaux langages esthétiques qu'ils répandent partout dans le monde. Ils·elles ont en commun une passion pour le savoir-faire artisanal et une volonté profonde de contribuer au renouvellement de l'art verrier.

L'art verrier suédois possède une longue et riche histoire, entre innovations et traditions, prestige et simplicité, prospérité et déclin. 100 ans après la percée du mouvement Swedish Grace, il entre dans une nouvelle ère. Une génération d'artistes audacieux·ses remettent en question les traditions établies et les approches conventionnelles, et célèbrent les formes, les couleurs, le désir.

Grâce suédoise et design scandinave

Le 20 e siècle marque l'âge d'or du style et du design suédois. Comme souvent, de nombreux facteurs influencent ce phénomène, mais principalement l'action de l'association suédoise de l'artisanat (Svensk Slöjdförening). En 1910, elle lance le concept de « beaux objets du quotidien » (vackrare vardagsvara), qui caractérise longtemps le design suédois.

Cette vision de la « beauté pour tous » et de la « beauté au quotidien » a contribué à façonner l'image personnelle du peuple suédois, mais aussi la perception internationale du goût et de l'identité suédoise∙es. Il s'agissait d'embellir le foyer par un design fonctionnel et épuré, à prix abordable. Cette esthétique quotidienne était censée éduquer la population aux valeurs artistiques et favoriser une élévation intellectuelle par les sens.

À travers une série d'expositions nationales et internationales, le concept de beaux objets pour le quotidien se développe, menant à une percée internationale de l'artisanat et de l'art industriel suédois lors de l'exposition universelle de Paris en 1925. À cette occasion, la porcelaine suédoise de Rörstrand et Gustavsberg, les textiles signés Märta Måås-Fjetterström, les objets en étain d'Estrid Ericson et surtout le verre suédois d'Orrefors sont félicitations.

Pour l'industrie verrière suédoise, ce succès entraîne une hausse des exportations et une renommée internationale autour du bon goût, de l'élégance et de la qualité. Ce style est baptisé Swedish Grace. L'exposition universelle de New York en 1939 voit émerger le concept de Swedish Modern. Grâce à une collaboration étroite entre artistes et fabricants, des objets du quotidien de haute qualité sont désormais accessibles à tous∙tes. L'esthétique suédoise est vendue et exportée comme étant simple, légère, lumineuse, accueillante et saine. Le Design Scandinave, à partir des années 1950, en est une extension. » (NDM)

 

Exposition du 3 au 21 septembre 2025

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PULLY (Suisse) : 

MUSEE D’ART DE PULLY : Chemin Davel 2, 1009 Pully Suisse. Tél : +41 21 721 38 00

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ROME (Italie) :

VILLA MEDICIS Académie de France à Rome : Vialle della trinita dei Monti 1, 00187 Rome

**** Avec les 16 pensionnaires en résidence à la Villa Médicis : Haig Aivazian, Bianca Bondi, Jérôme Printemps Clément-Wilz, Nicolas Daubanes, Abdessamad El Montassir, Alessandro Gallicchio, Amalia Laurent, Pierre-Yves Macé, Clovis Maillet, Nicolas Sarzeaud, Claudia Jane Scroccaro, Seynabou Sonko, Ana Vaz, Pierre Von-Ow, Lise Wajeman, Louisa Yousfi « Changer la prose du monde » : Exposition des pensionnaires de la Villa Médicis

 

« Comme chaque année à l'approche de l'été, l'Académie de France à Rome réunit dans une exposition collective les projets des saisies pensionnaires au terme de leur année de résidence à la Villa Médicis. À cette occasion, les œuvres quittent l'intimité des ateliers pour rejoindre les salles d'exposition à la rencontre du public. Présentée du 28 juin au 8 septembre 2025 sous le commissariat de Lilou Vidal, l'exposition s'intitule Changer la prose du monde (Cambiare la prosa del mondo) en référence à un poème de l'autrice italienne Amelia Rosselli dont la langue rythmique et dissidente perturbe les fondements du langage normé et des narrations dominantes. Cette invitation à repenser l'écriture du monde fait écho aux opérations de récits artistiques, poétiques, politiques et écologiques qui animent les recherches multidisciplinaires des pensionnaires de la Villa Médicis, dans un exercice choral porté par une diversité de voix et de pensées.

L'exposition se caractérise par la diversité des pratiques artistiques représentées, de la littérature à la création musicale en passant par l'histoire de l'art, les arts plastiques, la photographie et le cinéma. Ce récit visuel est ponctué de phrases choisies par les pensionnaires, tel un texte déconstruit dans les pages d'un livre sans début ni fin. Répondant aux mots de la poétesse Amalia Rosselli et contaminant les murs des salles d'exposition, ce processus de co-écriture aléatoire rend compte à la fois d'un souffle collectif et de l'expression de 16 singularités.

Durant leur année à Rome, les pensionnaires sont amenés à vivre la résidence comme un laboratoire d'expérimentation, offrant la possibilité de déployer des recherches au long cours, d'emprunter des voies nouvelles, de se laisser surprendre et entraîner par ce que produit la rencontre avec d'autres pratiques artistiques et d'autres géographies. L'exposition est le prolongement de cette expérience. Elle est aussi l'occasion d'interroger la mise en forme de projets qui échappent aux catégories conventionnelles d'exposition. Comment matérialiser une recherche en cours ? Comment articuler arts plastiques, arts vivants et littérature ? » (NDM)

 

Exposition du 18 juin au 8 septembre 2025.

**** PONTUS HULTEN : « Gardez le sourire »

 

« À la tête de plusieurs institutions artistiques majeures à travers le monde, Pontus Hultén (1924 – 2006) a révolutionné le monde de l'art et sa place dans la société. L’Institut suédois présente une centaine de productions graphiques réalisées sous sa direction, témoignant d'un anarchisme ludique, libre et profondément inventif.

Historien d'art et commissaire d'exposition, Pontus Hultén a contribué à la fondation de plusieurs grands musées à travers le monde, dont Moderna Museet à Stockholm, qu'il dirigea de 1958 à 1973, et le Musée national d'art moderne au Centre Georges Pompidou, dont il fut le premier directeur entre 1973 et 1981. Il a marqué l'histoire et assis la renommée mondiale de ces musées avec des expositions conçues tout à la fois comme des critiques de la société et comme des expériences totales, effaçant les frontières entre l'art et la vie. Certaines expositions présentées au Moderna Museet dans les années 1960 ont fait date : la sculpture monumentale et iconique « Hon » 1 par Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely et Per Olof Ultvedt, devant laquelle la foule se pressait pour entrer dans un vagin géant. L'exposition « Modellen – för ett bättre samhälle » 2 invitait les enfants à explorer et remodeler l'espace muséal, comme une métaphore du changement social. De la même façon, le public pouvait participer à la création d'une partie de l'exposition « Poesin måste göras av alla. Förändra världen! » 3 , et appelez un numéro pour exprimer son avis sur la programmation. Afin de rendre l'art accessible à tous et de permettre son intégration dans la vie quotidienne, Pontus Hultén a été parmi les premiers à étendre les horaires d'ouverture du musée. Sa politique tarifaire s'inscrivait aussi dans une volonté d'ouverture et de démocratisation : le catalogue de l'exposition « Andy Warhol » (1968, Moderna Museet) était par exemple vendu à un dollar.

Hultén a façonné l'univers visuel des musées qu'il a dirigé en réunissant artistes, commissaires, graphistes, éditeurs, auteurs et imprimeurs autour de projets audacieux, à contre-courant des conventions. Ces collaborations ont fait voler en éclat les hiérarchies traditionnelles, les rôles s'entremêlant, se réinventant ou disparaissant complètement. Bien qu'il n'ait que rarement conçu ou imprimé lui-même, l'influence de Hultén était perceptible à chaque étape du processus créatif. Parmi ses collaborateurs réguliers figuraient les designers graphiques suédois Hubert Johansson, John Melin & Anders Österlin (M&Ö) et Gösta Svensson, ainsi que, plus tard, des figures internationales comme Roman Cieślewicz et Jean Widmer.

D'après Hultén, chaque objet graphique avait le droit à son propre caractère, son individualité. La forme devait refléter le contenu, mais aussi la personnalité de son concepteur. Elle devait rendre visible l'invisible. L'« aura » de chaque objet naissait d'une relation étroite entre le fond et la forme, où le format s'adaptait au sujet, les matériaux étaient soigneusement choisis pour traduire un message, et l'impression exploitait les techniques les plus avancées du moment. Il s'agissait de repousser sans cesser les limites du possible.

Le fil rouge qui traverse l'héritage d'Hultén est celui d'un anarchisme joyeux, ironique, libre, profondément inventif et utopique. Inspiré du dadaïsme, il voyait l'art comme une critique du réel. À travers sa production, il tissait en filigrane un réseau de signes, une constellation de questions défiant les conventions. (NDM)

 

Exposition jusqu’au 21 septembre 2025.

**** Haig Aivazian, Bianca Bondi, Jérôme Printemps Clément-Wilz, Nicolas Daubanes, Abdessamad El Montassir, Alessandro Gallicchio, Amalia Laurent, Pierre-Yves Macé, Clovis Maillet, Nicolas Sarzeaud, Claudia Jane Scroccaro, Seynabou Sonko, Ana Vaz, Pierre Von-Ow, Lise Wajeman, Louisa Yousfi

 

"Comme chaque année à l'approche de l'été, l'Académie de France à Rome réunit dans une exposition collective les projets des saisies pensionnaires au terme de leur année de résidence à la Villa Médicis. À cette occasion, les œuvres quittent l'intimité des ateliers pour rejoindre les salles d'exposition à la rencontre du public. L'exposition s'intitule Changer la prose du monde (Cambiare la prosa del mondo) en référence à un poème de l'autrice italienne Amelia Rosselli dont la langue rythmique et dissidente perturbe les fondements du langage normé et des narrations dominantes. Cette invitation à repenser l'écriture du monde fait écho aux opérations de récits artistiques, poétiques, politiques et écologiques qui animent les recherches multidisciplinaires des pensionnaires de la Villa Médicis, dans un exercice choral porté par une diversité de voix et de pensées.

L'exposition se caractérise par la diversité des pratiques artistiques représentées, de la littérature à la création musicale en passant par l'histoire de l'art, les arts plastiques, la photographie et le cinéma. Ce récit visuel est ponctué de phrases choisies par les pensionnaires, tel un texte déconstruit dans les pages d'un livre sans début ni fin.

Répondant aux mots de la poétesse Amalia Rosselli et contaminant les murs des salles d'exposition, ce processus de co-écriture aléatoire rend compte à la fois d'un souffle collectif et de l'expression de 16 singularités.

Durant leur année à Rome, les pensionnaires sont amenés à vivre la résidence comme un laboratoire d'expérimentation, offrant la possibilité de déployer des recherches au long cours, d'emprunter des voies nouvelles, de se laisser surprendre et entraîner par ce que produit la rencontre avec d'autres pratiques artistiques et d'autres géographies. L'exposition est le prolongement de cette expérience.

Elle est aussi l'occasion d'interroger la mise en forme de projets qui échappent aux catégories conventionnelles d'exposition. Comment matérialiser une recherche en cours? Comment articuler arts plastiques, arts vivants et littérature ?(NDM)

 

Exposition jusqu'au 8 septembre 2025.

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SCHAERBEEK :

MAISON DES ARTS : 147 chaussée de Haecht à 1030 Schaerbeek. Semaine : 10h/17h. Samedis 19 et 26 juillet : 14h/18h.

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SCHAERBECK (Belgique) :

MUSEE D’ART SPONTANE : 27 rue de la Constitution. 1030 Schaerbeek. Tél. : +32 (0) 2 426 84 04 ou +32 (0) 2 426 84 04 Mardi/Samedi : 13h/ 17h.

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SEOUL (Corée) : 

HANGARAM MUSEUM ART CENTER 

**** RAOUL DUFY : Manifesto Expo : "Colourful symphony. Masterpieces from Edmond Henrard Collection"

 

"Passionné par l’œuvre de Raoul Dufy depuis plus de quarante ans, Edmond Henrard a constitué une collection désormais représentative de l’art de cet artiste phare du XXe siècle. Régulièrement enrichie de pièces nouvelles, la collection Henrard a déjà été exposée dans divers musées en France, aux Etats-Unis et au Japon.

 

Le commissaire de l’exposition, Eric Blanchegorge, actuellement directeur des Musées de Troyes, explore ici l’influence de la musique et de la mode sur les œuvres de Raoul Dufy, au début du XXe siècle. Une période dynamique où les domaines du design, de l’art et de la musique fusionnent pour la création d’une œuvre totale.

Imaginée en plusieurs chapitres, l’exposition présente la carrière composite de l’artiste à travers peintures, dessins et aquarelles inspirés de ses thèmes de prédilection : les paysages, les courses hippiques, les régates et la vie parisienne. L’exposition comprend aussi une importante sélection de pièces textiles (vêtements et accessoires) réalisées par Dufy pour - entres autres - le créateur français Paul Poiret, qui a révolutionné la scène de la haute couture à cette époque, et l’historique manufacture lyonnaise de soierie Bianchini-Férier.

Enfin, un chapitre est dédié aux « Grands Décors » qui présente un ensemble de dix lithographies originales gravées par Charles Sorlier, tirées de la fresque La Fée Electricité, complétée par l’artiste pour le Pavillon de l’Electricité et de la Lumière dans le cadre de l’Exposition internationale de 1937 à Paris, aujourd’hui conservée au Musée d’Art Moderne de Paris." (NDM)

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VIENNE (Autriche) :

ALBERTINA MODERN : Karlsplatz 5,| 1010 Vienna Tél : +43 (01) 534 83 0. TLJ. : 10h/18h.

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VIENNE (Autriche) : 

BANK AUSTRIA KUNSTFORUM WIEN : Freyung 8, 1010 Wien. Tél : +43 1 537 33 26. Lundi/Jeudi et samedi/dimanche  : 10h/19h. Vendredi :  10h/21h.

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WASHINGTON DC (USA) :

SMITHSONIAN AMERICAN MUSEUM : F st NW et 8 th St NW  dc 20004 Etats6Unis. TLJ. : 11h30/19h. Tél : +1 202-633-1000.