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PARIS :
A GALERIE : 12 rue Léonce Reynaud 75116 Paris. Tél : 06 20 85 85 85. Lundi/Vendredi : 10h/13h et 15h/19h. Samedi : 12h/19h.

**** MAINTENANT SUR NOTRE MUR
Notre 25ème anniversaire !
Exposition du 14 mai au 21 juin 2025
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PARIS :
ALMINE RECH ESPACE MATIGNON : 18 avenue Matignon, 75008 Paris
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PARIS
ARTS D'AUSTRALIE STEPHANE JACOB : 13 rue Chapon 75003 Paris. Tél : 01.46.22.23.20. 10h/18h
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PARIS :
ARTISTES DE LA BASTILLE : Espace Commines 17 rue Commines, 75003 Paris.
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PARIS :
ATELIER VERON : 31 rue Véron, Paris. Tél : 01.55.79.01.58. Mercredi/Dimanche : 11h/19h.
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PARIS :
BAB's GALERIE : 27 rue Casimir Périer, 75007 Paris. Tél : 06.52.8.57.42.
27/04 - 13h/19 //28/04 - 13h/19h // 02/05 - 15h/21h – Nocturne // 04/05 - 13h/19h // 05/05 - 13h/19h // 09/05 - 15h/21h - Soirée de décrochage avec la performance musical de l'auteur compositeur interprète Princess Jorge
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PARIS :
BIGAIGNON : 18 rue du Bourg-Tibourg, 75004 Paris. Mardi/Samedi : 12h/18h.
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PARIS :
CENTRE CULTUREL SUISSE : 38 Rue des Francs Bourgeois 75003 Paris. Tél : 01 42 71 44 50. Mardi/Dimanche : 13h/19h.
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PARIS :
CERCLE NORVEGIEN DE PARIS : 242 rue de Rivoli, 75001 Paris. Tél : 01.42.60.76.67.Lundi/ Vendredi : 10h/18h.
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PARIS :
CLAVÉ FINE ART : 10 bis rue Roger, 75014 Paris. Lundi/vendredi : 10h/19h. Uniquement sur RDV.
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PARIS :
FONDATION CALOUSTE GULBENKIAN : 39, Bl. d
e La Tour Maubourg, 75007 Paris. Tél. 01 53 85 93 76. Lundi/Vendredi : 9h/18h. Samedi : 11h/18h.
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PARIS :
FONDATION CARTIER pour l'art contemporain : 261 boulevard Raspail, 75014 Paris. TLJ sauf lundi : 11h/20h. Nocturne le mardi jusqu’à 22h.
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PARIS :
FONDATION D'ENTREPRISE RICARD : 12 rue Boissy d'Anglas 75008 Paris. Mardi/Samedi : 11h/19h. Sauf jours fériés.

**** Chantal Akerman, Tolia Astakhishvili (avec Zurab Astakhishvili, Simon Lässig et Maka Sanadze), Cudelice Brazelton, Rosa Joly, Harilay Rabenjamina, Rosemarie Trockel et Sebastian Wiegand : « Férocité à domicile »
« À travers les œuvres de sept artistes, "Férocité à domicile" explore l'ambivalence du lien maternel. Avec des approches et sensibles contrastés, ces artistes appréhendent intimement la manière dont cette relation complexe construit notre présence au monde. » (NDLG)
Vernissage jeudi 15 mai à 18h.
Exposition du 16 mai au 19 juillet 2025

L'exposition collective " Férocité à domicile " a ouvert ses portes il ya quelques jours. À travers des approches sensibles et contrastées, les sept artistes invités·es explore intimement la manière dont la relation complexe à la figure maternelle façonne notre présence au monde.
Exposition jusqu'au 19 juillet !
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PARIS :
GALERIE FREDERIC MOISAN : 46 rue Croix des Petits Champs, 75001 Paris. Code 17A85, 2e étage. Tél : 06.11.28.67.84. Sur RDV sauf jours de vernissage
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PARIS :
FRENCH ARTS FACTORY : 19 rue de Seine, 75006 Paris. Tél : 01.77.13.27.31.

**** ISABELLE BRAUD
« Isabelle Braud ne cesse de se ré-approprier le réel, de le contourner, de le réinventer. Elle prélève par fragments dans le quotidien, dans notre culture, dans la vie et compose d'autres espaces. Elle invite à reprendre contact par les sens et à concilier sens et essence du monde. Isabelle Braud réenchante notre environnement et fait circuler un vent de liberté.
Axées autour du quotidien, ses créations offrent à la fois une sorte d'inventaire du monde et de journal intime. Sa peinture est émotionnelle. L'artiste navigue dans différents registres liés à l'histoire de l'art et explore les frontières entre public et privé et les rapports entre nature et culture.
Multiplicité des techniques, assemblages d'objets, éléments hétérogènes caractérisent sa pratique artistique. Artiste du motif, Isabelle Braud mêle la peinture, le dessin, la sculpture et la photographie explorant souvent la limite entre les beaux-arts et les arts décoratifs. De cette expérience composite et hybride, elle renouvelle les conditions de notre perception avec la réalité. Son œuvre est singulière, au croisement des arts ; une aventure personnelle qui associe et met en jeu les relations entre savoir et sensation.
"Notre monde a besoin de beauté et de culture. Croyant dans la capacité de l'art à transformer l'existence, je peins pour que notre cœur devienne assez grand pour aimer la vie dans son détail."
Isabelle Braud est diplômée de l'école nationale supérieure d'Art de Limoges. Depuis 1987, Elle expose ses œuvres dans des galeries et des musées en France, en Allemagne, au Royaume-Uni, en Tunisie, en Inde, en Floride… De nombreux établissements publics ont fait l'acquisition de ses œuvres (FRAC, Agence Nationale de Création, Fonds d'Art Contemporain, Musée des Beaux-Arts de Limoges, Ateliers d'Art de France Paris, Musée d'Art de Guéret). L'artiste est représenté par la galerie French Arts Factory . » (NDLG)
Exposition jusqu’au 27 août 2025
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PARIS :
GALERIE ART AUJOURD'HUI : 8 rue Alfred Stevens. 75009 Paris. Tél : 01 71 37 93 51. Jeudi/Dimanche : 15h/20h et sur rendez- vous.
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PARIS :
GALERIE ART' ET MISS : 14 rue Sainte Anastase, 75003 Paris. Tél : 01.84.17.59.17. Mercredi/Samedi : 12h/19h. Dimanche : 14h/19h.
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PARIS :
GALERIE A&R FLEURY : 36 avenue Matignons, 75008 Paris. Tél : 01.42.89.42.29.
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PARIS :
GALERIE LA GALERIE AFRICAINE AUDE MINART : 53 rue Blanche, 75009. Tél : 06.60.24.06.26.TLJ. : 12h/19h. Dimanche : 14h/19h.
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PARIS :
GALERIE B&B : 6 bis rue des Récollets, 7010 Paris. Lundi/Vendredi : 14h/20. Samedi : 10h/20h. Dimanche : 10h/18h.
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PARIS :
GALERIE 110 VERONIQUE RIEFFEL : 110 rue Saint-Honoré, 75001 Paris. Mardi/Samedi : 11h/19h.
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PARIS :
GALERIE BESSAUD : 24 bis rue de Charenton, 75012 Paris. Tél : 03.47.66.86.07. Mercredi/Samedi : 14h/19h.
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PARIS :
GALERIE CHRISTIAN BERST : 3-5, passage des Gravilliers, 75003 Paris. Tél / Fax : +33 (0)1 53 33 01 70.Mercredi/Dimanche : 14h/19h.

**** EXPOSITION COLLECTIVE :
Exposition jusqu’au 21 juin 2025.
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PARIS :
GALERIE THE BRIDGE (Berst) : 6 Passage des Gravilliers 75003 Paris.

**** JOHN URHO KEMP : « Un triangle des Bermudes 2 »
Exposition jusqu’au 21 juin 205.
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PARIS :
GALERIE CECILIA F. : 4 RUE DES Guillemites ? 75004 Paris. Jeudi, Vendredi, Samedi : 15h/20h. Dimanche : 15h/18h.
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PARIS :
GALERIE CEYSSON ET BÉNÉTIÈRE : 23 rue du Renard, 75004 Paris. Tél : 06.70.56.63.24. Mardi/Samedi : 11h/19h.

**** STEPHANE EDITH CONRADIE :
« Grandissant dans un pays dont elle n'a pas la culture, Stephané Edith Conradie a inscrit ses réflexions identitaires au cœur de sa pratique artistique. Elle termine : « Je suis du lieu mais pas entièrement indigène du pays. (…) Mes lots ou assemblages viseront à réfléchir sur l'idée d'être à la fois étranger et indigène à un lieu. ». Elle se reconnaît dans la descendance des Rehoboth Basters qui quittent la colonie du Cap en 1868 pour s'installer en Namibie actuelle. Sa présence dans ce pays est donc le fruit de déplacements historiques, la restitution ni étrangère, ni autochtone. Dès lors, le concept de foyer apparaît comme un espace fictif que l'on s'approprie par besoin d'appartenance, une zone mouvante et instable en proie à des forces historiques et politiques.
Pour l'artiste, la domesticité se construit à travers les petits objets accessibles et mobiles que les classes populaires accumulent souvent pour décorer leurs intérieurs, pouvant être emportés lorsqu'on est contraintes de partir. Conradie les intègre dans ses assemblages, juxtaposant bibelots en porcelaine, figurines et ornements de pacotille. Collectés dans des marchés de seconde main ou des intérieurs oubliés, ces petits trésors populaires témoignent d'histoires intimes et collectives. Leur valeur n'est pas monétaire, mais affective. Ils consolent, rassemblent, apaisent. Véritable archéologue de l'intime, Conradie insuffle une nouvelle vie à ces fragments de mémoire éparpillés, les réassemblant et les accumulant, doublant le kitsch apparent d'une forte portée symbolique.
Ce principe prend une nouvelle résonance dans l'usage récent, par l'artiste, du verre à l'uranium, dont la luminescence sous lumière UV évoque une lueur surnaturelle.
Inoffensif sous cette forme, ce matériau contient des traces d'un minéral hautement toxique, extrait en profondeur — notamment en Namibie, qui en assure à lui seul 6 % de la production mondiale. Minéral extraterrestre né d'une supernova, devenu source d'énergie ou de destruction, il est ici ramené à l'échelle intime, décorative, presque innocente. Mais ce verre lumineux porte une histoire de dépossession. En Namibie, comme ailleurs, l’extraction d’uranium est entre les mains de puissances étrangères et ne profite pas aux populations locales. Elle ravive l'héritage colonial du pillage des ressources africaines, sans compensation. L'uranium devient dès lors une matière hantée : celle d'un fantôme colonial, d'une violence invisible, toujours à l'œuvre.
Vecteur d'une mémoire trouble, son travail prolonge une interrogation sur l'appropriation, les circulations coloniales, et les formes silencieuses de dépossession, en s'inscrivant dans une réflexion plus vaste menée par l'artiste sur la création d'une esthétique créole." (NDLG)
Exposition du 15 mai au 21 juin 2025.

**** Marinette Cueco : « De l'herbier au monochrome »
« La galerie Ceysson & Bénétière Lyon présente une exposition dédiée aux œuvres de Marinette Cueco . Présentées sur les murs, les sols ou intégrées directement dans le paysage, ses œuvres imprègnent notre esprit d'une multitude d'informations sensorielles : visuelles, olfactives et tactiles. Ces pièces sont disposées pour frustrer nos sens – pas touche ! Des pièces délicates ou massives émanent une aura tout aussi puissante. Sensible et puissant, le travail de Marinette Cueco est dépourvu de sentimentalisme. Ce serait une terrible méprise de reléguer son œuvre au rayon poésie et joliesse sous prétexte d'un compliment (captivant, gracieux, ravissant) qui dénigre autant qu'il louange l'ouvrage des dames.
Les formes de Cueco Faber ne peuvent être poétiques, puisqu'elles sont conçues en dehors du langage. De son esthétique muette émerge ce qui est donné à voir. En parler est une autre affaire. Les éléments constitutifs peuvent être décrits par autant de syntagmes - chignon de pré, emmaillotage de galet, entrelacs de graminée, pelote d'ampelopsis, fagot de glycine, fuseau de chanvre - qui s'apparentent à des métaphores et régalent par hasard nos sensibilités linguistiques. Ne soyons pas dupe, l'esprit qui les fabrique demeure fermement matérialiste.
L'ambition de Marinette Cueco est de maîtriser la nature comme source de matériau mais aussi de formes. Botaniste à la manière de Jean-Jacques Rousseau, c'est-à-dire sans maître, elle herborise par rapport à sa démarche esthétique. Lorsqu'elle cueille la matière végétale, elle accomplit une tâche purement utilitaire, alors que traitement, mise en forme et ordonnancement de la matière végétale sont des activités créatrices.
Elle n'imite pas la nature, elle ne reproduit pas les formes, elle en crée de nouvelles qui n'existaient pas avant qu'elle ne les imagine. Pour inventer ses gestes, elle puise dans l'histoire du corps à l'œuvre. Des techniques textiles traditionnelles, elle retient et adapte : tissage, filage, tricot, crochet, couture ; de l'agriculture : fauchage, cueillette, taille, égrenage.
Pour être efficaces, ces actions doivent être menées avec un esprit tranquille, détaché des mondanités, ce qui se reflète dans les œuvres au fur et à mesure de leur réalisation. Lorsqu'on y prête attention, ces actions réfléchies et scrupuleuses, consignées dans les fiches, font appel à nos sens et nous procurent le plaisir particulier de l'esthétique botanique.
Toute sa vie Marinette Cueco était appréciée des amateurs d'art textile ou du jardin. Il est temps qu'elle soit reconnue plus largement. Son art singulier reste réfractaire à toute interprétation iconographique. Son œuvre est également informée de la crise de la représentation que les pratiques de plein air, les toiles non tendues, les arts de la peau et du bulldozer, ou l'arte povera qui rend molto ricco. Il ne manque que le cordon protecteur d'une exposition muséale pour que Marinette Cueco puisse aussi réfuter en pompe la société de consommation, et interroger dans les règles de l'art contemporain la relation entre l'homme et la nature. Ou peut-être vaut-il mieux ne pas institutionnaliser l'esprit libre de cette glaneuse qui se promène dans le champ esthétique de la modernité. » Rachel Stella
Exposition du 5 juin au 26 juillet 2025

**** Max Charvolen : « Espaces en déplacements, fragments d'une cartographie de nos espaces de vie »
« Espaces en déplacements , fragments d'une cartographie de nos espaces de vie , explorent la thématique centrale du déplacement dans la démarche et des procédures de l'artiste.
Les premières impressions qui suscitent les œuvres de Max Charvolen sont souvent du même ordre : le spectateur se trouve face à un objet énigmatique dont il envoyé confusément qu'il lui est familier. Commencez alors la formulation de toutes sortes d'hypothèses. Depuis longtemps, en notant les réactions du public lors de présentations du travail de Max, et en parcourant les textes qui lui ont été consacrés, j'ai été frappé d'abord par la diversité des approches, puis par la récurrence d'une impression largement partagée : quelque chose, dans ces pièces, fait naître des images de transfert, de déplacement, de voyage.
Dès la fin des années 60, Max Charvolen travaille sur la relation entre œuvre - disons «espace plastique» ou «espace symbolique» - et lieu dans lequel l'œuvre est réalisée et/ou montrée - disons «espace physique» «de vie» «de travail» ou «de démonstration». C'est une période où il transforme la toile par découpes, respectant ou non le rectangle initial, le fragmentant, déplaçant les fragments, et explorant la diversité des mises au regard de la pièce achevée et des effets induits par la position du spectateur.
À la fin des années 70, la démarche se radicalise : ce n'est plus une œuvre que l'artiste installe, une fois achevée, dans un espace quelconque. C'est une œuvre qu'il construit en la modelant sur un espace physique choisi. Après avoir découpé son tissu en fragments dont le format est tel qu'on puisse les saisir, les tenir et les manipuler des deux mains sans difficulté, il colle ces fragments sur les lieux (ou objets) qu'il veut « donner à voir ». La forme de la toile achevée dépend donc de l'espace sur lequel elle est réalisée qui devient - littéralement - un modèle. Son format naît des relations du corps de l'artiste à cet espace : plus ou moins agissant, se déplaçant plus ou moins, pour « prendre mesure ». La coloration des fragments peut assumer des fonctions diverses. La diversité des couleurs permet, par exemple de différencier les divers éléments ou plans du modèle traité.
La démarche de Charvolen - unique - creuse les problématiques de l'approche analytique et critique des années 60 pour traiter des questions qui traversent toute l'histoire de l'art : que représente le monde dans lequel nous vivons, de nos espaces et de nos objets ? Comment le représenter ? Dans quels lieux et dans quels contextes ? Comment passer des trois dimensions de l'espace physique, aux deux dimensions de l'espace plastique ? Comment justifier les formats que nous employons et les formes que nous leurs donnons ? Comment rendre compte du monde, par la peinture ? Comment le penser ? Comment donner sens et raison à notre approche sensible du monde ? Peut-on remotiver - rendre sens - au symbole en le reconstruisant / reconstituant sur ce qu'il symbolise d'abord : l'espace physique dans lequel nous évoluons ? » Raphaël Monticelli
Exposition du 12 juin au 16 juillet 2025
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PARIS :
GALERIE CLAIRE CORCIA : 323 rue Saint-Martin, 75003 Paris. Tél : 09.52.06.65.88
Lundi-vendredi 11h30-17h/30. Samedi 14h-19h

**** JACQUES ROUBY (1953-2019)
Vernissage jeudi 15 mai 18h à 21h
Exposition du 15 mai au 28 juin 2025
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PARIS :
GALERIE DB et ANGELARTS : 24 rue Morère, 75014 Paris. Code porte ! 83B56. TEL : 06.09.75.79.54.
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PARIS :
GALERIE DE CAUSANS : 25 rue de Seine, 75006 Paris. TLJ. Sauf dimanche : 14h30/19h.
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PARIS :
GALERIE D'EYLAU : 36, avenue d'Eylau, 75016 Paris. Tél : 06.62.09.43.63. Mardi/Dimanche : 12h/19h.
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PARIS :
GALERIE DU CENTRE : 5, rue Pierre au Lard, (angle 22, rue du Renard). 75004 Paris Tél : 01 42 77 37 92. Mardi/Samedi : 14h/18h30.
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PARIS :
GALERIE DU GENIE DE LA BASTILLE : 126 rue de Charonne, 75011 Paris. Mardi/ Dimanche : 14h/20h.
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PARIS :
GALERIE DURST : 15 rue de la Tour, 75116 Paris. Tél : 01.45.24.73.00. Mardi/Samedi : 11h/19h.

**** MARC TANGUY : « Conversation dans l’atelier ».
« Peintre installé à Paris, Marc Tanguy nous ouvre les portes de son univers sensible et coloré. Au fil de cet échange, il revient sur ses débuts, ses inspirations, ses expériences à l'international, et partage sa vision de la peinture comme un espace poétique, vivant et accessible à tous. L'artiste évoque également son rapport intime à la création, la manière intuitive dont il laisse la peinture tracer son propre chemin.
Depuis plusieurs années, Marc Tanguy développe une œuvre ancrée dans la couleur, le paysage et la nature, à la croisée d'une tradition coloriste et d'une recherche contemporaine de liberté. Nourri aussi bien par les maîtres anciens que par les avant-gardes du XXe siècle, il cultive une peinture affranchie des codes sociaux, ouverte et perceptive, où l'espace émerge dans la fluidité du geste, les superpositions transparentes et l'acceptation de l'imprévu.
Entre pigments purs, paysages intérieurs et liberté picturale, l'artiste affirme une pratique ouverte, enracinée dans la sensation plus que dans le discours. Un échange vibrant, qui donne à voir la peinture comme un acte vivant, poétique et profondément humain. » (NDLG)
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PARIS :
GALERIE HERVE COURTAIGNE : 53 rue de Seine 75006 Paris.
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PARIS :
GALERIE HORS CADRE : 8 rue Chapon, 75003 Paris. Tél : 06.47.66.86.07.14h/20h et sur RDV.
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PARIS :
GALERIE HORS-CHAMPS : 20 rue des Gravilliers, 75003 Paris. Mardi/Dimanche : 13h/19 h.
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PARIS :
GALERIE INSULA : INSULA SUR COUR : 20 rue des grands Augustins 75006 Paris. Tél : 06.07.74.96.57.
**** la peinture de Stéphane Dauthuille , les totems de Marie Bathellier , les gouaches de Bénédicte Plumey, les photographies de Thomas Jorion et une gravure inédite de Guacolda .
Lentement, la lumière
Les beaux jours s'avancent sans bruit, dans la clarté grandiose.
D'un geste presque invisible, elle repeint les jours, allongeant les heures, dorant les façades, réchauffant les silences. L'air semble et respire mieux. On sent que la lumière elle-cherche même à s'étendre, à s'épancher, comme un pigment liquide sur une toile blanche.
Chaque choix devient couleur. Chaque mouvement, esquisse.
Dans cette saison en éveil, l'art s'accorde au monde. Les pinceaux retrouvent leur souffle, les formes se parent d'une énergie grandissante.
Insula sur cour vous propose un nouvel accrochage rassemblant des œuvres qui, chacune à leur manière, traduisent ce que les beaux jours éveillent en nous : la joie fragile, la lenteur précieuse, l'élan intérieur, la beauté nue, la lumière... ». (NDLG)
Les rendez-vous des Après midi sur cours :
mercredi 21 mai/ mardi 27 mai/ jeudi 5 juin / jeudi 12 juin
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PARIS :
GALERIE KALEIDOSCOPE : 19 rue Mazarine 75006 Paris. Mardi/Samedi : 11h/19h.

**** LUCIO FANTI « Retour à la source » : Peintures »
Récemment revenu sur le devant de la scène, notamment à l'occasion de l'achat et de l'accrochage de l'œuvre collective La Datcha au Centre Pompidou, Lucio Fanti est à l'honneur à la galerie à travers une exposition panoramique, de 1968 à 2025.
Cet évènement s'inscrit dans le cadre du vaste et ambitieux programme de promotion des avant-gardes figuratives sur la scène parisienne des années 1960-1970, que nous développons pas-à-pas.
C'est justement pour rafraîchir les mémoires que Marie Deniau a décidé de lui consacrer cette mini-rétrospective allant de seize œuvres datées de 1968 – dont l'un de ses premiers tableaux, intitulé Santa Famiglia –, à ses aquarelles les plus récentes, datées de 2025. De l'ensemble ici réuni émergent quelques sujets récurrents, notamment ce regard ironique sur l'imagerie de la Russie soviétique de l'époque (ses parents étaient communistes) ; ce clins d'œil à Maïakovski (et son fameux vers qu'il reformule ainsi « la barque de la poésie s'est brisée contre la vie quotidienne »); et bien sûr la barque qui traverse quasiment toute son œuvre. »Article de Henri-François Debailleux, extrait.
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PARIS :
GALERIE KORALEWSKI : 92 rue Quincampoix, 75003 Paris. Tél : 01.42.77.48.93. Mardi/Samedi : 14h/19h.
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PARIS :
GALERIE LELIA MORDOCH : 50 rue Mazarine, 75006 Paris. Tél : 01.53.10.88.52. Mardi/Samedi : 13h/19h.
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PARIS :
GALERIE LES YEUX FERTILES : 27 rue de Seine, 75006 Paris. Jeudi, Vendredi, Samedi : 14h/19h.
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PARIS :
GALERIE LISE CORMERY : 6 rue Lanneau, 75005 Paris. Tél : 06.81.77.93.62.
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PARIS :
GALERIE MAEGHT : 42 rue du Bac, 75007 Paris. Tél : 01.45.48.45.15. Mardi/Samedi : 10h/19h.
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PARIS :
GALERIE NEGROPONTES : 14/16 rue Jean-Jacques Rousseau; 75001 Paris. Tél : 06.75.83.56.94.

**** Gianluca Pacchioni, Pinton et Perrin & Perrin
« la Galerie Negropontes, en collaboration avec Heritage Asset Management, présente à Venise « Architectural Landscapes », une exposition qui invite à explorer un paysage architectural unique. Les œuvres de Gianluca Pacchioni, Pinton et Perrin&Perrin dialoguent avec les espaces emblématiques de la Palazzina Masieri, chef-d’œuvre du maître Carlo Scarpa. Cette nouvelle exposition a été conçue en écho à la 19e Biennale d’Architecture de Venise. Elle met en lumière le lien subtil entre création contemporaine et héritage historique, transformant la Palazzina en une scène où l’art et l’architecture dialoguent pour raconter une histoire de formes, de matières et de continuité.
Au rez-de-chaussée, l’exposition recrée un jardin imaginaire où les sculptures monumentales de Gianluca Pacchioni côtoient une tapisserie foisonnante réalisée par la manufacture Pinton. Ce paysage étonnant, où la matière trouve son équilibre entre l’œuvre et son contexte, évoque un chapitre méconnu de l’histoire du lieu. Les sculptures de Pacchioni nous parlent de désirs abstraits et d’intentions organiques et nous emmènent dans un monde sensoriel complexe où la beauté nous maintient en vie contre toutes les formes de contrôle et d’autorité.
Le concept de ce jardin s’inspire d’un article paru le 10 avril 1954 dans l’hebdomadaire Minosse, où l’architecte vénitien Duilio Torres répond aux critiques adressées au projet de Frank Lloyd Wright proposant une « greffe contemporaine » sur le Grand Canal. Contrairement à l’approche monumentale de Wright, Torres imagine alors une « pause architecturale » : un espace soustrait plutôt qu’ajouté, qu’il nomme « Giardino Masieri » dans son interview.
Soixante-dix ans plus tard, cinq sculptures en bronze de Gianluca Pacchioni jaillissent de blocs en béton armé et s’imposent face au Grand Canal. Cette scénographie réinterprête la forêt imaginée par Torres et dialogue avec la tapisserie de la manufacture Pinton représentant un paysage luxuriant d’après un carton du peintre Roger Mühl.
Au premier étage, l’exposition invite les visiteurs à découvrir un dialogue subtil entre la matérialité du verre et l’héritage architectural de Carlo Scarpa. Les sculptures en verre de Perrin & Perrin, représentent des fragments de villes et des parcelles urbaines qui sont mises en valeur par une présentation des géométries et des graphismes de Carlo Scarpa.
Connu pour leur travail original du verre, le duo Perrin & Perrin explore les limites entre transparence, opacité et fragilité. Ils donnent naissance à des compositions architecturales miniatures. Ces œuvres trouvent un écho puissant dans une installation texturée et inspirée des motifs de Carlo Scarpa. Les lignes géométriques et les détails subtils des sculptures sont réinterprétés dans un langage contemporain créant un paysage immersif.
L’œuvre de Perrin & Perrin, par son équilibre entre modernité et intemporalité, s’inscrit parfaitement dans cet hommage à Scarpa. Leurs sculptures établissent une continuité esthétique avec les tracés précis et les lignes architecturales du maître. Elles offrent une réflexion sur la manière dont les paysages, qu’ils soient naturels ou bâtis, évoluent et interagissent avec leur environnement. Ce niveau de l’exposition constitue un carrefour où se rencontrent architecture, design et urbanité, transformant la matière en un langage universel, chargé d’émotion et de mémoire.
Le troisième niveau de la Palazzina accueillera plusieurs expositions. Dans un premier temps, les photos de l’artiste Garo Minassian viendront illustrer le concept du jardin imaginaire.
Ensuite, en collaboration avec l’IUAV, une nouvelle exposition occupera l’espace de mai à juillet. « Scarpa- Zanon, Dialoghi » rend hommage à l’alliance exceptionnelle entre l’architecte vénitien et les artisans Gino, Paolo et Francesco Zanon. Cette collaboration unique, née d’une rencontre fortuite, a donné naissance à certains des détails les plus emblématiques de chefs-d’œuvre architecturaux tels que la Gypsothèque Antonio Canova de Possagno, la boutique Olivetti, les salles de la Fondation Querini Stampalia ou encore le complexe funéraire Brion. En septembre, de nouvelles installations prendront place à la Palazzina à l’occasion de la Venice Design Biennale et de la Venice Glass Week. Ces dernières mettront à l’honneur des objets de design ainsi que des bijoux d’artistes. » (NDLG)
Exposition du 17 avril au 22 novembre 2025.

**** ERIC DE DORMAEL ET MAISON MATISSE : « Magie des couleurs- Magie du trait »
« la Galerie Negropontes à Paris, présente le travail du sculpteur Éric de Dormael et l'héritage artistique porté par la Maison Matisse, poursuivant ainsi un cycle d'expositions consacré aux dialogues entre différentes expressions artistiques. L'exposition s'articule autour d'un double axe : celui des différences, opposant l'usage d'une large palette de couleurs à celui d'un trait monochrome et structuré ; et celui des similitudes, réunissant ces deux langages dans une interprétation sculpturale à travers des formes libres et organiques. Au fil de ce parcours, Éric de Dormael expose ses créations architecturales et structurées où la rigueur du trait se conjugue avec la liberté de création. De son côté, la Maison Matisse, ambassadrice de l'œuvre du peintre, propose, avec la collaboration de designers de renom tels Alessandro Mendini, Jaime Hayon et les frères Bouroullec, une interprétation de l'univers fauve de Matisse » (NDLG)
Exposition du 22 mai au 10 septembre 2025

**** PAYSAGES ARCHITECTURAUX
« la Galerie Negropontes, en collaboration avec Heritage Asset Management, présente à Venise « Architectural Landscapes », une exposition qui invite à explorer un paysage architectural unique. Les œuvres de Gianluca Pacchioni, Pinton et Perrin & Perrin dialoguent avec les espaces emblématiques de la Palazzina Masieri, chef-d'œuvre du maître Carlo Scarpa. Cette nouvelle exposition a été conçue en écho à la 19e Biennale d'Architecture de Venise. Elle met en lumière le lien subtil entre création contemporaine et héritage historique, transformant la Palazzina en une scène où l'art et l'architecture dialoguent pour raconter une histoire de formes, de matières et de continuité." (NDLG)
Exposition jusqu’au 22 novembre 2025.
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PARIS :
GALERIE PIERRE-MARIE VITOUX : Marais, 3 rue d’Ormesson Place du Marché Sainte-Catherine, 75004 Paris. Tél : 01.48.04.81.00. Mercredi /Samedi : 14h/19h.

**** PASCALE DE LABORDERIE : « Au sortir du bois »
« Dans les jardins, sur les pelouses, gardiennes des édifices, les sculptures de Pascale de Laborderie s'exposent en toute liberté, vous surprennent par leur noblesse et l'équilibre audacieux des formes.
Au sortir du bois, la nature épouse les sculptures. Dans leur processus de métamorphose, de symbiose, les œuvres s'installent, vivent en silence leur existence propre et nous interrogent.
Ne vous éloignez pas de vous confronter à leur présence tonique. » (NDLG)
Vernissage le 5 juin à 18h.
Exposition du 5 juin au 30 août 2025.
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PARIS :
GALERIE RAPHAËL DURAZZO : 25 rue du Cirque, 75008 Paris. Tél : 06.75.83.56.94. Lundi/Vendredi : 10h/19h. Samedi : 10h/18h
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PARIS :
GALERIE ROBILLARD : 106 rue de la Folie Méricourt, 75011 Paris Tél : 06 12 46 38 00. 10h/19h dimanches inclus.
Galerie sur cour, codes d'accès 28a12 puis 12a28, au rdc face au petit jardin.
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PARIS :
GALERIE ROUSSART : 13 rue du Mont Cenis, 75018 Paris. Jeudi/Dimanche : 14h30/19h.
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PARIS :
GALERIE SABINE BAYASLI : 99 rue du Temple, 75003 Paris. Tél : 06.34.29.40.82.du mardi au samedi, de 12h à 19hle dimanche de 14h à 18h30

**** FAMAKAN MAGASSA : « La vie est un compte ».
En 2018, Famakan Magassa (né à Kita, au Mali) est diplômé du Conservatoire des arts et métiers multimédias Balla Fasséké Kouyaté, à Bamako, où il obtient une licence en arts plastiques. Dès le départ, le jeune peintre s'émancipera d'un art descriptif et réaliste pour marquer sa différence et apporter à son univers un style qui lui est propre. Observateur de la société, son travail évoque certains aspects de l'histoire africaine, comme lorsqu'il peint la société secrète des «korèdougas» dans une série de tableaux peuplés de personnages costumés, énigmatiques et désarticulés. Libre et énergique, le style de Naré Famakan Magassa relève d'une hybridation entre culture africaine et traditions européennes. À 22 ans à peine, Famakan Magassa était déjà considéré comme le grand espoir de la peinture malienne. Depuis sa première grande exposition à l'Institut français du Mali avec le célèbre designer Cheick Diallo, son travail a été montré dans de nombreuses expositions collectives, aux côtés d'artistes de renommée internationale.
[…] Le projet « Soifs » conçu à la Cité Internationale des Arts à Paris sera présenté à New-York ce qui permettra à l'artiste de conquérir les USA et de lui donner une visitabilité internationale. Depuis que l'artiste ne cesse de surprendre en apportant à ses œuvres une touche où la démesure n'a d'égale qu'une critique sociale remettant en cause l'ordre établi.
[…] En 2023 il est le premier artiste africain francophone à obtenir le 1er prix de la Fondation Norval en Afrique du Sud. Cette prestigieuse récompensera le propulsera à un autre niveau. Il participera ainsi à deux résidences artistiques en Suisse et en Autriche. Extrait du texte de Floréal Duran, critique d'art et commissaire
Vernissage le 15 mai à 17h.
Exposition du 15 mai au 14 juin 2025.
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PARIS :
GALERIE TEMPLON : 28 Rue du grenier Saint-Lazare, 75003 Paris. Mardi/Samedi : 10h/19h.
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PARIS :
GALERIE TEMPLON : 30 rue Beaubourg 78003 Paris. Mardi/Samedi : 10h/19h.

**** PRUNE NOURRY
Le projet Vénus est né d’une rencontre de Prune Nourry avec Ghada Hatem, gynécologue obstétricienne, fondatrice de la Maison des femmes de Saint-Denis, un centre d’aide et d’accompagnement pour les femmes victimes de violences. Rattachée à un hôpital, la Maison propose aux femmes en difficulté en Seine-Saint-Denis une prise en charge pluridisciplinaire. À travers leurs ateliers (alphabétisation, théâtre, danse…), l’artiste a rencontré huit femmes qui ont accepté de poser nues, en dépassant avec courage les tabous sociétaux liés à leur culture, ou ceux personnels liés à leurs traumas. Comme pour Projet Phenix en 2021, Prune Nourry renoue avec la tradition du portrait et a sculpté ici dans un contexte encore plus intime, entre une femme sculpteure et une femme modèle. À partir de leur histoire unique - chaque femme partageant si elle le souhaitait son parcours durant les séances de pose - et de leur forme de corps variés, l’artiste a modelé en terre leur buste à la manière des vénus préhistoriques. Leurs mots, autant que les détails de leur corps, inspirant chaque œuvre. Réalisé en taille humaine ou en petit format, le portrait a ensuite été moulé, puis tiré en bronze recouvert d’une peau de terre, ou tiré en terre cuite.
Forte de ses recherches et rencontres (dont Catherine Schwab, conservatrice en chef du patrimoine, chargée des collections du Paléolithique et du Mésolithique au musée d’Archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye, qui est originaire de Seine-Saint-Denis) autour des vénus du Paléolithique (période gravettienne) entamées fin 2022 pour la réalisation de son œuvre en tandem avec Kengo Kuma pour la gare de Saint-Denis - Pleyel, Prune Nourry a demandé aux femmes modèles de prendre les mêmes poses, debout et statique, que les vénus du passé.
Un lien fort entre le passé et le présent, entre le personnel et l’universel, opère dans ce projet ; ce thème fait partie des élans d’inspiration de la sculpteure, comme cela a pu être remarqué dans son exposition au Musée national des arts asiatiques - Guimet à Paris en 2017. Les mythes de création et la matière terre sont également au cœur du travail de Prune Nourry. En 2023, elle inaugure au Château La Coste l’installation permanente Mater Earth qui évoque la racine latine de « mère », de « maternité », mais aussi la matière (en anglais, « matter ») de l’argile. En parallèle, depuis 2022, elle travaille sur un projet collaboratif Statues Also Breathe, avec l’Université d’Ile-Ife au Nigéria, inspiré du mythe de création yoruba. Ce mythe oral, antérieur aux religions monothéistes écrites, raconte que l’humain a été créé à partir de l’argile d’Ife. À partir de 2011, elle développe aussi son projet Terracotta Daughters, une armée de petites filles réalisées en terre cuite à taille humaine enfouie dans un lieu secret en Chine jusqu’en 2030. » (NDLG)

**** IVAN NAVARRO
« Alors que son projet du Grand Paris Express concocté pour la ville lumière depuis près de dix ans s'apprête à voir le jour en 2026, l'artiste chilien Iván Navarro célèbre pour ses œuvres électriques investit ce printemps pour la première fois l'espace parisien du grenier-Saint-Lazare. Pour « Cyclops », il choisit de dévoiler un ensemble éclectique d'une dizaine de sculptures transformant l'espace par de subtils jeux d'optique, autour de thèmes variés des phénomènes célestes à la question du pouvoir.
La pièce phare de l'exposition, un cyclope monumental de plusieurs mètres de haut, resplendissant de sa multitude de néons aux couleurs explosives et de tailles variées sous la verrière de l'espace du Grenier-Saint-Lazare. Pour la première fois, Navarro a travaillé une sculpture destinée à être montrée sous la lumière du jour. « Le cyclope est une créature fantastique, présente dans presque toutes les mythologies du monde » explique-t-il. « Lorsque j'ai commencé à m'intéresser aux phénomènes astraux, j'ai croisé le chemin de ce véritable symbole des forces de la nature. Il représente la puissance brute. Dans les écrits légendaires, c'est lui qui provoque les éclairs et le tonnerre… Il s'inscrit dans la continuité de mon exploration des phénomènes naturels ». » (NDM)

**** JEANNE VICERIAL
De retour de sa résidence à la Villa Kujoyama au Japon, Jeanne Vicerial dévoile à la Galerie Templon ses dernières créations. Avec « Nymphose », elle déploie son univers de fil noir, aboutissement de deux ans de réflexion autour de la métamorphose et des représentations du corps féminin.
Jeanne Vicerial revisite l'espace historique de la rue Beaubourg pour le transformer en chambre ; chambre de naissance, au coucher ou de veillée funéraire, « Nymphose » met en scène ses sculptures de fil noir, crocheté ou lissé, si caractéristiques de sa pratique. Entre installation, dessin dans l'espace et costume, sa statuaire noir ébène évoque des coquilles hybrides d'où émergent des figures féminines entre extraterrestres et guerrière. Pour l'artiste, il s'agit d'évoquer les différentes étapes de la vie d'une femme, de la première étreinte amoureuse au dernier souffle en passant par la maternité. « Tout au long de sa vie », explique l'artiste, « une femme se voit en transformation permanente. De jeune fille à femme, elle devient mère ou créatrice, puis matriarche au crépuscule de sa vie. Elle est capable d'accueillir un nombre important de changements corporels, se renouvelle partiellement chaque mois, transmettre un peu de ses cellules et de son patrimoine génétique à chaque mise au monde alors qu'elle en a hérité elle-même de ses propres ancêtres à sa naissance. En soi, le corps de la femme est un lien intergénérationnel. »(NDLG)
« Exposition du 17 mai au 19 juillet 2025
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PARIS :
GALERIE VALLOIS : 35 rue de Seine, 75006 Paris. Tél : 01.43.25.17.34. Mercredi/Vendredi : 10h/19h. Lundi 14h/19h. Samedi : 10h/13h et 14h/19h.
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PARIS :
GALERIE W. LANDAU : 5 rue du Grenier Saint-Martin 75003 Paris. Tel : 01.42.54.80.24. Mardi/Samedi : 14h/19h.
HORAIRES D'ETE : 12h/18h. FERMETURE ESTIVALE : 8 au 15 août inclus.

**** 1 ● Regard2moi - L'art au service de l'autisme
« J'ai eu la chance de croiser des enfants autistes qui reviennent régulièrement à la galerie. À travers eux, j'ai appris autrement, j'ai découvert une autre façon d'appréhender l'art.
Très fier de soutenir l'association Regar2moi avec les œuvres de Chris Morin-Eitner. Des éditions, catalogues et cartes postales seront offerts lors de la soirée de soutien. » (NDLG)
Vernissage le 2 avril 2025
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